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2024: Sur la Voie des « Cœurs Libres »!
Cette année, nous avons décidé de parler des « Cœurs Libres » pour nos vœux. Parce qu’à l’association, c’est ce dont nous avons besoin pour continuer de vous proposer de nouvelles aventures joyeuses et résilientes en 2024.
D’ailleurs, pensez à consulter régulièrement notre AGENDA ou abonnez-vous à notre newsletter pour connaitre les dates de nos prochains ateliers!
Alors voilà, nous vous souhaitons de garder vos cœurs libres et sereins cette année, et de vivre chaque chose à la manière des enfants, c’est-à-dire comme une occasion merveilleuse de découvrir et d’apprendre!
Alors, c’est quoi pour nous un « Cœur Libre »?
C’est un cœur ouvert à l’expérience de la vie dans tout ce qu’elle propose. Ce cœur est curieux, optimiste et réaliste mais aussi relié à sa petite voix, son intuition, sa créativité etc…Il se fiche des convenances. Il est ce qu’il est. C’est tout.
Il suffit de le décider…
Qu’est-ce que çà change?
Un « Cœur Libre » vit inconditionnellement. Il n’apprécie pas uniquement les « bonnes » choses de la vie. Un Etre libre prend toute la panoplie des expériences. Il sait que notre perception de la réalité est le résultat de nos croyances…et que des croyances coincées, çà se libère surtout! Cet Etre aime apprendre…
Pourquoi apprendre?
Parce qu’on a pas envie de trouver de nouvelles idée ou solutions quand tout va bien. On se repose sur ses lauriers! En effet, l’apprentissage, l’éveil, passe forcément par une phase d’initiation, de chaos. Souvenons nous de nos premiers pas, de notre première bicyclette, de nos premières heures de conduite etc…Bref, de toutes nos « premières fois »!
Par ailleurs, posons nous également la question de savoir pourquoi un nombre grandissant de personnes présente des troubles de l’apprentissage d’origines diverses ces dernières années!
Comment être un « Cœur libre » quand les conflits se répètent?
Les situations conflictuelles se répètent, avec des niveaux d’intensité croissants, car nous avons besoin pour apprendre qui nous sommes véritablement. Ce que nous sommes n’a évidemment rien a voir avec notre « personnage social »! Et cela prend des contradictions de plus en plus fortes pour nous pousser à nous libérer de nos conditionnements.
Le test ci-dessous peut aider à comprendre d’où on part!
Selon nous, être un Cœur libre nécessite de le faire travailler de concert avec sa conscience et son intuition. Lorsque les 3 sont réunis, la réalité prend une autre couleur. On ne la regarde plus comme un combat mais comme une opportunité de découverte, d’apprentissage, une occasion d’évoluer et de grandir. Et plus on regarde les choses ainsi et plus la réalité s’allège, car on ne refuse plus l’expérience. On ne la conditionne plus. On l’accepte telle qu’elle est. Ce sont les opinions que nous portons sur les évènements qui nous enferment.
Quelles sont ces conditionnements?
Nos éducations , nos « qu’en dira t on? », nos convenances, nos relations d’attachements aussi, que nous confondons souvent avec de l’amitié ou de l’amour. Un « Cœur libre » n’a pas besoin d’être attaché, quelque soit le sens du terme, pour aimer. Et ce n’est pas parce qu’il est libre qu’il ne respecte pas autrui. Ne confondons pas tout! Un « Cœur libre » questionne par ses propos, son comportement et ses actes. Il ne nous donne pas ce qu’on veut, comme on le veut. Il est enclin à donner plutôt ce dont on a besoin, sous une forme inédite parfois!
Et çà existe des « Cœurs libres » sur Terre?
Tous ceux qui ont innové depuis l’aube de l’humanité, ont pu le faire parce qu’ils se sont senti libres de proposer autre chose. Galilée, de Vinci, Rembrandt, Tesla, Jobs, Ryder Carroll, Brian Chesky, Joe Gebbia et Nathan Blecharczy etc… Tous ont fait d’immense cadeaux à l’humanité en cherchant des solutions à des besoins « non adressés » et ont ouverts des portes que personne n’a eu envie de refermer derrière eux.
Dans cette liste, certains sont connus pour avoir de forts caractères! On ne peut être libre sans personnalité propre et volonté farouche de le rester. Dans une société comme la nôtre, cela peut être synonyme d’incompréhension puisque la norme est plutôt à l’absence de liberté…Mais on ne créé rien pour la grandeur par conformité. Les 3 dernières années en sont un parfait exemple!
