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Ouvrons nos yeux!
Ce virus nous mène enfin au bout du tunnel. La lumière y est aveuglante, après avoir vécu toutes nos vies à la lueur d’une bougie. Le temps est venu plonger dans ce nouvel océan et d’apprendre à y naviguer par nous-mêmes.
Il y a 5 phases dans le deuil : déni, colère, négociation, libération et acceptation. Quelle que soit l’étape à laquelle nous nous trouvons en ce moment, il nous reste un mois pour franchir toutes les suivantes. De cette manière, nous ne pourrons plus jamais revenir à nos anciennes habitudes. Et nous serons prêt(e)s à démarrer notre nouvelle vie. Si tu lis mon blog, tu es sans doute connecté(e) à ton intuition et peut-être même que c’est elle qui te guide en premier lieu. C’est à cette partie de toi que je m’adresse en particulier aujourd’hui.
Ce que nous vivons actuellement est effectivement un deuil. Nous le vivons dans des conditions pour le moins étranges. Ce confinement, exacerbe tous nos ressentis et nous pousse à nous dépasser en « mode accéléré » pour ne pas « pêter les plombs ». Nous pourrions être tenté(e)s de dire « ok, faisons le deuil de notre ancienne vie. Mais, au final, on sait ce qu’on laisse, par contre, on ne sait absolument pas ce qu’on va trouver ». En effet. Et pour cause! A partir de maintenant, c’est nous qui décidons pour nous-mêmes.
Cette semaine j’ai voulu partager ce que ce confinement nous a apporté et en quoi il nous pousse gentiment à concevoir, construire et enfin basculer dans un futur plus lumineux.
Faire le deuil…
Lorsque nous sommes dans l’étape déni, nous refusons d’entendre qu’il s’agit d’une épidémie. Ce n’est pas une réalité pour nous. Il est également difficile d’entendre que le confinement peut cacher autre chose qu’une simple prévention sanitaire . C’est la peur qui domine dans cette étape. La peur pour notre santé. Nous préférons nous conformer aux directives, pour ne pas être pris en défaut. D’autres vont tellement loin dans la peur qu’ils/elles éprouvent le besoin de contrôler les autres. Et cela donne lieu à la délation…
Dans l’étape colère, nous râlons de ne pas pouvoir être libre de nos mouvements. C’est le temps où notre patron nous impose des congés, ou du chômage partiel. C’est aussi le moment où nous nous retrouvons en télétravail à bosser plus que si nous étions au bureau! C’est la période où nous sommes enfermé(e)s 24/24 avec les enfants et le/la conjoint(e). Là où l’on teste de la nature profonde de nos sentiments. Dans cette étape il est insupportable d’entendre autre chose que le respect des règles puisque nous nous imposons de les respecter nous-mêmes.
A l’étape négociation, nous trouvons des subterfuges pour contourner les interdictions, à grand renfort d’autorisations. Le bénévolat et la réserve civique et nos animaux domestiques deviennent nos meilleurs amis, nos planches de salut pour retrouver l’espace de quelques heures le contact avec des êtres humains, même si cela se fait à distance sociale. Car nous avons tous/toutes besoins d’être à proximité directe les un(e)s des autres pour rester sain(e)s de corps et d’esprit.
Le bout du tunnel en visuel…
Ensuite, vient la libération. Au bout d’un mois au ralenti, sans « metro-boulot-dodo », notre cerveau a repris ses droits et nos cellules ont imprimés de nouveaux paramètres. Sur les réseaux sociaux, des voix commencent à s’élever pour poser des questions pertinentes. De nouvelles idées émergent et sont reçues par un nombre croissant de cerveaux redevenus disponibles. Voici une « co-création du monde de demain », dans le principe, comme dans le contenu.
Vient enfin l’étape d’acceptation. Il n’y a plus besoin d’expliquer ou de justifier ce qui est. Il y a juste a vivre, à être et à rêver, à créer l’après. Celui auquel nous voulons donner toute notre énergie. Sans peur et sans haine. C’est l’étape ou nous choisissons de dire OUI à nos nouvelles idées et priorités. C’est aussi l’étape ou la parole se libère, ou les révélations se font. C’est à ce moment là que la vérité des autres, et en particulier ceux qui nous dirigent, s’efface pour laisser place à la notre. C’est l’étape où le futur de nos rêves sort vainqueur de la pénombre.
Un peu de concret
Dans ce paragraphe, je vais écrire des choses qui pourront paraître désagréables, selon l’étape où nous nous trouvons. Mais il est nécessaire. Aujourd’hui plus que jamais. Je l’ai dit à plusieurs reprises, la spiritualité est tout à fait compatible avec le plus concret de nos vies. Une grande dame, nommée Jeanne Ayache, m’a dit récemment : « il n’y a pas plus spirituel que notre matière ». Alors, redescendons, l’espace d’un instant, dans nos concrets. Il me semble que le moment est venu de mêler Science, Spiritualité mais aussi Vie de la Cité.
Voici mon point de vue sur ce moment historique ainsi que des informations qui me paraissent étayées et documentées à propos de notre situation. Je t’invite au plus grand discernement par rapport à ce qui suit et t’encourage à vérifier cela par toi-même.
Le mois de confinement supplémentaire, que nous venons de prendre en supplément, n’est absolument établi à des fins curatives. Soyons bien clair(e)s. Certes, des zones du pays sont plus touchées que d’autres et, dans ces zones là, il est encore très risqué de mettre le nez dehors. Ne nous méprenons pas. Je suis très attristée de ce que vivent les personnes concernées et toutes mes pensées les accompagnent.
Ouvrons nos yeux!
Mais soyons honnêtes. Non seulement nous ne sommes pas en guerre, mais nous sommes bien loin de la pandémie ou de l’épidémie massive annoncée au départ. D’ailleurs, je t’invite à te renseigner sur le mode de comptabilisation des malades et des morts du Coronavirus. J’ai récemment appris des choses très intéressantes à ce sujet dans la vidéo suivante. Spoiler Alert : les règles de calcul répondent aux directives de l’OMS, dont le principal bailleur de fonds n’est autre que Bill Gates.
Et si les phases de Libération et d’Acceptation étaient aussi celles du Discernement? Et si discerner notre propre vérité n’était pas quelque chose à faire avec la tête mais avec le cœur? Et si notre meilleure façon de passer à autre chose était de créer la meilleure version de nos futurs dès maintenant?
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Il est temps de créer le monde de nos rêves!
Le temps est venu de créer le Monde dont nous rêvons. C’est dans le chaos qu’il devient urgent de plonger dans nos rêves, dans notre meilleure résilience, pour expérimenter en conscience notre pouvoir créateur!
