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Faire la paix!
Tout d’abord, je te souhaites une excellente année 2021! Comme elle sera ce que nous en ferons, je te souhaite plein de résilience, de joie et surtout de liberté d’être!
D’un point de vue plus pragmatique, j’ai appris qu’une famille ou un écosystème, quel qu’il soit, cherche sans cesse à maintenir un certain équilibre. Cela peut passer par différentes stratégies dont l’une d’elle est de choisir, entre 2 maux, le moindre. Alors, ces derniers temps, en tant que société, nous sommes actuellement amenés à choisir. Entre le Covid et la dictature sanitaire, d’une part, ou le chaos intérieur et l’effondrement sociétal, d’ autre part. Les deux font peur. J’en conviens, mais c’est bien là où nous en sommes aujourd’hui.
La première dynamique présente l’avantage de l’illusion du maintien des acquis, au prix de compromis toujours plus compromettants parfois…Il est alors permis de se demander si la réalité actuelle est vraiment dans la continuité de ce qui était au départ. La deuxième dynamique est d’accepter de se laisser porter par le courant en attendant qu’il nous dépose à notre nouvelle place. Trouver le moyen de lâcher-prise tout en restant aligné(e)s…
En fait, la nécessité pour chacun(e) de (re)trouver sa place est au final la seule priorité de cet écosystème malmené. Certains vont la retrouver en quittant ce Monde, d’autres en déménageant, d’autres encore en démissionnant, ou en tombant malade…Tout cela pour – au final – mieux renaitre à elles/eux-mêmes.
Enfin, tourner la page...
Oui, un jour nous nous retournerons sur cette crise. Un jour nous comprendrons qu’elle était nécessaire et bénéfique. Elle nous a obligé à nous sortir de notre zone de confort pour évoluer vers plus de justesse.
Quelle que soit la dynamique privilégiée, il s’agit toujours d’énergie de vie qui se régule. Tout comme l’eau, la vie se fraye toujours un chemin à travers les obstacles, et parfois dans des endroits les plus inattendus. Accepter cela, c’est s’épargner une bataille perdue d’avance et garder ses forces pour celle qui nous occupe aujourd’hui.
Ce matin, j’ai pensé à ce livre de Pema Chödrön « Faire la paix en temps de guerre »… C’est indubitablement un livre sur la résilience. Et, ce que j’aime dans son ouvrage, c’est son sens des réalités, mais aussi la simplicité et l’optimisme dans chacune de ses paroles.
Alors, j’ai décidé d’en extraire quelques passages avec ce hasard, qui n’existe pas…Et de voir comment cela pourrait nous éclairer en ces temps si particuliers de notre histoire.
L’origine du problème…
C’est dans le cœur des êtres que commencent la guerre et la paix
Chapitre I – Pour faire la paix en temps de guerreVoilà la première solution et de loin la plus efficace que nous pourrions nous donner : dialoguer avec notre cœur. Cela implique de le relier à notre conscience. En d’autres termes, de revenir à l’intérieur de nous-mêmes, de « retourner au bercail », comme on dit chez moi. Au lieu d’aller faire de l’ingérence dans la vie et les affaires des autres…De chercher des pailles chez elles/eux qui nous dispensent de regarder nos propres poutres.
Comment? En prenant du temps pour soi. Du temps pour retrouver les clés de son intérieur. Un moment pour poser ses mains sur ces zones du corps qui souffrent et leur demander ce qu’elles essaient de nous dire. Cette partie là, nous sommes assez nombreux(ses) à y arriver maintenant. Ce qui est plus compliqué c’est d’écouter la réponse, de l’entendre surtout, et de la considérer à sa juste valeur.
Notre corps répond à chacune de nos questions, par des images, des sons, des ressentis exacerbés, etc… Ecoutons-les! Ils s’agit de notre propre voix, celle de notre matière. Il est peut-être temps d’y accorder le crédit qu’elle mérite. Avant qu’elle emploie les grands moyens, les grandes « mal-a-dies » pour se faire entendre!
Les pièges tendus par nos « meilleurs ennemis »
Quand on apprend à se détendre lorsque l’envie est forte, on a une plus vaste perspective sur ce qui se passe…
Chapitre III – Ne pas mordre à l’hameçonSi tu es en recherche de mieux-être tu as peut-être déjà entendu parler de « saboteur ». Il s’agit d’une partie de nous qui se déploie pour nous protéger, souvent durant l’enfance. Et qui parfois s’incruste durablement dans notre programme comportemental. En fait, ce qui était au départ un « protecteur », en s’incrustant, devient une sorte de « sabotecteur »!
Lorsque nous mordons à l’hameçon des émotions agréables ou désagréables nous nous attachons à elles comme des vers sur un hameçon. Et nous le faisons peut-être à cause de nos « sabotecteurs »,qui continuent à identifier des menaces potentielles là où il n’y en a peut-être plus en réalité.
Reconnaitre et accepter les moments où nous ne sommes plus libres!
Et on commence à voir que la vie offre des possibilités innombrables de faire les choses autrement
Chapitre VI – L’insécurité positiveLorsqu’une partie de nous intime l’ordre de continuer à respecter des injonctions internes ou externes, c’est que nous ne sommes plus libres. Cela nous plonge dans l’insécurité et nous prive de notre talent à rayonner ce que nous sommes.
Des multiples réactions possibles à cette prise de conscience, Pema Chödrön nous suggère de choisir l’acceptation. Par exemple, constater que nous sommes enfermé(e)s dans un processus restrictif, puis envoyer notre obligation de performance se faire voir, et enfin, réguler définitivement nos émotions. Notre corps a toutes les compétences requises pour le faire. Encore faut-il lui en laisser l’occasion sans nous en mêler.
La méthode TIPI, ou la pleine conscience, permettent de débusquer les « sabotecteurs » à l’œuvre dans nos différents contextes de vie. Ce sont des moyens de laisser notre corps leur montrer la porte avant qu’ils ne tapent l’incruste! Faire cela, en lien avec nos ressentis physiques, permet de court-circuiter beaucoup de nos résistances internes.
Et l’Univers dans tout çà…
Pour terminer, voici quelques mots de ma guidance personnelle. Pour ressentir à quel point toutes nos tentatives pour retrouver l’équilibre en nous et autour de nous est soutenue et encouragée!
« Les choses de la vie sont celles qui se produisent devant tes yeux mais aussi au sein de ton corps, de ta matière. Les deux sont liés inexorablement. Tu ne peux en vivre un sans vivre l’autre instantanément. C’est pourquoi nous t’encourageons à te demander à chaque instant si ce que tu vis en toi et autour de toi est bien à sa place dans ta matière. Si les choses que tu ressens te satisfont ou pas. Ceci est ta liberté propre de choisir si ce que tu vis, ce que tu expérimentes, te convient…ou pas.
Nous les êtres de lumière nous ne sommes pas autorisés à faire de l’ingérence dans ce processus de libre-arbitre. Nous respectons toutes les formes de vies dans ce qu’elles souhaitent expérimenter pour elles-mêmes. Les êtres qui souhaitent expérimenter de la souffrance sont tout autant aimés et choyés que ceux qui ont besoin de s’en libérer à tout prix. Dans nos yeux personne n’est meilleur que l’autre et personne ne vaut mieux que l’autre.
Il y a simplement des expressions de la Vie sous différentes formes et nous voyons en permanence comment nous pouvons l’aider et la supporter dans son cheminement, dans son écoulement perpétuel.
Parfois, nous avons la nécessité d’intervenir lorsque les décisions de l’individu sont erronées par rapport à ce que souhaite fondamentalement son Ame. C’est le seul moment où nous sommes autorisés à le faire et c’est très rare. Le reste du temps nous observons avec Amour inconditionnel ce que la Vie de l’un et de l’autre veut se donner de souffrir ou de guérir.
C’est à toi qui nous lit de choisir ce que tu veux faire en ce temps de guerre. Alors que choisis-tu ? La paix ou la guerre? Saches que nous te soutiendrons quel que soit ton choix. Et s’il te rend heureux(se) alors nous le serons également.