Elle est où la bonne nouvelle?
La bonne nouvelle c’est que nous sommes déjà sur la Voie des « Cœurs Libres » et que cela n’est pas une course. Chacun(e) avance à son rythme! Etre un « Cœur libre » est une aventure de tous les instants. En réalité, nous le sommes surement déjà 4 fois par jour. Et 4 autres nous ne le sommes plus autant, ou plus du tout…Indice: le mot « NON » est souvent dans les parages quand nous le sommes.
Parfois, il est bon de se rappeler la destination, de garder le cap et l’espoir que la leçon finira bien bien par être apprise, et qu’un changement de classe peut alors avoir lieu!
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2023, l’année de la Famille!
Le noyau familial est un enjeu majeur de 2023. Après, plusieurs décennies d’ingénierie de la « séparation », dont l’apothéose fut la récente « crise sanitaire », notre survie dépend directement la résilience familiale.
Le film « Avatar, la voie de l’eau » s’attèle, à grand renfort d’effets spéciaux, à nous montrer comment une famille unie peut venir à bout des plus gros challenges. Et pour cause…l’enjeu est fondamental!
Voyons en quoi et pourquoi la famille est un enjeu majeur de l’époque à venir. Regardons ensemble comment « la forteresse famille » peut jouer son rôle dans cette transition inéluctable vers un autre mode de vie.
Reconstruire nos intérieurs
Notre société sort de 3 années complexes, où nos liens ont été mis à mal du fait des confinements à répétition. Nous n’en sommes pas complètement sortis malheureusement. La peur s’est infiltrée profondément chez bon nombre d’entre nous.
Bonne nouvelle! Depuis Septembre 2021, les séances chez les psychologues agréés sont remboursées par la Sécurité Sociale, pour tout le monde, dans la limite de 8 séances par an, comme en témoigne cet article.
Dommage qu’il faille attendre une crise de cette ampleur pour y penser! En effet, les « thérapies alternatives », dont la psychologie fait partie, ne sont jamais aussi efficaces qu’en prévention, et non en cautère sur jambe de bois! Ceci dit, cette mesure est un acquis qui vaut la peine d’être considéré en cas de difficulté.
Dans l’association, nous avons expérimenté les effets bénéfiques d’autres thérapies brèves telles que la kinésiologie, la naturopathie, l’ostéopathie ou encore la musicothérapie-énergétique.
Toutes permettent à leur façon de libérer du stress et peuvent être de bons compléments à un suivi médical et/ou psychologique.
Reconnaitre la valeur de nos anciens
Dans ce contexte « post traumatique », nos anciens sont particulièrement malmenés. Cibles privilégiées de ce virus, nos anciens ont été parfois littéralement mis de coté. Pourtant, les priver du lien avec leurs proches s’est parfois avéré être un remède pire que le mal!
Les anciens ont un véritable rôle à jouer dans la famille. D’abord, d’un point de vue pragmatique, ils ont connu des conditions de vie moins « technologiques et confortables » que nous. Ils savent donc comment vivre bien avec moins. Etant donné la baisse du pouvoir d’achat, et l’augmentation du coût de l’énergie, il peut être intéressant de (ré)apprendre comment « on faisait avant »!
La solidarité, autrefois présente dans nos villages, n’était pas qu’une question de convivialité et de commérages, mais plutôt un enjeu de survie. Nos anciens avaient bien compris que partager le fardeau à plusieurs revient moins lourd pour chacun. Ils ont cette mémoire, ce savoir-faire. Donnons leur l’opportunité de la transmettre.
Du point de vue de la santé, une personne heureuse tombe moins malade. Or, un certain nombre de nos anciens trouvent de la joie à partager des moments avec leur descendance. Outre les transmissions auxquelles cela peut donner lieu, ce lien entre les générations est fondamental pour la santé de la famille!
Reconnaitre nos liens pour réparer nos familles!
La pratique des constellations familiales, une autre thérapie brève réalisée en groupe, permet de comprendre les liens véritables qui unissent les éléments d’une famille.
Elle permet de mettre en lumière les raisons de certains blocages concrets du quotidien : difficulté à prendre sa place, à enfanter, à s’épanouir, à se sentir en sécurité, à être autonome etc… Comme en témoigne cette nouvelle série disponible sur Netflix.