Nous disposons tous de l’outil qui nous permettra de sortir de cette crise, et de celle d’après aussi, ainsi que de toutes les suivantes. Le problème, c’est que soit nous n’en avons pas connaissance, soit nous n’avons pas appris à nous en servir en conscience. En plus, ce que nous vivons actuellement s’apparente plutôt à une sorte de chaos. Peut-être qu’il est difficile de se dire que tout va bien se passer dans un tel contexte…Et pourtant, nous allons vers du mieux. C’est indéniable. Quel que soit le chaos qui nous attend, il sera à la mesure de la nécessité de changer nos habitudes, en profondeur. Bref, le chaos est toujours l’annonce de nouveautés.
Ce que nous croyons est la clé!
Jusqu’à présent, nous avons été abreuvé(e)s de croyances « toutes faites », systématiquement privé(e)s de notre libre arbitre, voire même, de notre liberté. Pourtant, notre « machine à créer » la réalité, elle, ne s’est jamais arrêtée! Avec ce « carburant », peu constructif en somme, elle nous a mené(e)s jusqu’à ce confinement. Alors, il me semble qu’il est temps de regarder, d’un peu plus près, les trésors qui nous habitent, pour comprendre à quel point nous avons les moyens de tout changer. Beaucoup plus rapidement que nous le pensons…
Voici un documentaire qui peut changer ta façon de percevoir le Monde! Ce support parle de lui-même. Tu noteras que les Êtres qui y témoignent sont tous des scientifiques de renom tel que David Albert (philosophie & physique), Joseph Dispenza (neuro-science), Masuro Emoto (médecine) et beaucoup d’autres encore!…Et pourtant, il y est bien question de Spiritualité.
Bref, nous sommes nés libres et puissants au delà de toute limite!
Certain(e)s se diront peut-être encore que nous ne sommes pas des super-héros. Faut pas exagérer, hein?! Bah si. En fait, nous le sommes. C’est juste que nous avons tous grandi avec la certitude que cela existe uniquement dans les BD, ou les films. Pourtant, tous ces personnages, vêtus de collants et autres capes, en fait, ça pourrait être nous! Nous pourrions décider de devenir les héros de notre propre existence. Là, tout de suite, maintenant.
Des êtres comme Martin Luther King, Gandhi, Marie Curie, Louis Pasteur, Nelson Mandela, etc…ont marqué leurs époques grâce à leurs nouvelles certitudes! D’autres, en revanche, pourtant tous aussi talentueux, n’ont pas survécu à l’épreuve du pouvoir et de l’argent. Trop humbles ou pas assez manipulateurs, ou peut-être simplement arrivés trop tôt: Hypatie d’Alexandrie, Galilée, Nicolas Tesla, etc…Pour certain(e)s, ils/elles y ont même laissé la vie.
Mais nous, çà y est, notre heure est venue! Nous sommes maintenant officiellement dans l’ère du Verseau. Notre volonté de vivre HEUREUX ne peut pas tomber aux oubliettes si nous branchons TOUS nos croyances et nos actions sur le Monde de nos rêves, et bâtissons ce Nouveau Monde d’abord dans nos têtes puis dans nos actes du quotidien.
Il ne s’agit pas de rentrer en lutte violente contre ce que nous ne voulons plus – bien qu’il est probable que le chaos prenne temporairement cette forme. Il s’agit de dire OUI, avec toute notre motivation et notre espoir disponible, à notre Nouveau Monde, celui où tout est possible, à condition d’y croire!
C’est quoi le mode d’emploi de notre « Machine à Créer le Monde »?
En résumé, nous sommes des antennes émettrices/réceptrices. Alors, prenons garde à ce que nous émettons…Émettre de l’espoir, de la joie et de l’envie plutôt que de la colère, de la délation et de la désinformation est déjà un bon début. En plus, tout notre Univers est à l’écoute de nos moindre désirs. Cela n’est jamais arrivé de vie d’homme. En fait, si. Il y a « fort-fort longtemps ». Du temps des dinosaures probablement.
Malgré ce que peuvent enseigner nos livres d’histoire, nous avons été précédés de plusieurs humanités, dont certaines avaient des connaissances technologiques très avancées, et surtout une compréhension très fine de l’environnement. Il n’y a qu’à en juger par tous les murs cyclopéens des sites sacrés (Pyramides) les plus anciens partout sur la planète! La vérité c’est que nous sommes incapables, même avec toute la 3D, le « Big Data » ou « ‘l’IoT » du Monde, de reconstruire ce type de mur. Ce thème fera l’objet d’un prochain article.
Alors la question, maintenant que nous entrons dans le dur, est de savoir si nous allons utiliser nos fréquences pour diffuser une mélodie empreinte de stress, de colère, de tristesse…Ou si nous saurons trouver en nous la ressource pour imposer notre « mélodie du bonheur » malgré tout!
Tout seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin!
Proverbe africain -
Trouver le courage d’être heureux(ses)!
Décider d’être heureux(ses), par les temps qui courent, demande du courage, mais le moment n’a jamais été meilleur pour activer cette ressource en nous!
La semaine passée j’ai partagé l’initiative de cette médiation mondiale du 05 Avril 2020. Depuis, j’ai crié sur tous les toits à quel point cet événement est important pour notre Humanité. La raison est simple. Comme beaucoup, je pensais que, depuis 2012, nous étions dans l’Ère du Verseau. Je croyais aussi qu’après une période de flottement, nous allions enfin trouver une vie, plus joyeuse, résiliente, lumineuse.
Et puis, l’Univers a mis cette méditation sur mon chemin. Alors j’ai posé 2 ou 3 questions, pour comprendre pourquoi celle-là plutôt qu’une autre…Au final, il semble que l’Univers a besoin d’entendre notre intention d’aller vers un futur plus lumineux maintenant! Il veut s’assurer que nous mettons en oeuvre notre « libre-arbitre » pour affirmer nos choix. Ok, mais pourquoi le 05 Avril 2020 à 4:45 du matin précisément? Il y a déjà beaucoup de gens qui méditent par choix, pourquoi en convaincre d’autres? En quoi participer à ce mouvement va changer notre quotidien par les temps qui courent?
Pourquoi c’est cool l’ère du Verseau?
A l’heure actuelle, nous terminons l’Ère du Poisson, qui a duré 2160 ans. Elle est la dernière de la roue zodiacale suivie par notre système solaire (pour les Ères, on suit les signes dans l’ordre inverse des horoscopes). En fait, ce n’est pas un cycle que nous terminons en ce moment, mais deux. Nous terminons à la fois une Ère, celle du Poisson, et un Cycle complet de 25920 ans (soit 12 Ères, 12 signes). C’est dire à quel point le moment est clé dans notre histoire d’Univers et d’Humanité!