Nous te chérissons tel(le) que tu es et tel(le) que tu te vis, quoiqu’il advienne. Sois assuré(e) que rien n’est un obstacle à notre Amour. Rien, pas même la mort ou toute la brillance de ta Vie. Nous te le disons encore une fois, nous t’aimons pour ce que tu es et comme tu es. Il n’y a pas d’autre chose à faire pour nous que cela.
Et cela, nous le faisons de bon cœur et avec une immense joie et une immense fierté pour tout ce que tu te donnes de vivre depuis que nous te guidons. Nous sommes ton guide et nous t’aimons inconditionnellement, comme il se doit. »
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Retour vers le futur!
Ou l’art de prendre conscience du chemin parcouru mais aussi de l’influence de nos choix sur le déroulement de nos existences…
Nous voici au seuil de 2021! Emplis de soulagement que cette année si particulière soit sur le point de se terminer. Et peut-être aussi inquiet(e)s de savoir ce que 2021 nous réserve. Cette année qui se termine, ce temps-là, nous a pour la plupart bousculé(e)s. A présent, il est en train de nourrir d’autres dimensions de nos existences auxquelles nous n’avons pas (encore ou toujours) accès.
De mon coté, je retiens de belles choses comme notre éveil au lien avec la nature. D’ailleurs, nos jardins n’ont jamais été aussi bien entretenus que pendant ce confinement! Beaucoup ont également décidé de quitter les villes pour s’établir à la campagne. Je constate également un besoin accru de lien avec d’autres êtres, hors noyau familial, sous la forme de regroupements en petites communautés partageant ressources et valeurs.
En 2020, les voisins se sont parfois épiés et dénoncés mais aussi entraidés, tandis qu’à la faveur des égos, certaines relations de couple, de travail ou d’amitié ont pris fin. Et d’autres ont vu le jour. Nous nous sommes rappelé de la valeur des bisous, des câlins, et avons compris en quoi ils contribuent à notre santé physique et émotionnelle aussi! Nous verrons sans doute bientôt de nouvelles âmes nous rejoindre…pour participer à la mise en place de l’ère du Verseau.
De très belles initiatives ont vu le jour! C’est comme si la nature humaine avait autant révélé son ombre que sa lumière. Nous avons vu émerger toutes sortes de collectifs . Des êtres résolument tournés vers ce que j’appelle le « Nouveau Monde » qui, malgré la distance, ont continué à diffuser de l’espoir et de la joie.
Du coup, dans la lignée du proverbe africain qui dit « Lorsque tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens« , je propose aujourd’hui une petite rétrospective de notre 2020 avec le support de divers articles que j’ai pu partager ici cette année (liens dans les titres de chaque paragraphe)!
Un jour, en 2020, tu diras STOP!
Alors qu’en est-il 12 mois plus tard? A qui, ou à quoi, avons nous dit STOP pour notre plus grand bonheur? Je parle de choses que nous avons librement décidé, et non de celles qui nous ont été imposées, bien qu’il puisse y avoir un lien entre les deux. D’ailleurs, si c’est le cas, une occasion se présente de regarder les cataclysmes de 2020 comme des clés pour ouvrir quelques portes de notre prison.
Quels sont les 2 cotés de la médaille que 2020 a mis en exergue pour toi?
Bien-être, médias et réseaux sociaux…
Nous avons vu la crédibilité des médias s’effondrer et les alternatives éclore comme des fleurs au printemps. Il y en a maintenant pour tous les goûts! Cela nous poussent à nous demander à nouveau ce qui est juste pour nous parmi les diverses propositions et partis pris. Nous avons aussi été témoins du début de l’Age d’or des lanceurs d’alerte…Voyons combien de temps nous en aurons besoin!
Au-delà de ce constat, cette crise nous aura mis face à notre capacité de discernement et d’autonomie dans la prise de décision. Cela nous aura aussi montré à quel point nous avions perdu l’habitude de construire nos propres référentiels et notre dépendance aux choses « toutes faites ».
Et toi, comment as-tu (re)-trouvé ton discernement et ton autonomie en 2020?
Retrouver le chemin de l’abondance et de la liberté
En résumé, cette année nous a permis de voir de quel « bois nous nous chauffons vraiment ». Comment aurait-on pu le savoir autrement? Il aura fallu plonger dans l’adversité pour que nous sortions de notre routine, de notre confort…Ce que nous aimerions peut-être c’est que l’adversité s’arrête maintenant. Qu’à cela ne tienne!
J’en arrive à ce qui me semble être la plus grande « leçon » de 2020: notre responsabilité dans tout çà. En effet, il est d’usage de blâmer l’autre pour nos difficultés, nos blessures etc…comme si nous étions d’éternelles victimes. Mais nous sommes tous les créateurs de nos propres vies. Une partie de nous créé, en continu, le décor de la vie qui se manifeste devant nous. Même lorsque nous n’y sommes pour rien, que nous ne demandons ou disons rien, cette partie de nous se positionne et consent…
Quelle bonne nouvelle! Cela veut dire que nous avons le pouvoir de tout changer dès que nous le souhaitons.
Alors comment pourrais-tu créer ta vie afin de faire ta part pour manifester la sortie de cette crise?
2021 : what else?
Pour ma part, j’ai décidé de donner mon énergie uniquement aux choses qui me parlent, qui me nourrissent et me mettent en joie. Au risque de me répéter, notre énergie va nourrir ce sur quoi nous focalisons notre attention. Aussi, il me semble que tant que nous continuons à nourrir les égrégores en lien avec ce « vilain virus », nous entérinons son existence durablement et nous lui donnons tout ce qu’il faut pour se maintenir dans nos quotidiens.
Je ne suis pas en train de dire qu’il faut ignorer totalement le monde dans lequel nous vivons mais simplement lui laisser la place qu’il mérite dans nos priorités. Ma proposition est d’arbitrer en permanence quelle chose mérite ou pas mon attention, et donc mon énergie. Je me consacre en priorité à mes projets, à mes amis, à ma famille, bref, tout ce qui me motive et me met en joie.
Je fais également en sorte de me rappeler qu’une partie de nous a souhaité être incarnée dans un corps à ce moment précis de l’histoire humaine et terrienne…Cette part de nous qui nous fait vivre, a une mission! Il me semble que la découvrir et l’expérimenter est une aventure digne de ce nom.
Et si nous utilisions à présent notre temps à découvrir quelle est vraiment la nôtre?
Note: Cet article fait la part belle à la chaine Tistrya sur Youtube. Antony Chêne y produit un travail de qualité avec l’aide d’intervenants pertinents et ancrés. Je recommande son travail pour aider à la digestion de tous les extras que nous avons ingérés en 2020 et en particulier ceux issus des festivités de fin d’année!
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Etre ou ne pas être…
Dans un contexte où il est continuellement interdit de faire, comment garder sérénité et joie de vivre?
Y-at-il eu un moment dans nos vie où il nous a simplement été demandé d’ETRE? C’est-à-dire que le seul truc à faire c’était ETRE. Nous voilà tous frustré(e)s de ne plus pouvoir vivre et faire que nous avons à faire à notre guise. Cette année aura décidément été sous le signe de l’entrave. Quelle que soit la raison invoquée c’est comme si la vie nous disait « tu en as déjà fait assez, maintenant çà suffit! ».
Mais nous, on aime le mouvement, on en a besoin du mouvement! Comme si pour avoir la sensation de vivre pleinement il fallait être perpétuellement en train de gigoter!
Alors, regardons ce conditionnement à FAIRE de plus près. En quoi nous aide-t-il à traverser les aventures du quotidien? Comment serait notre vie si le but était autre? Quelle autre verbe pourrions-nous utiliser pour mieux vivre l’ici et maintenant?
NOUVEAUTE : Comme la plupart d’entre vous accède aux articles sur son mobile, je teste l’usage de ma voix avec un podcast. Dis-moi en commentaire ce que tu en penses! Et si les retours sont positifs, je développerais plus de contenu via ce type de support…Enjoy!
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Notre quête de sens…
Décidément 2020 est l’année de l’incohérence et de la dissonance cognitive! Et nous avons tous mis en place nos propres stratégies pour lutter contre cela…
Ces derniers temps, il nous est demandé, voire imposé quelque chose et son contraire en même temps. A cela, s’ajoute une censure toujours plus exacerbée de toute information qui n’est pas dans la « bien-pensance » actuelle. Nous devons rester chez nous, mais il est autorisé d’aller à l’école ou de travailler.