Saison 1 (Bande-annonce) : Le Chemin de l’olivier (en Français)
En quoi le transgénérationnel impacte notre quotidien, me direz-vous? Eh bien, certains estiment que nous sommes sous l’influence de notre inconscient la majorité du temps. L’énergie de nos parents et les mémoires de nos ancêtres, engrammées dans notre mémoire cellulaire, participent aux influences inconscientes à l’origine de certains blocages.
Il n’est pas rare de voir des schémas se répéter de génération en génération dans les familles : suicides, viols, incestes, faillites, difficulté de couple etc… Lorsque ce vécu est nié, ou mis sous silence, cela devient ce que l’on appelle un secret de famille.
Les secrets de famille pèsent lourd sur le psychisme des descendants. Cela représente une part importante des sujets abordés en séance d’accompagnement. Parfois, mettre en lumière ce qui a été réellement vécu par nos ancêtres suffit à remettre les choses en place. Cela se fait en douceur et bénéficie à tout le clan, à la faveur des liens familiaux. Ainsi, remettre de l’ordre dans sa famille permet de retrouver sa place légitime au quotidien.
L’association propose régulièrement des ateliers dédiés à l’harmonisation des mémoires transgénérationnelles. Certains sont mêmes spécifiquement centrés sur le lien parent-enfant. Alors, jetez un oei là notre Agenda, ou abonnez-vous à notre Newsletter (ci-dessous) pour connaitre les prochaines dates!
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Et si 2022 était l’année du retour à l’Unité?
Aujourd’hui, il me semble que c’est la seule question qui vaille! Après plus de deux années de divisions, de conflits, de contradictions et de frustrations et enfermements successifs, nous cherchons la porte de sortie. Certains attendent peut-être que cela leur soit donné par un miracle. D’autres pensent que cela ne pourra venir que de chacun d’entre nous…D’autres encore ont peut-être fait le choix de s’habituer aux non-sens…et de « faire-avec ». En ce premier jour de l’année, avant de présenter nos vœux, je propose d’ explorer notre capacité à retrouver l’ Unité avec nous-mêmes et les autres. Est-ce encore possible? Comment? Et pourquoi c’est le véritable enjeu de cette sortie de crise que nous, tous, souhaitons au fond?
La lumière émerge (enfin) du chaos
Bien des masques sont tombés, bien des voiles ont été levés depuis deux ans! Que de chaos et de bouleversements internes! Il sort déjà de belles choses de tout cela. Ne l’oublions pas. Apparemment le nombre de création d’entreprises, donc de nouveaux projets, a crevé le plafond en 2021! Le moins qu’on puisse dire c’est que beaucoup ont décidé de reprendre leur liberté pour matérialiser leur rêve! Une certaine conscience de ce que j’appelle le « Nouveau Monde » émerge. Peut-il être autre chose que nouveau ce Monde, d’ailleurs?
En effet, « l’Ancien Monde » avait, à première vue, plus de libertés, au moins dans la relation à autrui…Mais était-il vraiment plus libre? Rien n’est moins sûr. Nous le savons bien maintenant. Nous voilà donc en transition, un peu forcée il est vrai, entre notre ancien mode de vie et un autre, que nous créons chaque jour un peu plus. Nos inconscients travaillent d’arrache pied la nuit pour en dessiner les contours, comme ils l’ont toujours fait depuis notre venue dans ce monde. Le scientifique américain, Joe Dispenza, explique bien ce phénomène ci-dessous!
La crise sanitaire de 2020 & 2021 ne les a pas stoppé, nos inconscients. C’est la véritable bonne nouvelle! Rien n’arrête le mouvement de la vie. Rappelons-nous, au passage, que la mort fait partie de la vie, comme en témoigne la vie de nos cellules dans cette vidéo. Ce à quoi nous assistons est la fin d’une ère. Nos esprits créent depuis le début de ce cataclysme le jour d’après, ainsi que la semaine et les mois qui suivront. A la force de nos croyances et de notre capacité à travailler à l’unisson, nous créons bel et bien nos jours à venir. Rien ne peut stopper cela.
Se nourrir sainement
Partant de là, une seule question se pose. Comment nourrissons-nous nos esprits? Comment les inspire-t-on pour qu’ils matérialisent la porte de sortie de cette crise, dans un premier temps, puis, un Monde qui nous fait véritablement envie?