La vidéo ci-dessous explique en quoi la position des planètes de 2020 influe sur le déroulement de la Vie sur Terre. En résumé, tout notre système solaire murmure à notre oreille qu’il est temps de basculer vers autre chose. Et nos guides sont en alerte depuis ces 2 dernières années pour nous préparer à ce grand saut. L’Univers a pris de l’avance, dans l’espoir que nous saurions lui montrer, le moment venu, que nous sommes prêts à passer cette porte.
L’Ère du Verseau est donc la première étape d’un nouveau cycle dit « évolutif », c’est à dire un cycle de progression. En ce moment, nous sortons d’un cycle « involutif », soit un cycle de régression. Je pense que cela n’aura échappé à personne, vue l’ambiance des dernières décennies. Sortir de ce cycle veut dire abandonner nos habitudes d’esclaves et nos peurs. Cela veut dire trouver le courage et la volonté d’être heureux malgré la peur, la manipulation, la violence, etc…
Notre système solaire est prêt pour la bascule. Et nous?
Depuis 24 mois, au moins, nos guides nous nettoient, nous poussent à lâcher ce qui ne résonne plus, etc…pour nous aider à basculer vers des lendemains plus joyeux. En effet, nous étions tous « farcis » d’entités et autres parasites de toutes sortes dans nos plans subtils. Entités qui nous maintenaient volontairement dans un état léthargique. Un état où notre libre arbitre devait lutter sans merci pour se faire entendre. L’Univers a pris les devant pour nous en libérer. Maintenant, il a besoin que nous « mettions le coup de tampon » pour dire – OUI – nous voulons y aller! D’où la méditation du 05 Avril.
Il a besoin que nous trouvions en nous le courage pour décider d’être heureux(ses). Il n’attend que cela. Mais il n’est pas simple d’imaginer que la vie peut « rose » quand nous n’avons connu que çà. Et pourtant, c’est possible. C’est à notre porte. Il n’y a qu’à tendre la main. Quand nous aurons réussi, nous pourrons dire que nous sommes tous et toutes d’une génération qui aura connu les deux cotés de la balance! C’est assez unique quand même. Nous pourrons aussi dire que nous avons été à la fois spectateur du changement et acteur de notre propre libération. Nous ne l’aurons pas volée celle-là.
L’autre raison, pour le choix de cette date, c’est que ce jour-là il y a une conjonction de planètes (Jupiter/Pluton) qui va amplifier nos intentions et nos énergies. Bref, nos guides ont choisi le jour où même si l’humanité fait sa paresseuse, toutes les chances seront de son coté pour bénéficier du travail qui a été fait. Sont trop sympas ces guides!
Qu’est-ce que çà pourrait changer au juste?
Le premier bénéfice que je vois, dans ce contexte, c’est de sortir plus rapidement de la crise du Coronavirus. Et du confinement, par la même occasion . L’Ère du Verseau est sous la responsabilité de Maître Saint Germain et de sa flamme violette qui est connue pour être purificatrice! Un atout non négligeable par les temps qui courent.
Le deuxième bénéfice serait d’expérimenter notre corps, que dis-je? « tous nos corps » propres et exempts de tout ce qui n’est pas nous (mémoires, blocages, parasites astraux etc…). En termes de ressentis, c’est comme retrouver le calme intérieur, presque comme au premier jour. Le fait de ne plus avoir à se battre avec tout ce qui est dissonant en nous, permet de retrouver toute notre sérénité. Et la sérénité, on en voudrait bien des packs de 12 en ce moment non?!
La troisième chose est que nous accéderont à beaucoup de révélations, suite à cette bascule. Un grand nombre d’énigmes seront dévoilées, et, il nous sera donné de comprendre ce qui nous a été caché, interdit, confisqué etc… Personnellement, je me demande ce que je fais là depuis ma naissance, donc si je pouvais avoir ne serait-ce que le début du commencement d’une réponse à « Pourquoi le Monde est comme il est? », ce serait déjà un grand soulagement.
Dire ce que nous voulons, à la place de ce que nous ne voulons plus!
Au final, ce que nous demande l’Univers c’est montrer que nous sommes prêts à prendre la responsabilité de nos existences. C’est dire ce que nous voulons à la place de ce que nous ne voulons plus. Ou faire la démonstration de notre résilience, en nous donnant le droit de vivre debout plutôt qu’à genoux. C’est à dire expérimenter autre chose que les miettes des 1% les plus riches, des choix pré-packagés – qui nous abêtissent et coûtent toujours plus cher à la notre planète, que la peur, la culpabilité, la colère, la frustration etc…
Faire cette méditation, chacun à sa manière, c’est co-créer sa vie future avec l’Univers. Autre preuve que notre libre-arbitre est plus que bienvenu, cette méditation est simplement proposée. Libre à chacun(e) de la suivre ou pas. Elle ne requiert pas d’expertise particulière. Chacun(e) est libre de pratiquer comme il/elle est! C’est çà la marque de fabrique d’un Univers bienveillant : donner le choix, préserver le libre-arbitre quoiqu’il en coûte!
Mais être là, malgré tout, pour nous aider sans un mot, sans un bruit, sans un merci la plupart du temps, d’ailleurs… La politesse, la formalisation à outrance, est la patte de l’ego. Les guides, quant à eux, n’aiment pas qu’on leur disent merci. Ils considèrent qu’il n’est pas nécessaire de les remercier pour quelque chose qu’ils ont plaisir à faire. Autre marque d’un Univers bienveillant. Et si la meilleure façon de collaborer à cet élan d’Amour était de prendre 20 mn le 05 Avril 2020 à 4:45 du matin, heure de Paris?!
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Ouvrir ensemble la porte de l’ère du Verseau
Aujourd’hui, l’Univers a mis sur mon chemin cette initiative – très importante pour la suite des événements sur Terre. Vérifications faites, j’ai décidé de la soutenir.
J’ai également décidé d’écrire dans les prochaines semaines des articles sur ce qui est en cours dans les plans subtils, pour aider à la compréhension de cette étape majeure dans notre évolution et de ce geste.
En résumé, ceux qui le souhaitent peuvent participer à l’élévation des vibrations de la planète, afin de sortir du chaos dans lequel nous sommes, et notamment de la crise du Coronavirus.
Comment faire?
Cela prend la forme d’une méditation planétaire (objectif 1 million de méditants simultanés) programmée le 5 Avril 2020 à 4h45 pour la France.