Nous pouvons nous entasser dans les transports en communs mais pas dans nos propres foyers…Les enfants ne sont ni porteurs ni transmetteur du « vilain virus » mais on leur met un masque dès 6 ans…La liste est longue! Etonnant qu’on ne nous ait pas encore demandé de « courir sans les jambes! » Bref, nous barbotons dans un marais d’incohérences et de contradictions.
Le besoin de comprendre
Le premier réflexe, c’est d’essayer de faire le tri, de comprendre ce qui est autorisé, et ce qui ne l’est pas. Nous sommes d’ailleurs devenus très patients à ce propos. Il n’y a pas si longtemps, nous aurions fait comme bon nous semble, fidèles à notre légendaire indiscipline, et tout se serait très bien passé au final. Nous aurions râlé, nous aurions sans doute manifesté notre mécontentement, mais les choses auraient fini par « se tasser » comme souvent. Evidemment, quelques-uns d’entre nous ont pris cette option. Mais ils sont peu en comparaison du « hold-up » dont nous sommes devenus des témoins résignés.
Attention, je ne prône pas la violence! Je constate simplement que notre esprit critique semble avoir presque totalement disparu depuis que ce « vilain virus » à fait son apparition.
Alors comment se fait-il que nous soyons si inertes, si amorphes, nous le peuple de la révolution? Dans quel labyrinthe nous sommes-nous égarés pour nous soumettre à ce point? Comment une telle supercherie monumentale et surtout mondiale peut-elle se dérouler sous nos yeux sans que nous ne disions mot? Comment est-il possible d’en arriver à nous signer nos propres autorisations de sorties pour regagner un tantinet de nos libertés fondamentales?
Cette semaine, je plonge dans les mécanismes de défense que nous mettons en place lorsque plus rien n’a de sens. Et surtout, je regarde comment nous pourrions activer différemment notre résilience pour retrouver le chemin de la « vraie vie »!
La solution de facilité
Dans un monde « normal », face à une situation inconnue, nous aurions pris le temps de nous informer pour connaitre les indicateurs clé du problème, et par conséquent de la mesure des progrès. Nous aurions interrogé nos médecins, nous aurions fait en sorte de participer à des réunions publiques d’information au niveau local. Nous aurions échangé entre nous et aurions partagé les informations glanées par nous-mêmes etc…
Or tout cela, nos médias l’ont anticipé, nous privant ainsi de notre libre-arbitre et de notre esprit critique. Nous sommes à présent dans une position où toutes les informations autorisées nous sont apportées sur un plateau d’argent, avant même que nous les demandions. L’humain étant de nature paresseuse, il est plus simple pour certain(e)s d’entre nous de gober la becquée quotidienne des informations « autorisées », que d’aller les chercher par elles/eux-mêmes. Surtout s’ils/elles passent leur journée à galoper dans tous les sens…
En répondant à des questions non-encore posées, ce système a gentiment poussé nos esprits vers un chemin qu’il connait d’avance. Ils peut alors en maitriser la course. Dans un monde « normal », nos lanceurs d’alerte seraient des citoyens lambda. Ils ont simplement rendu publiques les informations qu’ils ont pris la peine d’aller chercher par eux-mêmes. D’accord ou pas avec leur analyse, nous pouvons quand même les remercier d’avoir fait cet effort de re-information et de l’avoir partagé au plus grand nombre (cliques l’image ci-dessus pour en savoir plus…). Cela nous donne au moins l’opportunité d’avoir 2 points de vue différents à confronter.
Le marketing au service de l’oppression
Dans cette société de consommation, où chaque individu est habitué à choisir parmi un catalogue d’options plus ou moins attrayantes. Dans une telle société, il est très simple pour nos médias et nos dirigeants de créer un besoin (celui d’être en sécurité par rapport au virus). Il est également plus aisé de prévoir et préparer toutes les réponses. Le rouleau compresseur était déjà créé avant même que nous ayons eu conscience véritable de l’étendu du problème.
J’ai passé 20 ans à arpenter ce chemin. Créer des besoins dans le seul but d’y répondre de la manière qui arrange et de gagner de l’argent avec au passage. La gestion de la crise du Coronavirus n’est autre que cela. Une immense campagne de marketing opérationnel visant à activer un de nos besoins les plus fondamentaux: celui d’être en sécurité.
Comme par hasard, quand le virus ne suffit plus, on y ajoute les attentats et les terroristes, pour bien nous rappeler à quel point la vie est fragile. Cela nous replonge dans le marasme d’une vie stressée et dénuée de sens. Pourtant, en grande majorité, notre vie est sécurisée. Encore faut-il l’intégrer à l’intérieur de soi.
Il y a une différence entre être en danger et se sentir en danger…
Tout ceci montre bien qu’un fossé semble se creuser entre notre sécurité réelle et celle que nous ressentons à l’intérieur de nous. D’ailleurs, nous le creusons avec la « jolie pelle » que nous fournissent les médias et les dirigeants de notre pays. Regardons à quel point les compagnies d’assurance aux particuliers se portent à merveille (+4% de croissance en 2018) ! Nous avons une assurance pour chaque chose, y compris les catastrophes qui arrivent une fois tous les 36 du mois!
Voyons aussi l’excellente santé des sociétés de télésurveillance en France (+11% de croissance par an entre 2013 et 2017 – source MSI report) ! Encore une fois je ne nie pas qu’il arrive des agressions plus ou moins graves à certain(e)s d’entre nous. Mais considérons une minute que nous créons tout ce qui nous arrive à la force de nos croyances. En d’autres termes, si je crois que je suis en danger et que je vais me faire agresser, alors j’attire à moi tout ce qui va me confirmer cette croyance. C’est une loi fondamentale de l’Univers.
Parfois, ce mécanisme de crainte du danger est vécu en conscience, et parfois c’est un processus souterrain. Malheureusement, nous vivons dans un Monde où des gens ont compris comment activer ces mécanismes. Et ils les exploitent pour nous priver peu à peu de nos libertés les plus fondamentales. Ceci dit, pour cela, ils ont quand même besoin de notre bénédiction…
Retrouver le chemin de la vie et la sécurité
Restons sur cette idée que la dissonance réside dans l’incohérence entre ce que nous vivons à l’intérieur et ce qui se déroule à l’extérieur. Lorsque nous sommes connectés à notre intérieur, le sentiment de sécurité revient instantanément. Partant du principe que nous sommes TOUJOURS responsables de TOUT ce qui nous arrive, il y a là une excellente nouvelle!
En effet, si nous créons notre vie, il doit être possible dès maintenant de la concevoir d’une manière plus douce et aimante pour nous-mêmes. Comment? Ou en cessant de gober la becquée insipide que nous proposent ceux qui nous dirigent. Sinon, en commençant à nous mettre en résonnance avec ce qui nous rend heureux, ce qui nous fait du bien. Bref, en nous nourrissant de ce qui nous porte et non de ce qui nous plombe!
Concrètement, l’acte le plus militant, que chacun(e) pourrait poser, serait de stopper le mental pour se consacrer aux véritables désirs de son cœur. Evidemment, le cerveau et nos saboteurs nous poussent à trouver du sens à ce qui arrive. La quête de sens est un des pièges de l’incarnation humaine. Notre être le plus pur n’a pas besoin de comprendre tout ce qui se passe. Lorsque nous sommes connecté(e)s à notre cœur, rien ne peut nous déflagrer. Pas même un « vilain virus », un fanatique religieux ou Donald Trump, aussi charismatiques soient-ils!
Aider la Terre dans sa course au bonheur, pour notre survie!
Le deuxième acte le plus militant que nous pourrions poser serait d’aller visiter notre Mère Nature aussi souvent que le besoin s’en fait sentir. A plusieurs de préférence. Car elle nous regarde et elle nous aime. Tous les aliments que nous consommons proviennent non pas du travail humain mais de son travail à elle! Et elle continue à fournir quoiqu’il arrive.