Peut-être pourrions-nous souhaiter pour 2022, une nourriture plus saine que la division, la confrontation permanente des points de vues, des idées, des choix, des libertés?! Car soyons honnêtes, nous avons tous le même objectif ou presque : sortir de cette impasse. Notre « guerre » n’est pas de savoir qui aime le plus son prochain, ou qui se sacrifiera le plus pour l’éventualité du bien-être de l’autre, mais plutôt le retour à la liberté, la joie, l’harmonie etc… comme valeurs de base de notre société. Les méthodes employées par chacun et chacune diffèrent, certes. Mais cela appartient à chacun de faire ses propres choix.
Œuvrer pour ce qui nous fait vibrer, ce qui nous nourrit véritablement, malgré les tentatives de manipulations, est sans doute une des façons de s’atteler à autre chose. De lancer toute la puissance de nos esprits sur la solution, et non le maintien du problème. Aujourd’hui, faire ce choix nécessite encore un combat, tant la dualité est exacerbée ces derniers temps. Mais c’est un combat qui en vaut la peine!
L’enjeu des croyances collectives
L’enjeu du moment n’est donc pas de savoir s’il faut se vacciner ou pas. Il s’agit plutôt de donner de l’attention ici et maintenant à ce qui nous fait vibrer. Construire sa vie future n’est pas différent de construire le Monde de demain. Cela est de la responsabilité de chacun d’y participer. Nous voyons bien depuis 2 ans en quoi et comment la croyance collective influe sur le cours des choses.
Don Miguel Riuz appelle cela « le Rêve de la Planète » dans son livre « Les 5 Niveaux d’Attachement ». Parfois, il est différent du « Rêve personnel » et parfois les deux se rejoignent. Ce que nous avons pu observer en 2020 & 2021 c’est que le « Rêve de la Planète » contient encore l’histoire du « vilain virus ». Nous le devons en grande partie au travail de nos médias. La bonne nouvelle c’est que de plus en plus de « Rêves Personnels » s’éveillent à autre chose, construisent autre chose maintenant.
Il parait qu’il faut qu’au moins 62% d’un groupe croit la même chose pour que cette chose existe et qu’elle soit considérée comme vraie ensuite, par le groupe entier. Ce chiffre est peu et beaucoup à la fois. Pourtant notre expérience passée à montré que la vérité ne doit pas se situer très loin de cette estimation. Alors, à quand les 62% qui croient que toute cette crise est terminée depuis longtemps et qu’il est largement temps de passer à autre chose?
Et donc…
En 2022, que faisons-nous, tous autant que nous sommes? Allons-nous envoyer nos traditionnels vœux de « bonne année, bonne santé…et surtout bonne santé » ou allons-nous aussi souhaiter pour nous-mêmes et nos proches le retour à l’Unité? Allons-nous œuvrer pour « réparer » nos familles? Allons-nous donner de l’énergie aux paroles constructives et bienveillantes? Pourrions-nous apprendre à voir l’autre non plus comme une menace mais comme un reflet de nous-mêmes, que nous aimions cela ou pas?
Bref, toute l’équipe de l’association se joint à moi pour te souhaiter le retour à l’Unité, l’Inspiration pour créer un Futur qui donne envie de rester dans les parages pour en profiter, la Pensée saine et la Parole authentique, calme et bienveillante pour recréer une nouvelle réalité harmonieuse. Et surtout, surtout, de la Joie, de l’Amour de toi et pour tes proches, autant que ton cœur peut en donner et en recevoir!
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L’importance des rêves
En principe, nous passons une part nous négligeable de notre journée à dormir et donc à rêver. Environ 1/3 de notre temps est, ou plutôt devrait être passé au repos, au sommeil.
Les médecins s’accordent à dire que le sommeil est fondamental pour le bien-être de chacun, qu’il permet une réparation du corps. Il est donc bien dommage qu’à la faveur des chaos récents, beaucoup d’entre nous aient perdu de leur qualité de sommeil! En effet, il est agréable de revenir à la réalité après une bonne nuit de sommeil…mais combien d’entre nous ont encore ce luxe? Ce ne serait pas si grave si cela n’avait pas une conséquence directe sur la qualité de nos vies par la suite.
Les peuples premiers partent du principe que la vraie vie se trouve dans nos rêves et que notre journée n’est qu’une illusion. En Occident, nous vivons ces temps « rêves vs. réalité » comme séparés. L’un étant un espace non censuré, ni limité et l’autre un temps de cadre intrusif et de régulations sans fin. Alors où se trouve la vérité?
Cette semaine, je m’interroge sur notre perception du Monde, de nos mondes intimes au travers du prisme de nos rêves. Et en quoi ils contribuent à l’élaboration de notre réalité? Mais aussi comment nous pourrions les nourrir d’une manière qui nous permette de mieux vivre?