Tu trouveras ci-dessous 1 vidéo pour expliquer la démarche et faciliter la réalisation de cette méditation (20 mn maximum), au cas où tu souhaiterais participer sans savoir comment t’y prendre.
Quant on y pense, 20 minutes c’est rien dans une vie! Il n’a jamais été aussi pratique de se lever très tôt! La date est posée un dimanche et, confinement oblige, il sera possible de se rendormir après si besoin. Enfin, par les temps qui courent, c’est plutôt un bon moyen pour éviter de tourner en rond!
Qui peut participer?
Toute personne désireuse de contribuer et de collaborer au mieux-être de la planète peut s’impliquer dans cette initiative. Même ceux qui ne savent pas méditer. Ce qui compte plus que tout est l’intention émise! Et aussi qu’elle vienne du cœur.
Si tu médites déjà, ce rendez-vous et cette intention te permettront d’amplifier les effets de ta démarche. Cela permettra aussi de se relier par le cœur à tous nos frères et sœurs.
Si tu es thérapeute, accompagnant, guide spirituel, etc…, tu peux continuer d’œuvrer pour la Lumière, si tu le souhaites, en partageant cette initiative avec ta communauté. C’est maintenant que nous devons montrer notre capacité à faire ce que nous recommandons aux autres!
Dans ce registre, nos initiatives respectives sont complémentaires. Elles doivent se concentrer sur l’objectif final plutôt que sur la forme ou l’identité de celui/celle qui propose.
Il est temps de s’impliquer dans ce en quoi nous croyons!
Je te remercie de toute l’attention que tu porteras à cet article et à l’initiative qu’il soutient. Je serai debout le 05 Avril 2020 à 4:45 du matin pour faire ce geste. Il ne me coûte pas grand chose…et c’est une bonne façon de commencer une journée!
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Cultiver son jardin
Ou comment s’occuper quand on est coincé(e) à la maison par civisme et solidarité avec les plus vaillants et les plus fragiles d’entre nous…
On a tous un jardin. Si-Si, tous. Pour certains c’est le carré de gazon avec le potager dans un coin. Pour d’autres, c’est la jardinière sur le balcon. Mais pour tous c’est aussi notre espace intérieur, notre jardin secret. Ce jardin-là, même au printemps, nous avons un talent inné pour le polluer, l’ignorer, le maltraiter, etc…Et pourtant, ce jardin-là, c’est celui qu’il nous reste quand nous ne pouvons plus nous occuper des autres, ou quand nous sommes confinés chez nous, par la force des choses!
Cette semaine j’ai eu envie de voir comment nous pouvons retrouver le chemin de cet espace sacré en nous. Ce lieu où réside nos plus grandes richesses. Pour une fois, oublions tout ce que nous ne pouvons plus faire dehors, ou en dehors, pour nous souvenir de ce que nous pouvons faire en dedans, puisque le temps nous est donné. Et si, pour les jours, les semaines à venir nous utilisions toute notre énergie à défricher, puis remettre en état et valoriser notre jardin intérieur?
Cultiver un potager, ce n’est pas seulement produire ses légumes, c’est apprendre à s’émerveiller du mystère de la vie
Pierre RabhiSous la friche, notre raison d’être…
Les japonais appellent cette démarche IKIGAI, à savoir trouver sa raison d’être, là où notre cœur veut aller. En musique, cela reviendrait à trouver sa mélodie ou sa note fondamentale. Celle qui nous met en joie, qui nous est familière. En marketing, ce serait trouver sa mission, ses valeurs, son slogan. Bref, quelle meilleure période que cet arrêt brutal pour se reconnecter à ce qui nous fait vibrer profondément?
En plus, çà tombe bien, nous sommes officiellement au printemps. C’est le moment favorable pour faire le grand ménage dans les méninges et dans les placards aussi! Pour les placards, je t’invite à relire mon post de décembre sur les astuces pour être au top en 2020. Tu y trouveras notamment les astuces de Marie Kondo, la grande dame du rangement. Si tu as loupé le coche fin 2019, ce confinement te donne une deuxième chance!
Pour faire le ménage dans les méninges, nous avons 2 principes fondamentaux : 1/ il est impossible d’obtenir des résultats différents sans rien modifier à nos habitudes ET 2/ il y a toujours quelque chose que nous pouvons faire nous-mêmes pour améliorer notre sort (cf. le dicton « si tu veux changer le Monde, commence par toi-même »).
C’est le pré-requis à la résilience. Décider que, même si nous ne pouvons pas tout régler tout(e) seul(e), il est presque toujours possible de mettre en place quelque chose à notre niveau pour se sentir mieux.
Trouver l’inspiration
Par exemple, décider de commencer à méditer c’est se donner les moyens de passer du temps avec soi-même. Poser des mots sur les émotions que l’on vit avec ceux qui nous entoure est une façon d’informer la/les personnes de ce qui se vit en nous. Cela peut leur éviter de prendre pour elles/eux des choses qui ne les concernent pas, et ainsi limiter la colère lorsque la frustration devient trop grande. Décider de rire de ce confinement est une autre façon de le remettre à sa juste place.
Bref, initier une démarche personnelle, que nous sommes capables de porter seul(e), c’est sortir de la complainte, du statut de victime…C’est aussi, sur la durée, inspirer les autres à en faire de même. Prendre ce temps d’arrêt et de silence pour écouter ce qui bouge en nous et simplement être, c’est non seulement la clé d’un jardin bien plus grand que notre potager mais surtout le seul endroit où se trouve les réponses à tous nos problèmes.
Prendre ce temps pour lire est l’opportunité de retrouver notre imaginaire, de le nourrir à notre guise. C’est quand même autre chose que la becquée quotidienne et insipide fournie par les médias ou autres réseaux sociaux! A titre d’exemple, la quadrilogie des Dames du Lac , une saga romancée, mais très documentée sur la légende de l’Ile d’Avalon, est un thème parfait pour occuper cette période d’inactivité à durée indéterminée.
Le silence, c’est du temps pour ETRE!
Nelson Mandela a vécu pendant 26 années dans une cellule de 6m², entre travaux forcés et lectures philosophiques. Il en est sorti non seulement sain de corps et d’esprit mais il a ensuite guidé son pays vers la fin de l’apartheid. C’est la preuve qu’il peut sortir de grandes choses de ce temps de contrainte. Je vois déjà sur les réseaux sociaux des gens qui constatent tout le bien que cet arrêt forcé leur fait par rapport à leur quotidien.
De mon coté, je suis convaincue que le Monde ne sera plus jamais le même lorsque nous pourrons retrouver 100% de notre liberté de déplacement et de rassemblement. Les métiers que nous méprisions pourraient même reprendre du galon…Qui sait?