La Terre évolue vers plus de conscience, pendant qu’elle continue de supporter au moins 7 milliards « d’enfants gâtés » qui la pillent de ses ressources. Si cela n’est pas un bel exemple de résilience et d’amour, je ne sais pas ce que c’est! Alors, puisque nous avons le choix et que nous l’avons toujours eu. Que, même difficiles, les alternatives existent. Pourquoi ne pas choisir ICI et MAINTENANT notre sécurité intérieure? Et remettre notre sécurité extérieure à la nature, comme un havre de paix.
A la manière de ces métronomes, synchronisons nous sur des vibrations résilientes plutôt que celles qui nous enfoncent toujours plus profondément dans la déprime. Rendons visite aussi souvent que possible à notre Terre-mère. Aidons-la, montrons-lui à quel point nous avons compris que nous sommes tous dans les mêmes bateau. Et réconfortons-la en lui montrant qu’elle n’est plus seule à se battre pour sa survie. N’est-ce pas là le plus grand sens que nous pourrions trouver à nos existences?
Serions-nous de ceux qui résistent ou bien les moutons d’un troupeau s’il fallait plus que des mots?
Fredericks, Goldman, Jones…Né en 17 à Leidenstadt -
L’art de manifester l’abondance.
A l’instar de ces champignons, l’abondance matérielle et/ou affective requiert un certains nombre de facteurs incontournables pour se manifester…
Difficile de croire que la vie peut être merveilleuse en ces temps troublés! Et pourtant l’abondance est toujours là. Ce qui manque, c’est notre disponibilité pour la manifester. Qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire? Non, ce n’est pas un énième article à « lunettes roses » qui refuse de voir la réalité en face!
En fait, comme beaucoup, je galère parfois à voir l’abondance se manifester dans ma vie. Etre convaincue que tout est toujours juste aide grandement à atteindre cet « état de grâce ». Mais cela n’est pas toujours suffisant. Alors cette semaine j’ai voulu comprendre pourquoi parfois çà fonctionne et parfois pas!
« Le besoin derrière le besoin »
Quand nous achetons un perceuse, nous ne le faisons pas pour avoir la dernière technologie à la mode. Nous le faisons avant tout pour faire des trous, dans toutes sortes de matériaux. Acheter la perceuse est en fait un moyen, ou une solution possible dans ce cas, mais faire des trous est le réel besoin. Après tout, je peux aussi emprunter un perceuse et non l’acheter, je en louer une, je choisir un poinçon à la place…Bref, tu l’auras compris c’est en fonction du type de trou que je veux faire que je vais identifier ce qui est selon moi le meilleur moyen de l’obtenir.
Seulement voilà, même si internet nous aide grandement dans l’accès aux différentes possibilités pour répondre à notre besoin, nous n’avons pas souvent une vision exhaustive et surtout juste de ce qu’il nous faudrait vraiment. Cela requiert une connaissance et un recul dont personne ne dispose. Par conséquent, nous tombons assez rapidement dans le domaine des réponses toutes faites aux besoins créés de toute pièce.
L’Univers nous connait mieux que nous même. Une partie de nous, notre inconscient assisté de notre égo (si-si) l’informe de ce que nous souhaitons expérimenter. En retour, l’Univers manifeste la réalité correspondante à notre véritable intention (celle du cœur en l’occurrence). A condition de formuler correctement le besoin et non notre idée du moyen.
La formulation « Univers-compatible » de nos besoins
Un principe qui commence à être bien connu parmi les êtres en cours d’éveil est la nécessité de formuler son besoin au présent, à la première personne, de manière positive, comme s’il était déjà réalisé. Le livre « Choisir la Joie » de Sanaya Roman est riche d’explications sur tous les phénomènes qui sont activés par la formulation juste de nos besoins.
Prenons un exemple d’objectif inefficace: Je veux arrêter de fumer. Dans ce cas, l’énergie est positionnée sur le mot « fumer » et non sur l’action de stopper. Par conséquent, comme la personne fume déjà, pour l’Univers cela revient à dire que la personne souhaite continuer à fumer.
Une meilleure formulation serait : Je respire librement! L’intention est alors posée sur le besoin véritable qui est de retrouver sa capacité à respirer normalement, c’est-à-dire sans l’inhalation de tabac.
Cet exercice peut être fait pour tous les besoins dans tous les registres. Il est vrai que cela nous demande de fonctionner à l’envers de ce que nous avons l’habitude de faire. Mais si notre mode opératoire actuel était réellement efficace, nous ne serions pas en train de lire cet article pour tenter de trouver une autre solution!
Reprendre notre souveraineté
L’avantage de ce type d’exercice c’est qu’il fonctionne pour tout dans l’existence. L’Univers réagit à chacune de nos intentions, dans la forme où elle est posée. Par conséquent, que nous l’acceptions ou non, nous portons l’entière responsabilité de ce qui nous arrive, ou pas.
Nous créons notre vie à chaque instant. Etre attentif à la manière dont nous posons nos objectifs et intentions est fondamental et c’est le premier pas vers un réel mieux être. Il s’agit tout simplement de reprendre notre souveraineté, les rennes de nos vies pour décider pleinement ce que nous souhaitons pour nous-mêmes.
La situation actuelle nous montre bien ce que donne à l’extrême un pays qui remet son autorité dans les mains de quelques êtres pas toujours très lumineux, ni bien intentionnés!
Il est donc plus que temps de nous poser les bonnes questions. Il est urgent à présent de réfléchir à nos véritables besoins et non moyens d’y parvenir. Nous n’avons pas besoin d’un état qui nous donne ce que nous voulons. En revanche, nous avons besoin d’une société qui soit en mesure de nous fournir ce dont nous avons besoin.
Nous n’avons jamais été seuls dans tout çà…
La pyramide de Maslow est une des représentation des besoins de l’être humain. Elle a le mérite d’être simple à comprendre et synthétique. Prenons donc le temps de nous rappeler de ce qui est vraiment fondamental pour nous en termes de besoins et utilisons les temps que nos dirigeants s’apprêtent à nous donner pour identifier la meilleure manière de répondre à nos besoins.
L’univers est à nos portes. Il n’ a jamais été aussi proche et à l’écoute de nos moindres désirs. Il sait à quel point il est primordial pour la libération de ce Monde, que les êtres qui le composent soient libres et heureux (en tout cas le plus possible). Lorsque je regarde l’oppression qui nous est imposée depuis maintenant plus de 6 mois, je suis de plus en plus convaincue de des énergies bienveillantes sont forcément à l’oeuvre pour faire en sorte que l’humanité ne tombe pas dans le chaos.
Si la moitié de ce que nous avons vécu cette année s’était produite il y a ne serait-ce que 2 années de cela, nous aurions des guerres civiles partout sur le globe. Il est donc temps de faire notre part et d’œuvre chacun(e) à notre niveau pour dire haut et fort ce dont nous avons véritablement BESOIN! A tout(e)s celles/ceux qui penseront argent…continuez à vous questionner car l’argent est un moyen, certainement pas un besoin, ni une finalité!
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Se protéger…
Il est possible que tu ressentes en ce moment une certaine pression et que cela rende plus compliqué l’accès à ta joie intérieure...
Evidemment, le contexte actuel n’y est sans doute pas étranger, mais il se peut que tu ressentes d’autres énergies à l’œuvre en toi et autour de toi. Nous sommes sous l’influence de la nouvelle lune et celle-ci est particulièrement exigeante en matière de lâcher-prise.
Nous sommes incité(e)s à descendre de notre piédestal, de notre ego. A accepter notre part d’ombre, comme jamais auparavant. En fait, ne pas accompagner ce mouvement, peut occasionner un moral en dent de scie. Pas d’un jour à l’autre mais d’une heure à l’heure…parfois même d’une minute à l’autre.
Besoin de lâcher prise…
Si cela fait écho en toi alors tu sais ce qu’il te reste à faire. Je le redis, le livre d’Olivier Clerc sur le « Don du pardon », ou la vidéo de Franck Lopvet sur « l’Acceptation de soi » peuvent grandement aider pour sortir victorieux(ses) de nos batailles internes. Du coup, je t’encourage à y revenir autant de fois que tu en ressens le besoin.