Les mécanismes du sommeil
Nous sommes fait de vibrations, et par conséquent de fréquences. Tout dans notre corps peut être quantifié ainsi. Le Hertz est d’avantage notre unité de mesure que le centimètre ou le kilo! Avec lui, on peut mesurer à la fois ce qui se passe dans notre cerveau, notre cœur, notre eau etc… C’est la même mesure qui peut également quantifier tout ce qui n’est pas directement notre matière : nos plans subtils, par exemple. Avec cette mesure on peut évaluer la fréquence globale de notre Etre.
Toutes les cellules de notre corps, au même titre que notre Terre et tout notre Univers répond à la même structure fondamentale du Tore. Il y a toujours un noyau qui produit de l’électricité et génère un champs magnétique autour. L’étendue de ce champs dépend de la puissance du cœur, du moteur nous pourrions dire. Nous avons tous accès à plusieurs couches de ce champ magnétique, que nous appelons nos « corps subtils ». Le corps astral est un des plus connus. C’est celui où se stockent nos émotions, entre autres informations.
Lorsque nous rêvons, notre conscience s’étend temporairement au delà des couches les plus denses de notre Etre. Elle explore d’autres horizons, d’autres vibrations et d’autres bandes de fréquences. C’est ce que nous appelons les rêves. Disons que les informations qui s’y trouvent sont plus proches du plan de « tous les possibles » que du plan dense de la matière. Et pourtant, même si nous avons la sensation que ces plans sont séparés, ils font tous partie de notre Etre . Par conséquent, la seule chose qui est « séparée », c’est le moment de notre journée où nous en faisons l’expérience.
Et à chaque plan sa vibration, sa fréquence. Cet article détaille bien les différentes couches de notre être d’un point de vue fréquentiel. Il montre que lorsque la fréquence de notre cerveau s’abaisse, nous entrons plus profondément en nous, dans nos rêves.
Plonger dans notre inconscient
Alors rêver çà sert à quoi au juste? D’un point de vue fréquentiel on voit bien que c’est un moyen de mettre notre cerveau conscient et notre corps au repos. Pourtant il s’en passe des choses dans nos rêves! Nous y sommes très actifs, et créatifs aussi. Qui n’a pas fait de rêves loufoques remplis de scènes défiant toutes les lois de la rationalité?
Le guide du rêve et de ses symboles de Marie Coupal, est un bon outil pour s’approprier les messages que nous envoient nos rêves. Encore faut-il s’en rappeler! Une autre méthode consiste à mettre par écrit sans censure l’histoire de son son rêve, en extraire les personnages ou objets clés et leur trouver des termes conscients correspondants. Par exemple, on peut remplacer « une robe » par le mot « déguisement » ou « masque », qui peut représenter le masque que l’on porte en société pour éviter de se montrer tel(le) que l’on est.
Ce n’est donc pas la chose agissante dans nos rêves qui compte, mais l’interprétation symbolique que notre Etre en fait. Ainsi, il est important de se rappeler que la « traduction » de nos rêves reste à l’entière discrétion de chacun(e). Personne ne peut décider à notre place ce que nous mettons comme sens derrière tel ou tel symbole. C’est d’ailleurs le propre de la symbolique de pouvoir être interprétée à la guise de chacun(e). Ceci dit, il est également possible de référer au grand ponte en la matière, j’ai nommé Carl Gustav Jung!
Créer notre réalité à venir
De mon coté, je préfère me dire que, pendant les rêves, notre cerveau va rendre compte à l’Univers de son expérience du jour, la ranger dans des endroits prévus à cet effet, et formuler sa demande d’expérience pour les temps à venir.
Il me semble donc important de faire attention à ce que nous vivons et pensons dans notre journée. En effet, plus nous avons tendance à juger et nous positionner vis-à-vis des gens et des choses et plus nous générons de l’information qui devra être triée puis rangée par la suite dans nos rêves.
Tout ce temps de triage est autant de temps ôté à la création de nouvelles expériences dans de nouveaux décors. Compte-tenu de notre propension à cela, il n’est pas étonnant que certain(e)s éprouvent parfois des difficultés passagères à dormir. Cela montre également bien à quel point nous sommes responsables des pièges dans lesquels nous tombons parfois.
La folie, c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent.
Albert EinsteinAlors, comme Albert nous le suggère, il peut-être temps de vivre, penser et surtout rêver à la suite du feuilleton de nos vies. Et de le faire avec d’autres motivations et intentions, afin que l’histoire actuelle laisse place à autre chose, de plus constructif pour nous tous.