Ralentir permet également d’observer les mouvements de la vie en nous (ressenti physique) et autour de nous. Nous sommes habitués à l’action, voire même l’hyper-action. En quelques décennies nous avons réussi à accélérer le temps! Cette épreuve nous oblige a voir à quel point cette accélération nous a coupé de nous-mêmes, de notre vie et notre vérité profonde.
La vie de dehors s’arrête, mais pas dedans!
En parlant de profondeur, le film de notre vie intérieure n’est pas primé dans nos festivals habituels, mais il est pourtant digne des meilleurs blockbusters! Ce confinement, nous oblige a vivre au rythme de nos cellules! Il y aurait presque de quoi en faire un t-shirt genre « Mes cellules, ces héros… » (oups, sans doute le double effet du confinement)
Ce petit film montre une infime partie de l’activité de nos cellules. Imaginons qu’il en a des milliers de fois plus, et que nous avons des milliards de cellules. Si nous avions la chance d’avoir ce genre de films pour chaque système ou processus de notre corps, Netflix n’aurait plus qu’à mettre la clé sous la porte!
La vraie question maintenant c’est : quel Monde souhaitons-nous pour nous-même quand tout ceci sera terminé? J’ai beaucoup de mal à croire que nous pourrons reprendre tranquillement le cours de nos vies comme si de rien n’était.
Nous avons la chance d’avoir un avant-goût de ce que pourrait être un autre rythme, d’autres valeurs, d’autres alternatives…Nous avons aussi le temps pour les expérimenter en conscience et au plus juste pour nous-mêmes. Peut-être que la première bonne résolution du printemps 2020 est de se dire que ce confinement, d’un certain point de vue bien sûr, est une bonne nouvelle et, pourquoi pas, la promesse d’une seconde chance…
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Le bisou
A défaut de se faire des bisous et des câlins en vrai, essayons de comprendre les mécanismes du chaos actuel et comment récupérer sa résilience dans tout ce brouillard.
Il y a quelques temps, j’écrivais que le brouillard s’était levé sur la France et le Monde. Et bien, çà y est, nous y sommes. Nous avançons maintenant dans la pire version du brouillard Londonien. Aujourd’hui, nous sommes privés de contact physique avec nos proches. En ce moment, je pense particulièrement aux personnes âgées, pour qui la vie ne tient parfois qu’aux visites et aux bisous, câlins de leurs proches. Je pense aussi aux soignants qui vont devoir amortir ce choc…dans des conditions difficiles. Je pense enfin à nous tous qui avons un besoin fondamental d’être touchés pour vivre sainement dans nos têtes. Un jour, lorsque tout cette folie sera derrière nous, j’écrirai peut-être sur les vertus curatives du câlins.
Urgent : activer sa résilience
Bref, aujourd’hui, j’active ma résilience en me disant que nous sortirons grandis de toute cette mascarade. Mais, très honnêtement, je suis dans un état d’ébahissement complet. Je suis ébahie de voir à quel point nous coopérons à la construction de nos plus grandes peurs et au renforcement de notre avilissement. Je vous assure que je fais de mon mieux pour respecter la peur de celles/ceux qui s’en sont emparés jusqu’au plus profond d’elles/eux-mêmes. Mais tout ceci n’a décidément aucun sens pour moi. Vraiment aucun. Alors, j’use ici de mon droit à libérer ma parole et à la partager avec vous. Faites-en ce que bon vous semble!
Bien évidemment, chacun est libre d’évaluer ce que nous traversons à travers son propre prisme. Et je me doute bien que ce texte ne fera pas l’unanimité, mais je m’en fiche. Je souhaite tout de même préciser que je comprends l’inquiétude de celles/ceux, qui ont dans leur entourage des personnes fragiles. J’en ai moi-aussi. Il me semble bien normal de vouloir protéger ceux que nous aimons. Et si nous pouvions les protéger autrement qu’en nous cloîtrant chez nous et en portant un masque? Que pourrions-nous faire pour (re)-contacter notre résilience? En quoi notre lien invisible avec l’autre peut nous aider à transcender ce chaos?
De quoi devons-nous nous protéger exactement?
Les infos du jour nous disent que la menace vient principalement du fait que les Français ne respectent pas les consignes données samedi par notre gouvernement. Et pour cause, c’est le printemps! Il commence à faire beau et chaud. On ne peut pas dire que l’hiver ait été particulièrement joyeux pour beaucoup d’entre nous. Les premiers rayons de soleil sonnent le temps du renouveau, du nouveau départ. Je souris en voyant que notre corps et toutes nos cellules sont prêtes à braver le « vilain virus » pour revivre au contact de la Nature.
Rappelons-nous que nos cellules portent l’entièreté de nos histoires de vies. Les nôtres, celles de nos ancêtres et de notre espèce. Si nos cellules nous disent « vas-y ! sors va prendre l’air et le soleil » c’est qu’elles ne vivent pas de stress à cette idée. Nous avons tous déjà vécu des situations où toutes les cellules de notre corps nous disent de nous figer, de fuir, ou de nous cacher, etc… Nos cellules reconnaissent parfois des dangers là où nous ne les voyons pas. Alors, si tout notre Etre nous dit d’aller prendre l’air, nous serions bien mal à l’aise de les en empêcher.
Pour les plus « cerveau gauche » d’entre nous, j’ai pris la peine d’aller me renseigner sur les risques, à grand renfort de chiffres. En bref, je comprends que ce virus tue moins que la grippe. Des grippes, on en a tous les ans, et on ne boucle pas le pays pour autant. Autre info, intéressante de cet article : les chiffres annoncés en début d’épidémie sont toujours plus catastrophistes que la réalité. Pourquoi? Parce qu’on a aucun recul sur la situation…tiens-tiensQuestion à deux balles : çà vaudrait pas le coup de se mettre aussi çà dans le crâne, en plus du reste?
Et sinon, qu’est-ce qui fait que les cas semblent se multiplier plus vite que des petits pains?
Les croyances comme baromètre de notre santé
En kinésiologie, nous le voyons tous les jours! Le stress provoqué par des croyances limitantes est à l’origine de 99,9% des problématiques traitées en séance. Bien évidemment, le grand public n’est pas informé de ce fait, même s’il le vit concrètement au quotidien. Mais toutes les maladies chroniques (voir livre du Professeur Autret) ainsi que les cancers (voir livre du Professeur Kayat) et même les rhumes ou les bronchites, seraient, en fait, l’évacuation de stress corporels dû à des croyances. Nos émonctoires sont les canaux par lesquels notre corps expulse les informations, les croyances dont nous ne voulons plus, ou que nous avons en excès.