En revanche, si tu ressens une pression, des douleurs, de la tristesse, une impatience en provenance de l’extérieur, alors que tu es seul(e), c’est peut-être que tu es impacté(e) par des énergies basses. Les temps sont maintenant difficiles pour ces êtres. L’énergie terrestre est tellement expansée, et la conscience planétaire tellement en évolution à présent, qu’il leur est difficile de se maintenir sans avoir recours à nos énergies.
Si tu es un(e) travailleur(se) de Lumière, tu te sens peut-être carrément attaqué(e). Dans ce cas, tu le sais sans doute, la solution n’est pas à l’extérieur, mais en toi. Il s’agit précisément de rallumer ta lumière pour éclairer l’ombre qui réclame ton attention. Dans ce registre, j’ai mis au point un petit protocole qui m’ a semblé très efficace récemment. Par conséquent, il est à répéter autant de fois et aussi souvent que nécessaire.
Un petit protocole qui peut faire du bien
Je suis Etincelle de Vie, Je suis Amour Inconditionnel de toute forme de vie, Je suis Un(e) et indivisible, Je suis Souverain(e) en mon Royaume. Que tout ce qui n’est pas de cette vibration passe son chemin. Mon cœur est dédié à la Lumière. Il n’y a rien prendre ici.
La Voie de la Résilience JoyeuseBien évidemment, ce protocole n’est pas une formule magique mais simplement un moyen de réaffirmer notre intention de donner la priorité à notre propre lumière. Pas besoin de se battre, pas besoin de nettoyer. Il s’agit juste d’augmenter sa vibration suffisamment pour que tout ce qui n’est pas aligné « passe son chemin ».
Et, pour finir, une vidéo qui me parait être de la première importance pour nous caler au mieux dans les énergies du moment et retrouver toute notre souveraineté…Je la vois comme une solution radicale aux programmes inconscients qui nous empêchent de vivre tout notre potentiel.
Lien vers le blog source des enseignements de cette vidéo : https://2012portal.blogspot.com/
Information de toute dernière minute : je viens d’être informée que j’ai maintenant les autorisations pour désactiver ces implants. J’ai pu le faire pour moi-même et je peux à priori le faire aussi pour les autres y compris à distance. Aussi n’hésite pas à me contacter via le formulaire si cela te parle!
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Inverser la tendance
Ces derniers jours, j’ai pris le temps d’observer l’hypnose collective dans laquelle nous stagnons depuis des mois. Je me suis à nouveau questionnée sur ce qui peut bien en être à l’origine. Car, tirer à boulets rouges sur les médias et la propagande me parait dénué de sens maintenant. A l’évidence, si nous étions dans une posture « équilibrée », il serait facile de « zapper » les informations qui nous gênent. Pourtant, une large part d’entre nous continue à absorber sa dose quotidienne de « non-sens ». Pire, il semble que nous entretenons cette morosité, même quand cela n’est pas nécessaire. Alors, je me demande pourquoi nous serions devenu(e)s à ce point « masochistes »…
J’ai récemment découvert certaines auto-programmations cellulaires qui pourraient éclairer les raisons de volonté à rester « rester sous hypnose ». Comme je l’ai déjà évoqué, une part de nous veille et met en place des stratégies de survies qui peuvent s’avérer utiles au départ…jusqu’à ce qu’elles ne le soient plus!
Que se passerait-il si notre hypnose collective avait démarré bien plus tôt qu’il n’y parait. Et si cela faisait partie de nos paramètres « d’usine »? En quoi influeraient-ils notre comportement? Et comment pourrait-on faire pour focaliser notre boussole interne sur notre désir et notre droit à la liberté?
Prenons quelques exemples…
Pourquoi un enfant de 3 ans, qui grandit dans un contexte social et familial plutôt heureux, balance avec aplomb et conviction « que dans la vie, il faut du courage! »? Qu’est-ce qui pousse cette femme, qui souhaite rouvrir son cœur à un homme, à continuer de choisir d’être malheureuse dans ce domaine?
Qu’est-ce qui motive un jeune homme polyhandicapé, qui a toujours montré une joie de vivre à toute épreuve, à souhaiter mourir, alors même qu’il est entouré et soutenu par une famille soudée et aimante? Pourquoi un homme, bien sous tout rapport dirons-nous, choisirait par la loyauté à son clan au détriment de la construction sa vie personnelle?
Tous les thérapeutes de la Terre pourraient répondre qu’il s’agit d’une forme de stress, de mémoire transgénérationnelle, de karma etc…Certes, le stress répété et prolongé peut nous conduire à faire des choix par défaut.
Oui, il existe des schémas qui semblent se reproduire à chaque génération, et, effectivement, le karma est une chose bien réelle qui nécessite un équilibrage. C’est d’ailleurs ce que font les médecins et thérapeutes de ce monde, chacun(e) avec leurs outils respectifs. Ils accompagnent la libération du stress, des mémoires familiales et/ou du karma. Et cela soulage les êtres qui en bénéficient. Par contre, çà n’explique pas pourquoi nous continuons à nous infliger notre becquée quotidienne de morosité ou d’auto-sabotage.
L’inversion massive, un phénomène méconnu
C’est le résultat d’une programmation relativement inconsciente de nos cellules, suite à un/des chocs traumatiques durables et/ou suffisamment répétés. C’est-à-dire que pour mieux se défendre contre les agressions extérieures à l’origine du stress, notre corps se met dans un mode « survie ». En d’autres termes, il peut en arriver à faire une croix sur le bonheur pour assurer notre sécurité. Il fait en sorte de limiter la casse, quoi!
Et c’est probablement une bonne chose, tant que nous sommes dans le contexte qui a vu naitre notre stress. Le problème c’est qu’à la faveur de la plasticité de notre cerveau et de nos cellules, ce qui était au départ une procédure d’urgence, peut devenir une habitude. Un comportement par défaut, qui nécessite d’être continuellement alimenté et validé dans l’expérience quotidienne.
En kinésiologie, nous nommons cela « inversion massive ». Cela veut dire que lorsqu’on interroge le corps (via le test musculaire) pour lui vérifier qu’il est dans de bonnes dispositions pour vivre le bonheur, l’abondance etc…, il répond par la négative. En bref, à la question « veux-tu être heureux(se)? » le corps répond NON tandis qu’il répond OUI à la question « veux-tu être malheureux(se)? » Incroyable non?!
Evidemment, c’est une chose qui peut être rétablie très simplement. Mais cela démontre l’incroyable capacité de notre corps à gérer ses priorités, et à faire des choix parfois cornéliens dans le silence le plus absolu. Je suis toujours émerveillée de constater à quel point notre matière, notre concret, nous soutien quoiqu’il arrive!
Et s’il y avait pire?
Très récemment, j’ai découvert un autre phénomène de taille, qui est malheureusement connu des initiés seuls pour le moment : les contrats que nous passons avant notre naissance. Car il y en a. Sophie Merle en parle très bien dans ses conférences en lignes ou ses publications. Elle a même écrit un livre – « Je commande » – qui est une vraie mine d’or de protocole accessibles à tous, pour mettre fin à ce type de contrats inconscients.
La plupart des protocoles de ce livre adressent des problématiques en lien avec les auto saboteurs, les liens transgénérationnels et/ou karmiques. Pourtant, aucun ne parle des sacrifices que notre Ame a dû faire pour obtenir le droit de venir sur Terre. Il me semble urgent de parler de ces contrats à présent. Il est temps pour toutes celles et ceux qui le souhaitent de s’en libérer maintenant.
Par conséquent, la suppression de notre « Contrat Primaire » est fondamentale. Pourquoi? Parce qu’il nous plonge dès notre arrivée dans une inversion massive, solidement ancrée. Inversion qui est – bien entendu – ignorée par notre science médicale actuelle. Pour décrire la situation de manière très concrète, c’est comme si notre voiture était réglée dès sa sortie de l’usine pour fonctionner à l’envers et à 10% de ses réelles capacités.
A titre d’exemple, ce « Contrat Primaire » a notamment une influence directe sur la qualité de notre vie intime et sentimentale ainsi que sur notre relation à l’ego…Ca te parle?
Reconfigurer notre « véhicule » pour l’abondance de la vie!
Alors, reprenons nos exemples du début à la lumière de ce gros spot fraichement sorti du placard! Comment un être déjà lourdement handicapé pourrait s’en sortir s’il devait cumuler cette inversion primaire, plus celle provoquée par l’absence de suivi médical pendant une période de confinement de disons 2 mois 1/2? Ce « contrat primaire » pourrait-il expliquer pourquoi un être fraichement arrivé ici-bas en arrive à se dire « qu’il faut du courage pour être dans la vie »?
Comment cette femme pourrait-elle vivre une vie sentimentale et sexuelle durablement heureuse si une force en elle lui intimait constamment l’ordre qu’il ne peut y avoir de sexe sans amour, tandis que ce même saboteur signifierait à son « cher et tendre » qu’il ne peut y avoir d’amour sans sexe? La négation de sa souveraineté pourrait-elle expliquer pourquoi cet homme n’arrive pas à positionner sa vie personnelle en priorité? Ces exemples sont criant de réalisme! Et pour cause, nous les expérimentons au quotidien, parfois même depuis l’enfance.
A présent, il est plus aisé de comprendre que nous luttons quotidiennement contre l’équivalent d’une armée, à mains nues! Pour finir, je t’encourage à te poser la question de toutes ces choses qui te desservent et que pourtant tu n’arrives pas à faire autrement. Que serais-tu prêt(e) à faire ici et maintenant pour t’en débarrasser?
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Sortir de la crise, ici et maintenant
Malgré l’augmentation du chaos, je suis convaincue que la manifestation de notre « victoire » est juste une question de temps. Mais cela ne nous dispense pas d’être pro-actif(ve)s dans notre victoire sur la morosité ambiante!
Selon les différents médias, notamment sur les réseaux sociaux, l’urgence est de « se réveiller » pour sortir de la crise. Même la communauté du « Bien-Etre » (dont je fais partie) s’y met à grand renfort de méditation et canalisations de guides. Dans notre quotidien, « se réveiller » veut dire sortir du sommeil et devenir disponible à notre environnement. Que ce soit en matière d’interaction sociale, ou d’événements physiques, cela implique d’être en mesure d’y porter notre attention. Et par conséquent, cela implique d’être disponible aux stimuli externes.
Certain(e)s disent que la journée commence uniquement après leur café. Non pas qu’ils/elles ne soient débout et physiquement opérationnel(le)s avant, mais l’esprit n’y est pas. Beaucoup parlent « d’être au radar », sans les « yeux en face des trous ». Ils/elles seraient bloqué(e)s dans un fonctionnement routinier qui ne nécessite pas d’investissement pour réfléchir et prendre des décisions.
D’un autre coté, les médias, qu’ils soient à la TV ou sur le net, occupent une place centrale dans l’élaboration du scénario mondial actuel. La manipulation est palpable, d’un coté comme de l’autre. Les polarités sont exacerbées à l’extrême. Apparemment, depuis Juin 2020, internet aurait détrôné la TV dans les moyens privilégiés des français pour s’informer. Et internet est largement accessible au grand public maintenant. Pourtant, dès Janvier 2020, une grande majorité ne faisaient plus confiance aux médias quels qu’ils soient.
Alors, si malgré les informations disponibles, de moins en moins de gens font confiance aux médias, pourquoi sommes-nous encore enfermé(e)s dans cette crise « sanitaire » qui n’en finit plus? Quelle autre raison pourrait-il y avoir à cela? Et surtout, comment faire pour en sortir? Cette semaine, je voudrais explorer ce que veut dire « se réveiller ». En quoi cela pourrait nous permettre de sortir de l’impasse dans laquelle nous stagnons depuis des mois? Que dis-je! des années…
Les affres de la sur-information
Qui n’est pas submergé(e) de newsletter et autres mails de promotion à longueur de journée dans sa boite mail? Nous sommes à présent dans l’ère de la sur-information. Les anglais parlent « d’infobésité« , ou surcharge informationnelle. A tel point qu’une activité du matin, lorsque nous sommes encore « au radar », est de faire le tri dans les sollicitations du jour. Et ce avant-même de nous introspecter, de nous demander comment nous allons!
Nous luttons, dès le lever du jour, pour écarter les informations, certes intéressantes (car nous choisissons de nous abonner aux newsletters la plupart du temps) mais aussi envahissantes. Le but étant de faire place à ce qui nous concerne vraiment ici et maintenant. Force est de constater qu’à cette heure-là, nous estimons peut-être que seul un bon café peut sauver notre vie!
A présent nous ne luttons plus pour accéder à de l’information, mais pour obtenir de l’information pertinente dans l’instant. Une information qui ne sollicite pas exagérément nos ressources, mais qui nous nourrit là où nous sommes, tel(le)s que nous sommes. C’est ce à quoi nous aspirons et de préférence sans effort! Car qui voudrait passer des heures à déblayer la tonne d’informations inutiles pour en extraire la substantifique moelle?
Les effets du chaos sur notre « boussole interne »
Après ce constat, quelles solutions nous reste-t-il? Jeter nos smartphones? Déménager dans une grotte? Nous désabonner de toutes nos newsletters? Un peu extrême comme solutions, non? L’article en lien permet de mieux comprendre les mécanismes ainsi que les solutions pour retrouver calme et sérénité. Car c’est seulement à ce prix que nos esprits et nos corps pourront se mobiliser pour nos « vrais » objectifs.
L’autre effet, et de loin le plus grave, est qu’une fois le contact perdu avec notre boussole interne, la plasticité de nos connexions neuronales peut engendrer une diminution importante de notre conscience. En effet, si nous n’avons plus besoin de nous nourrir par nous-mêmes, à quoi bon acquérir et développer ce savoir-faire? A l’extrême, à quoi bon le souhaiter, le vouloir? Autant attendre la prochaine becquée, à la fraise ou au citron, puisqu’à entendre nos médias, seuls 2 positionnements sont possibles: avec ou sans masque! Cela laisse peut de place pour la nuance, et pire encore, à la conscience et la responsabilité propre à chacun.
Maintenir un cerveau 100% occupé, ou bridé, sont autant de façons de maintenir une pression sur la personne, donc de la garder sous contrôle. Nos dirigeants l’ont bien compris et démontré pendant cette « pandémie ». Ceci dit, à défaut de pouvoir changer instantanément les dirigeants de ce Monde, nous pouvons peut-être commencer par nous-mêmes. Cette vidéo montre des gestes simples pour retrouver progressivement notre plein potentiel.
Reprendre les rennes de nos vies : le vrai combat
Se remettre en mouvement de manière volontaire est le premier pas vers le mieux être. Cela passe par la reconnexion à notre corps, nos fondamentaux. Pourquoi? Parce que même si nous n’utilisons plus, ou très partiellement notre boussole interne, notre corps, lui, continue d’en prendre soin. Nos cellules nous soutiennent, y compris quand nous les ignorons. Elles peuvent même nous mettre à terre lorsque le non-sens a atteint son paroxysme depuis trop longtemps.
Regardons simplement la consommation d’antidouleurs ou d’anxiolytiques dans notre beau pays. Regardons également l’explosion des taux de dépressions sévères, voire de suicides depuis le début de cette crise. La plasticité des connexions neuronales permet une adaptation aux événements extérieurs mais parfois les connexions visant à la survie peuvent se prolonger si nous n’y prenons pas garde et nous maintenir dans des comportements inadaptés qui peuvent ensuite devenir de nouvelles habitudes. Parfois ces changements sont pour le mieux. D’autres fois, ils établissent des habitudes, de nouvelles croyances limitantes.
Le retour à la conscience de soi, au même titre que le mouvement joue un rôle fondamental, non seulement dans le retour à la vie, mais également la sortie de cette crise. Chacun a son propre rôle à jouer là-dedans. Ce n’est pas quelque chose que l’Univers peut prendre en charge en lieu et place de chacun(e). Notre libre-arbitre est sacré et même si nous pouvons être épaulés parfois, la décision de nous remettre dans la Vie au meilleur sens du terme dépend de nous, et nous seul(e)s!