Émonctoire n.m. Organe qui élimine les déchets du métabolisme.
Dictionnaire médical de l’Académie de Médecine
Le foie, les reins, les intestins et les poumons exercent un rôle d’émonctoire. Le foie a par ailleurs la faculté d’éliminer des substances toxiques.Le symbole derrière le « vilain virus ».
Symboliquement, on pourrait se demander si ce « vilain virus » n’est pas une façon pour l’humanité d’expulser tout ce qui ne lui convient plus, ou ce qui est en excès. Cette idée me semble très intéressante. Parce qu’elle donne de la perspective. Elle ouvre une porte qu’on nous demande – bien sûr – de laisser fermée pour le moment. Alors, soyons honnêtes deux secondes, tous les masques et les évitements sociaux du Monde ne barreront pas la route au « vilain virus ». Voila, c’est dit.
Dans Matrix, Néo apprend comment les croyances de son Esprit influent immédiatement sur son corps, après avoir sauté pour la première fois dans le vide. Voici une vidéo qui en explique les mécanisme de manière simple.
Et si nos liens invisibles étaient la clé pour comprendre?
J’ai déjà parlé des formes-pensées il y a quelques temps. Il s’agit de sortes de bulles d’énergies générées par nos émotions et nos intentions. Nous sommes tous reliés à ces bulles. Ainsi, lorsque le premier d’entre nous croit que ce « vilain virus » existe et qu’il va tous nous tuer, il créé une bulle, à laquelle les intentions/émotions identiques de toute la planète vont venir s’ajouter. Plus la bulle est grosse, et plus elle devient une réalité pour un nombre croissant de gens.
Via les mécanismes inconscients du cerveau, les rêves notamment, cette forme-pensée commence à nourrir nos croyances. C’est à ce moment-là qu’elle se lie à nos corps, qui vont le traiter comme toute autre croyance limitante et mettre les processus d’élimination adaptés en place. Car, quoiqu’il arrive, notre corps se bat pour préserver la vie à tous les étages Même si cela se fait de façon un peu bizarre.
Voilà comment les cas de « vilain virus » vont exploser, malgré les précautions, même respectées. Il me semble que c’est la principale raison à l’explosion des cas en Italie et/ou en Chine…et non les délais avec lesquels le confinement a été mis en place. C’est la force de nos croyances qui nous rend malade, pas ce virus. C’est la capacité des dirigeants et des médias de ce pays et du Monde à générer des formes-pensées et des croyances limitantes qui leur permet de nous garder sous contrôle.
On peut crier au complot….il n’empêche que les faits concordent. Les exemples sont nombreux et très explicites, surtout ces derniers temps. Il n’y a qu’à regarder le nombre d’autres crises graves qui passent à l’as grâce à l’hyper-médiatisation de ce phénomène.
Les bonnes nouvelles, l’autre coté de la médaille!
La première bonne nouvelle est que si nous avons pu construire notre réalité actuelle par nos croyances, alors nous pouvons la « déconstruire » tout aussi facilement en développant d’autres formes-pensées, d’autres croyances plus résilientes, joyeuses et positives telles que l’Amour, la Joie et la Paix. Tout ceci peut paraître très nouveau et un peu abracadabrant mais c’est réel. Voilà la raison pour laquelle je ne peux me résoudre à vivre toute cette folie sans l’ouvrir et faire connaitre cette voie.
Aujourd’hui, plus que jamais, ce sera ma contribution. Maintenant, regarde au fond de toi – dans ton cœur – ce que cela t’inspire. Regarde si cela te donne des questions, de l’espoir, de la révolte, de la colère…C’est bon signe dans tous les cas!
L’autre bonne nouvelle c’est que nous sommes en train de renaître à nous-mêmes. Voilà pourquoi tous les Etre missionnés dans la Lumière sont activés en ce moment pour diffuser des messages de paix, de joie et d’amour. Comme dans beaucoup de situations, il faut parfois passer par le chaos pour retourner à une vie plus saine pour soi et les autres.
Maintenant, je t’invite à te positionner. Souhaites-tu continuer à vivre dans l’ombre et la peur? Ou préfères-tu croire et vivre dans la Lumière printanière?
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Le don du Pardon
En ces temps troublés, il est plus que jamais d’actualité de savoir pardonner pour retrouver les chemins de l’Amour.
J’ai bien imaginé parler de Coronavirus, tant ce sujet semble brûler toutes les lèvres en ce moment, mais je me suis rapidement résignée. Cette nouvelle désinformation n’a pas besoin de mon aide pour exister et le temps est venu de refuser la manipulation sous toutes ses formes. J’ai mis plus bas une vidéo explicative très utile pour comprendre pourquoi nous devons nous libérer de nos traumas anciens, de tout ce qui traîne depuis trop longtemps. Il est maintenant temps de faire place au Pardon, à l’Amour et à la Joie. C’est pourquoi, j’ai eu envie de reparler du lien fondamental entre Amour & Pardon.
L’Amour Infini est indissociable de la capacité à pardonner.
Pour faire court, car j’en ai déjà parlé ici, l’Amour est une ressource que chacun(e) a en lui/elle. Comme la résilience, c’est une ressource qui doit être cultivée en soi pour pouvoir être mise en oeuvre à l’extérieur de soi ensuite. En d’autres termes, si nous ne sommes pas un minimum « en Amour » avec nous-mêmes, nous ne pouvons pas reconnaître ce sentiment chez l’autre, ni pour l’autre. Nous ne pouvons tout simplement pas donner ce que nous n’avons pas.
Il convient également d’évoquer le rôle fondamental du Pardon pour accéder à ce « Graal ». Il suscite souvent de vives réactions d’incompréhension. L’argument principal étant « pourquoi devrais-je pardonner à mes bourreaux »? La question est logique et pertinente du point de vue de la victime. Pourquoi devrais-je pardonner toutes les horreurs qu’on m’a fait subir? Cette question semble dire, « tant que je n’ai pas d’excuse, je ne peux pas pardonner »…Le problème c’est que çà peut durer longtemps, cette situation. Parfois même, toute une vie.
Dans ce contexte, sortir du « status quo » nécessite de faire prendre conscience à son bourreau de l’horreur de ses actes. Mais est-ce réellement efficace? Que se passe-t-il lorsque la personne n’est plus de ce Monde, ou lorsqu’elle refuse tout simplement la responsabilité de ce qu’elle a fait? Nous souffrons une deuxième fois…Bref, cela pose quelques questions pratiques auxquelles nous n’avons pas toujours les moyens de répondre. Néanmoins, il est universellement reconnu que libérer la parole suite à un traumatisme permet d’avancer sur le chemin du Pardon.