La Résilience, la Lumière et la Joie : nos armes pour (re)-trouver notre liberté
Il est fondamental de rappeler la responsabilité de chacun dans ce registre. Même si nos médias nous ballottent quant à l’issu de cette crise, c’est bien notre DÉCISION personnelle et notre CAPACITÉ A PRENDRE SOIN DE NOTRE PROPRE LUMIÈRE qui détermine dans quel délai nous redressons la barre. Par conséquent, plutôt qu’attendre patiemment que l’Univers ou nos dirigeants veuillent bien nous « sortir le cul des ronces » (expression de ma campagne natale), pourquoi ne pas commencer par nous-mêmes dès maintenant?
Du coup, la question d’après est « Ok, mais comment? ». Une fois en mouvement et reconnecté(e)s à nous-mêmes, il y a finalement une seule chose à faire. C’est le choix qui nous rend le/la plus heureux(se) partout et tout le temps. En clair, sortir de cette crise personnelle et/ou sociétale requiert l’activation de la même ressource dans les 2 cas. C’est retrouver le chemin de nous-mêmes et œuvrer exclusivement pour notre bonheur, notre joie, notre liberté d’être.
Comme par hasard, c’est précisément ce que l’Univers nous propose! Et aussi, depuis peu, ce sur quoi il nous assiste. Nous sommes à présent poussés à œuvrer pour nous débarrasser de tout ce qui n’a plus de sens pour nous. De tout ce qui nous contraint depuis bien trop longtemps maintenant. Nous sommes incité(e)s à nous choisir d’abord. Pourquoi? Parce que c’est uniquement quand NOUS sommes bien avec nous-mêmes que nous pouvons être bien avec LES AUTRES!
Rallumer notre lanterne
Mieux encore, notre liberté d’être, notre joie, sont les virus les plus contagieux qui soient dans cet Univers. A chaque fois que nous DÉCIDONS en conscience de nous nourrir plutôt que nous appauvrir, nous agrandissons les égrégores de Joie, de Paix, de Liberté d’Etre. C’est toujours çà que les égrégores de la Peur, la Haine, du Jugement n’auront pas. Dès que nous rallumons notre lanterne, nous éclairons instantanément celle des autres ce qui les encourage à en faire de-même. Et si nous considérons notre lanterne déjà allumée, alors poussons l’intensité à fond! Il n’y aura pas de meilleur moment pour le faire. C’est précisément au cœur du chaos que les lumières incandescentes sont les plus utiles!
Ce qui ne me tue pas me rend plus fort
Frederick NietzscheTu l’auras compris, c’est la Lumière que nous mettrons sur cette crise mondiale majeure qui nous permettra d’en sortir. Ainsi nous en sortirons non seulement en vie, et en bonne santé mais également grandi(e)s et renforcé(e)s! Il ne s’agit plus à présent de défendre telle ou telle cause car cela nourrit le jeu de polarisation actuellement en cours dans les médias. Il s’agit de privilégier notre cause avant tout. Choisir notre bonheur, notre joie de vivre en premier c’est l’acte le plus militant, le plus efficient et le plus lumineux qui puisse être posé en ce moment. Alors, que penses-tu de sortir de cette crise MAINTENANT?
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L’art de décrypter le « Jeu de la Vie »!
Développer notre résilience c’est aussi apprendre à regarder les événements de la vie au delà de ce que nos yeux nous montrent…A la lumière des symboles et des synchronicités. Une invitation à changer de lunettes!
Et de çà, il y en a des tonnes qui nous passent sous les yeux tous les jours! Ne serait-ce que les logos de nos marques préférées, qui utilisent parfois des symboliques bien particulières pour éveiller en nous des émotions profondément enfouies. Car il est maintenant de plus en plus clair que ce sont nos émotions qui nous incitent le plus à sortir notre portefeuille de sa cachette!
Aussi les symboles sont les moyens utilisés par les initiés pour afficher leurs vérités au grand jour, sans éveiller les soupçons d’un public qui ne serait pas prêt à découvrir leur « pot-aux-roses ».
Etant encore débutante dans le registre de la connaissance hermétique et du décryptage des symboles, j’ai décidé de faire appel à un passionné qui pratique cet art depuis plus de 10 ans. J’ai nommé Greg Neau. Souhaitons-lui la bienvenue! Pour celles/ceux qui s’intéressent au sujet de la symbolique mais aussi de l’histoire de l’Humanité, il est possible de rejoindre un des groupes dont il s’occupe sur Facebook en cliquant ICI.
Voyons, à présent, comment nos expériences et grilles de lecture respectives, peuvent mettre en lumière certains moyens employés par notre guidance, notre intuition pour communiquer avec nous.
Prendre conscience des défis qui viennent à notre rencontre
Dernièrement, je me suis questionnée sur le thème de la loyauté . Pour la faire courte, il me semble que nous sommes parfois loyaux à des choses qui nous enferment plus qu’autre chose. Le besoin de sécurité, satisfait par un excès de loyauté et de cadre, peut être un frein significatif à l’expression de soi, avec le temps. En d’autre terme, cela pourrait être ce que j’appelle une habitude devenue « contreproductive ».
Hier, après avoir écrit ces quelques lignes, j’ai soudain eu envie de regarder un film. Je vais donc sur mon site de streaming préféré et commence à scruter le catalogue. Mes yeux se posent alors immédiatement sur la fiche du dessin animé « Mulan » (un de mes préférés) et quelques affiches plus loin, je vois que Disney en a fait un film que je décide de regarder immédiatement. Je rappelle s’il était encore besoin que, comme par hasard, la loyauté est le thème central de cette fiction.
Les messages dans les films, les vidéos…
Lorsqu’on est face à une synchronicité comme celle-ci, il est important de se brancher sur nous-mêmes afin d’être à l’écoute de tout ce qui nous saute aux yeux, aux oreilles ou à notre ressenti physique. Hier, j’ai eu droit à tout cela. C’est dire si le sujet est d’actualité! En résumé, le film fait référence au fait de brider volontairement son énergie pour entrer dans le cadre sociétal. A moultes reprises, on y voit un phœnix (présenté comme le symbole des ancêtres) qui veille sur l’héroïne.
Je souris en écrivant ces lignes car des phœnix sous une multitude de formes, j’en ai croisé un certain nombre dans le mois qui vient de s’écouler. Comme une incitation permanente à renaître de mes cendres. Je n’y ai évidemment pas prêté attention, mais je comprends aujourd’hui pourquoi tous ces symboles m’ont été envoyés. La conclusion du film dépeint l’héroïne, comme « LOYALE, COURAGEUSE & VRAIE »…
Avouons que le choix des mots est quand même très à propos par rapport à la thématique! Au passage, je serais tentée de dire que le « Courage » est ce qu’il faut en quantité lorsqu’on est « Loyal(e) » à autre chose que nous-mêmes…Par conséquent, la voie du milieu, chère à mon cœur en ce moment, résiderait plutôt dans le mot « Vraie ».
Autre coïncidence: une fois le film terminé, je reviens sur ma vue catalogue et là 4 affiches plus loin, le titre d’un autre film me saute aux yeux : LOYALTY ISN’T EVERYTHING (L.I.E). Pas besoin de regarder le film pour comprendre l’épilogue de cette histoire! Et le vrai message n’est pas à propos de la LOYAUTE mais du mensonge que nous pouvons nous raconter pour continuer à ne pas ETRE nous-même (L.I.E = mensonge en anglais).
Les nombres, une grille de lecture qui peut mener très loin (avec Greg)!
Récemment j’ai vu en travaillant sur mon secteur 3 plaques d immatriculations 666 sur 5 km/2. Immédiatement, je me suis dis « je vais avoir des problèmes prochainement ». En effet, la semaine suivante, j’ai appris mon licenciement, du fait de la baisse d’activité liée aux dispositions de lutte contre la propagation du Coronavirus!
Le mot « Corona » additionné avec notre alphabet, donne un résultat de 66. Par ailleurs, il comporte 6 lettres. Ce qui donne le symbole fort de 666! Néanmoins, contrairement à la croyance populaire, ce chiffre tant redouté n’est pas la marque du diable, mais une référence au Roi Salomon. Le nombre du Diable se trouve bien dans la tranche 600 mais je vous laisse le découvrir par vous-mêmes! Pour donner un peu plus de contexte, le roi Salomon est, en fait, l’inventeur des impôts. L’histoire raconte qu’après avoir récolté et redistribué les impôts, il serait resté à Salomon 666 onces d’or.
Continuons à tirer ce fil! Car le décryptage des symboles est sans fin! On ne peut parler du Roi Salomon sans parler de l’Apôtre Jean. Dans son Apocalypse, Jean décrit une vision mettant en scène 2 bêtes, ou 2 faux prophètes, l’un diffusant de l’information (les médias) et l’autre – une bête à 7 têtes – faisant référence à la monnaie, à l’or en particulier (comme par hasard, il existe 7 billets de dollars avec 7 têtes de personnages différents dessus). En clair, dans sa vision, Jean nous préviendrait que l’humanité sera détruite par ces 2 bêtes : les médias et l’argent!
Tu peux cliquer ICI, si tu le souhaites, pour connaitre la suite de ce décryptage passionnant!
En résumer…
L’Univers utilise tous les moyens à sa disposition pour communiquer avec nous. Cerise sur le gâteau : il choisit toujours les supports qui nous parlent le plus. Pour moi ce sont les films, les symboles. Pour Greg, ce sont les nombres et les symboles en lien avec l’Histoire de l’Humanité.
Le Dictionnaire des Symboles est un bon support pour commencer dans ce registre. J’y ajouterai le livre de M.C POINSOT, « La magie des nombres », pour les bases dans le décryptage des nombres, notamment en lien avec le Tarot de Marseille.
Evidemment, si tu ne connais pas ta grille de lecture favorite, tu peux tout simplement utiliser l’ORACLE DE MA VIE et tes mots, tes symboles personnels pour commencer. Les guides savent très comment les utiliser, je peux en témoigner. Au contraire, si tu connais ta grille de lecture, alors sens toi libre d’adapter ce petit Jeu à ta sensibilité. L’idée est d’ouvrir une ligne de communication efficiente entre notre guidance, notre intuition et nous-mêmes.
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Contacter la lumière en Soi
Plusieurs questions concernant l’interprétation ou la mise en oeuvre concrète du message des guides ont émergé récemment. Aussi, j’ai décidé de partager un nouveau « jeu/outil » d’introspection pour nous aider à trouver le chemin de cette Lumière qui vient à notre rencontre.
Les guides spirituels ne sont pas forcément à l’extérieur de nous, comme nous pourrions le croire parfois. Ils font partie de l’Univers et à ce titre ils font partie de nous. Ils résident dans la structure même de nos cellules. Et lorsqu’ils annoncent qu’ils viennent à notre rencontre, nous pouvons nous imaginer les voir débarquer avec leur valises. Ou simplement intégrer le fait que notre mémoire cellulaire a été (ré)-activée pour contacter cette part de nous qui brille.
Quelle que soit notre choix, la Lumière, les guides se sont rendus plus accessibles pour nos sens, nos perceptions encore inexpérimentées. Alors, partant de ce constat, la prochaine question légitime est « comment puis-je faire pour contacter cette Lumière en moi ou autour de moi? » En effet, en ces temps de troubles, il est plus que jamais important de mettre concrètement en oeuvre ce qui nous aide, nous donne de l’espoir, nous rassure et nous motive à trouver nos propres solutions. D’ailleurs, c’est la meilleure manière d’œuvrer pour se sortir de cette impasse!
L’ORACLE DE MA VIE (passée, présente & future) , une aide précieuse!
Cette question fondamentale, je me la suis posée avant de l’évoquer ici. D’ailleurs, c’était l’une de mes questions les plus récurrentes pendant le récent confinement. Comment trouver la force de dépasser ma peur de l’enfermement? Développer l’énergie d’accueillir calmement la peur des autres. Retrouver de l’espoir pour moi-même et pour ce Monde dans un contexte chaotique qui semblait vouloir s’installer définitivement. Telles étaient mes questionnements. Et beaucoup d’autres encore…fidèle à moi-même et à mon cerveau hyper-actif.
Il y a eu l’ennui aussi. Des tonnes et des tonnes d’ennui pendant cette période. Pour quelqu’un qui a l’habitude d’être toujours en mouvement, cet arrêt brutal et forcé a été un challenge, et pas des moindres! Peut-être trouveras-tu une résonance particulière avec cela…? Bref, l’espace temps ouvert par ce confinement a été bénéfique. J’ai écris il y a quelques mois, que nous verrions les bénéfices de tout cela une fois l’émotion passée. Une fois encore, la vie ne nous a pas déçu(e)s car je suis loin d’être la seule à en faire l’expérience!
Ainsi, au plus fort de mon ennui, j’ai vu émerger l’idée de nommer tout simplement ce qui me traverse, de le mettre en lien avec mes ressources personnelles…Et de manière ludique tant qu’à faire! Ensuite, j’ai mis à contribution mes compétences en conception produit et kinésiologie pour créer ce Jeu, cet Oracle. Il est simple, à construire soi-même. Il permet de trouver l’inspiration pour traverser les épreuves de la vie, tout en allégeant petit à petit notre sac à dos. Et comme j’ai de l’humour, j’ai choisi d’utiliser des petits cailloux!
Disons que symboliquement, chaque petit cailloux extrait de notre sac à dos est immédiatement recyclé pour nous aider à en libérer un autre!
Toutes les réponses sont en nous!
Tout comme notre corps avec l’homéostasie, nous avons tout en nous pour dépasser nos blocages émotionnels et nos frustrations passagères. Tu l’auras compris, ce jeu « ultra-personnalisé » est un nouveau moyen de contacter toute notre richesse intérieure. Il se base sur 4 principes simples:
- Le hasard n’existe pas. Même la science le dit à présent!
- Nous avons déjà les ressources en nous pour solutionner nos questionnements au quotidien
- La Résilience consciente est la clé pour dépasser nos challenges
- S’amuser est un super moyen d’ancrer les informations importantes qu’il nous faut pour avancer!
Le jeu de l’ORACLE DE MA VIE (passée, présente & future), que j’ai créé pendant le confinement, est le fruit de tous ces principes qui me sont chers! Et aujourd’hui, j’ai décidé d’en faire cadeau à l’humanité. Je suis convaincue qu’un « outil » tel que celui-ci peut nous aider à nous (re)-connecter à nous-mêmes pour y trouver du mieux-être.
D’ailleurs, ce jeu peut également s’utiliser en famille. Il permet d’ouvrir, en jouant, des conversations avec les enfants notamment et les accompagner plus sereinement dans difficultés de vie.
Mon souhait est de faire vivre cet Oracle avec l’aide de la communauté des utilisateurs. L’idée est de l’enrichir et de le promouvoir à la force de notre envie de renouer du lien les uns avec les autres. Plusieurs points de contact sont à disposition sur les principaux réseaux sociaux. Ils permettront de témoigner de ce que ce « jeu/outil » a fait pour toi et même partager tes exemples de réalisations.
Un moyen pour les guides spirituels de se faire entendre
Du coup, l’Oracle est aussi un moyen très simple de communiquer avec son guide. En effet, par le biais des mots de ta vie et à la faveur des 4 principes énoncés plus haut, tu peux ouvrir une véritable ligne de communication avec ton guide. Ainsi, il peut communiquer plus facilement avec toi et mieux te soutenir dans ce que tu vis.
Je n’annonce pas cette chose à la légère! J’ai moi-même testé ce « Jeu/Outil » et je l’ai aussi partagé avec d’autres personnes « novices » dans ce registre. Toutes ont témoigné de son bénéfice immédiat : se retrouver avec soi-même et comprendre ce qui nous traverse ICI et MAINTENANT.
Hier encore, j’ai eu une nouvelle fois la preuve que l’Univers sait communiquer à travers tous les supports qui nous parlent. A fortiori lorsqu’ils sont « branchés » sur notre propre vécu, notre propre référentiel et compréhension de la vie.
Alors à toi de voir si çà te parle! Cet outil ne nécessite pas de gros investissement matériel. La moitié du matériel requis peut être trouvé gratuitement ou recyclé et il est très simple à mettre en oeuvre. Les personnes qui l’ont adopté en sont très vite devenues des ambassadrices. Par conséquent, voici l’opportunité de tester dès maintenant, un jeu simple et pas cher, mais qui peut rapporter gros en mieux-être!
Quelques liens utiles…
Voici les liens à cliquer pour :
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- Commenter les publications sur Instagram…
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