Qui sont véritablement nos bourreaux?
Je pourrais dire qu’il y a 3 sortes de bourreaux. Même si, au final, de mon point de vue, il n’y en a qu’une. C’est-à-dire la personne qui tient le miroir dans lequel nous nous regardons. Point. Ce sont les gens du quotidien, dont le comportement peut générer des stress passagers. Les bourreaux de l’enfance, qui nous ont maltraité(e)s, violé(e)s, frappé(e)s, brimé(e)s, ignoré(e)s etc…Et ceux des vies passées, qui ont laissé des traces, des mémoires, si profondes qu’elles sont encodées dans nos cellules.
Prenons un exemple sur ce dernier point. Imaginons une victime d’attouchement par un adulte dans l’enfance. Il est probable que la personne est marquée à vie par l’horreur qu’il/elle a vécu. Maintenant, imaginons que son Âme a expérimenté un fait similaire dans une vie passée, où les rôles étaient inversés. C’est à dire que la personne était violeur et non victime. Lorsque l’Âme habitait le corps du violeur, elle a expérimenté ce qu’est la prise de pouvoir à l’encontre du libre arbitre de sa victime. Cela a créé un déséquilibre dans l’énergie vitale de la victime et, par extension, de l’Univers. Déséquilibre qui doit être rétabli.
Il arrive que nos bourreaux du passé se réincarnent dans des êtres qui sont nos contemporains. Il n’est pas rare, en effet, d’avoir dans son entourage proche, voire intime, un/des êtres que nous avons connus lors de précédentes vies et qui sont, eux aussi, là pour équilibrer leurs propres mémoires. Du coup, il est possible que cet être, qui nous fait du mal dans cette vie est, en fait, notre victime d’il y a fort longtemps.
Les 3 portes d’accès à l’AMOUR
Alors, à la question « pourquoi devrions-nous pardonner à nos bourreaux »? Je vois principalement 3 raisons.
La première est que ces personnes qui nous font du mal nous donnent uniquement ce qu’elles sont capables de nous donner. Un être qui agresse verbalement, commet un viol, qui frappe, qui brime ou tue exprime ce qu’il/elle vit en lui, qui est du même niveau de violence et de mal-être. Ce sont les fameuses causes qu’il nous est conseillé de pardonner. Si nous réagissons avec une intention et une violence égale, alors nous faisons le choix de nourrir les mêmes égrégores, les mêmes croyances. En clair, nous nous mettons au niveau de celui ou celle qui nous brime. Pardonner « aux causes », c’est DÉCIDER DE DÉPASSER le niveau de mal-être de l’autre pour son propre salut !
La deuxième est que pardonner ne veut pas dire donner raison à la personne. Nous faisons souvent cette erreur. L’illusion de dualité que nous expérimentons (bien/mal, vrai/faux, beau/moche etc…) a été amplement nourrie, encouragée et renforcée au fil du temps par notre société ainsi que la majorité des pratiques spirituelles. Alors, NON, ici, il n’est pas question de donner raison à son bourreau. Il est question de se donner raison à soi-même avant tout! En d’autres termes, nous ne pardonnons pas à nos bourreaux parce qu’ils/elles le méritent, mais parce NOUS DÉCIDONS QUE NOUS MÉRITONS D’ÊTRE HEUREUX(SES) avant tout!
Un peu de perspective…
La dernière raison est plus difficile à atteindre, certes, mais pas impossible. Quand nous regardons une situation par le « petit bout de la lorgnette », comme on dit chez moi, nous prenons certaines décisions. Celles-ci sont pertinentes dans ce contexte réduit. Exemple, j’ai été victime de viol, donc je veux me venger de l’être qui m’a fait souffrir.
Maintenant, imaginons de prendre plus de recul, et découvrons que cet être qui me maltraite a lui/elle aussi vécu la même chose dans son enfance, et n’a visiblement pas trouvé la force de dépasser cela. Quelle décision puis-je prendre alors? Est-ce que je continue à vouloir le/la « boxer »? Où est-ce que je peux me dire que je suis mieux placé(e) que personne pour comprendre ce que cet être a vécu et pardonner cette cause?
A présent, prenons encore un pas de recul. J’apprends avec l’aide des bonnes personnes, que j’ai été à la place de cet être dans une vie passée et que je lui ai fait subir la même chose qu’il/elle m’a infligé. Quelle décision puis-je prendre à ce moment-là? Pourrais-je me dire alors que l’équilibre des choses a été rétabli, que je peux à présent accepter et pardonner et enfin passer à autre chose car je mérite d’ETRE HEUREUX(SE)?
Décider de sa propre résilience
Tu vas me dire que je radote et tu auras sans doute raison. Mais la DÉCISION – celle du cœur – est fondamentale pour ouvrir toutes ces portes. Sans décision, nous restons enfermés dans le « diagnostic de la situation », dans le jugement de qui a raison ou tort, et le reproche. Et tant que nous sommes là, nous continuons de souffrir.
Je peux témoigner des étapes qui suivent car je les ai personnellement expérimentées en conscience. Etant une être humain plutôt dans la moyenne, je suis convaincue que cela est accessible à qui veut bien s’en donner les moyens, et le temps, en fonction de(s) trauma(s) à évacuer. Le rythme de chacun est évidemment incontournable dans ce registre. Rien de sert de forcer les choses.
Sortir du diagnostic requiert la DÉCISION d’accepter que nous ne connaîtrons jamais tous les tenants et/ou aboutissants de ce qui nous a mené là. C’est la première étape. La deuxième est de DÉCIDER de lâcher prise sur le désir d’avoir raison, car c’est lui qui nous maintien dans le statut de victime. Dans cet état de pensée nous devenons un « velcro à frustrations ». La troisième étape et de DÉCIDER de pardonner à l’autre, ce qui libère automatiquement non seulement l’esprit mais également le corps. La quatrième est de DÉCIDER de trouver le courage d’être HEUREUX/HEUREUSE…et de profiter de la légèreté retrouvée. Nous reparlerons de ceci dans un prochain article.
Françoise Chandernagor
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Sortir du brouillard
Le brouillard arrive dans nos vies plus souvent qu’on ne le souhaite. C’est ce moment étrange où tout ce que nous avons toujours connu, disparaît soudain sous le voile. Dans un tour de magie, c’est quand l’artiste pose un foulard sur le chapeau pour en sortir un truc inédit. Un lapin par exemple!
En matière de météo, j’ai toujours entendu dire, dans ma campagne natale, que le brouillard matinal annonce une belle journée ensoleillée. Et pourtant, quand nous essayons d’avancer coûte que coûte dans ces conditions, nous passons parfois un sale quart d’heure! Les risques d’accidents augmentent sensiblement. Les frustrations aussi, car il est maintenant difficilement acceptable d’être « entravé(e)s » dans notre course contre le temps.
Il arrive même que le brouillard se lève alors qu’on ne s’y attendait pas. En ce moment l’humanité et la Terre passent beaucoup de caps. Certains sont joyeux, d’autres beaucoup moins. Nous sommes tous exhortés silencieusement à nous libérer de nos entraves pour avancer vers l’étape suivante. Le brouillard s’est levé sur la Terre, et personne ne sait quand le voile se dissipera, ni sur quel paysage le soleil se lèvera… Du coup, j’ai eu envie de partager les moyens que j’ai trouvé pour traverser plus sereinement ce brouillard de la vie.
Prendre conscience que le brouillard s’est levé
Cela implique de relever la tête, de regarder droit devant, et d’être présent à ce que l’on est en train de vivre. Rien que çà, c’est déjà un challenge en soi compte-tenu de nos quotidiens qui pulsent. Il faut un minimum d’espoir pour faire cela. Une façon de s’en donner les moyens est de se dire que, quel que soit ce qui arrive, soit nous réussirons à le traverser, soit nous en apprendrons de nouvelles leçons et compétences. Bref, dans tous les cas, avec une telle approche, il y aura un résultat utile à l’aventure.
Qu’est-ce qui fait que, soudain, les trucs qui fonctionnaient très bien dans nos vies, un jour, se dérèglent? C’est la question que je me suis posée ces derniers temps. Et je suis arrivée à la conclusion que cela se produit quand les habitudes sont devenues contre-productives, quand la vibration demande à évoluer. Dans nos approches spirituelles et développement personnel, nous courons après je ne sais quel « el dorado » énergétique. Mais sur ce chemin il peut y avoir des caps à passer, des sortes de paliers. Des moments où on maîtrise ce palier, et où il devient urgent de passer au suivant. C’est à ce moment-là que le brouillard peut se lever.
Se donner le temps d’accueillir
Le dictionnaire des symboles est très utile pour prendre du recul le temps de comprendre ce qui arrive. Bref, à propos du brouillard, il dit, entre autres, ceci :
Symbole de l’indéterminé, d’une phase de l’évolution, quand les formes ne se distinguent pas encore ou quand les formes anciennes disparaissent et ne sont pas encore remplacées par des formes nouvelles précises. Dans la peinture japonaise […], ils signifient un trouble dans le déroulement de la narration, une transition dans le temps, un passage plus fantastique ou merveilleux […]
Dictionnaire des symbolesTout comme avec le vrai brouillard sur la route, rien ne sert de vouloir maintenir coûte que coûte notre vitesse de croisière. La visibilité n’est pas bonne, voire complètement absente! Le temps est au ralentissement, à la prise de recul. C’est le moment d’actionner d’autres lumières, d’autres éclairages sur notre vie, jusqu’à ce que nous trouvions le spot capable de transpercer l’épaisse nuée blanche.
Accepter la métamorphose
Une nouvelle grille de lecture des événements est à trouver. Et par nouvelle, il me semble que cela veut dire plus simple et surtout de plus juste pour soi. Une sorte de nouvelle douceur, de nouvelle bienveillance envers soi, d’abord, pour ensuite l’étendre au Monde. Autre symbole, celui de la chenille qui se libère de son cocon pour déployer ses nouvelles et magnifiques ailes. Sauf qu’à l’inverse du papillon, nous ne mourons pas ensuite…Nous passons à la métamorphose suivante. Tout simplement!
En matière d’évolution énergétique et spirituelle, il n’y a pas de limite, pas de fin. L’Univers est infini. Au nom de quoi pourrions-nous, humains, poser un panneau fin où que ce soit? La seule limite acceptable à mon sens est celle que notre Âme s’est fixée avant de s’incarner dans la matière. Les seules limites de notre expérimentation de la vie sont celles du « deal » que notre Âme a passé avec l’Univers au départ.
A chacun son brouillard!
A ce titre, les batailles d’ego auxquelles nous assistons parfois dans le milieu de la spiritualité et du développement personnel sont vraiment sans intérêt, ni pertinence. Quel que soit le « deal » de notre Âme, nous contribuons tous à l’oeuvre globale, que nous le voulions ou non. Même un Etre qui met tout son cœur à contrer ce mouvement, contribue à sa façon au « Grand Tout ». Sa place est prévue au tableau, tout comme celle du « meilleur » thérapeute guérisseur qui soit. Il n’y en a pas un qui soit meilleur que l’autre de ce point de vue.
Chacun est utile au plan, et chacun a ses propres brouillards à traverser. Et quand bien même certain(e)s auraient la conviction d’être plus ou moins arrivé(e)s aux limites supérieure du tableau, il faut prendre conscience qu’ils sont aux limites du tableau dont les dimensions ont été choisies par leur Âme…Mais ce n’est certainement pas les limites du puzzle complet…puisqu’il n’y en a pas.
La résilience et la joie pour garder le cap quoiqu’il arrive!
Cette idée est très rassurante, il me semble. Cela veut dire qu’il y a juste à vivre ce qui est à vivre. Traverser les brouillards qui se présentent au meilleur pour soi. Lorsqu’on se libère de la notion de niveau et de cadre, tout devient petit et grand à la fois et l’enjeu n’est plus de gagner la course, mais de vivre l’expérience en étant le/la plus heureux(se) possible. Tout simplement.
Il me semble que le meilleur cap pour traverser n’importe quel brouillard est celui de la résilience, et de la joie quoiqu’il arrive! En tout cas, c’est le spot le plus efficace que j’ai pu trouver pour traverser mes propres brouillards jusqu’à présent. Concrètement, il s’agit d’accepter le challenge, d’intégrer qu’aucune réponse n’est fausse et qu’un résultat bénéfique (un nouveau bien-être, une nouvelle compétence, une nouvelle perception etc…) est toujours là au bout du chemin.
Le brouillard parfait, au bon moment.
Il est temps d’ancrer dans nos têtes et nos égos que nous recevons toujours de l’Univers exactement ce dont nous avons besoin, au moment où nous sommes prêt(e)s à le recevoir. De plus, ces choses là se font toujours en silence, ainsi que dans l’Amour inconditionnel et infini de toutes les formes de Vies. Comme j’ai pu déjà l’écrire par le passé, les événements, les brouillards de la vie, en eux-mêmes sont neutres. C’est notre façon de les vivre, de les traverser qui fait toute la différence!