Le film ci-dessous est un aperçu de ce qui existe de beau derrière tout « ce cadre » étouffant. Qui sait? Il pourrait éventuellement devenir une inspiration pour nos rêves! Et si nous sommes assez nombreux à en rêver, une réalité à venir pour nous tous…
NOTE: Le deuxième volait de ce film est actuellement disponible en français à la location pour celles/ceux qui voudraient rêver à partir de nos découvertes lumineuses les plus récentes…
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Reprendre notre liberté…
La crise du Coronavirus semble se terminer. Enfin, le peuple a décidé de reprendre son pouvoir. Le narratif de nos dirigeants s’épuise…Il est temps pour eux de trouver de nouveaux prétextes pour nous maintenir sous contrôle. La crise des derniers mois a montré à quel point ce qui est officiel n’est pas forcément juste…ni véritable.
Il est temps de réactiver notre libre-arbitre pour de bon. Il est plus que jamais judicieux d’anticiper afin d’éviter de potentielles et nouvelles dérives dictatoriales.
Tu trouveras peut-être cet article engagé, voire un brin politisé. La leçon que je retire de la « crise sanitaire » passée c’est que tout cela a été possible grâce à notre indifférence à la « vie de la cité ». Nous avons, des années durant, fait cadeau de notre libre-arbitre à des êtres plus ou moins bien intentionnés qui ont largement démontré que le bien-être du peuple est le cadet de leur souci!
C’est pourquoi j’ai personnellement décidé de m’impliquer d’avantage en décodant l’actualité avec l’aide de nos guides. Ainsi, je me sentirais peut-être moins impuissante face à toute cette manipulation qu’en 2020. Nous sommes le peuple de la Terre et, à ce titre, nous devons nous impliquer un minimum dans la vie de nos communautés.
Alors aujourd’hui, je « décode », à ma façon, le sujet du dérèglement climatique, dont nous voyons de multiples signes actuellement. Voyons ce qui est factuel et tangible par rapport à « l’enrobage médiatique » qui en fait. Inspirons-nous de notre passé pour prendre un peu de hauteur. Faisons nos propres recherches pour forger notre propre opinion et y voir plus clair dans les multiples grilles de lectures proposées!
Un esprit averti en vaut deux!
Telle est la leçon que nous pourrions retirer des 18 derniers mois. Reconnaitre les signes du changement dans le narratif médiatique peut nous éviter de nouvelles déconvenues. En effet, le narratif du « vilain virus » est ENFIN en train de s’essouffler. Mais déjà les bases de la prochaine manipulation sont en place. En vérité, cela a déjà été amorcé avant la crise sanitaire. Il s’agit du réchauffement climatique.
Nous recevons de plus en plus d’injonctions à considérer le problème du climat. Déjà des flots de culpabilité sont déversés sur nous à propos du climat. Nous sommes continuellement sollicité(e)s pour consommer « responsable »…
A grand renfort d’inondations de ces dernières semaines par exemple, nos médias sont lentement mais surement en train de basculer dans la nouvelle peur du dérèglement climatique. En parallèle, l’industrie, qui a senti le vent tourner, nous pousse déjà dans le nouveau tunnel de la consommation « responsable ». Nul doute que les solutions toutes faites sont en place. Elles n’attendent que notre consentement (en cours de fabrication) pour se déployer.
Je suis personnellement tombée dans ce panneau il y a plus de 3 ans. Je pensais que si nous ne nous réveillions pas immédiatement, nous étions tout bonnement foutus! A l’époque, j’ai écrit plusieurs articles qui détaillaient les multiples façons dont nos gouvernements, aveuglés par l’appât du gain, ignoraient les signes pourtant évidents du dérèglement climatique.
A l’époque j’avais déjà souligné le paradoxe entre l’idée d’un développement durable et la préservation de notre Terre. Ce paradoxe est plus que jamais d’actualité.
Dérèglement climatique et consommation « responsable »
La météo devient folle. Il a gelé au mois de Mai, il a plu presque non stop depuis. Les terres sont inondées dans des endroits improbables, tant ils sont loin des berges. Tout ceci est bien réel. Difficile de l’ignorer. Cela fait un moment que notre météo « déconne ». Nos hivers sont de plus en plus chauds et nos étés mettent de plus en plus de temps à s’installer. Ce serait un peu comme si nous passions tranquillement de quatre à deux saisons par an. Notre soleil aussi est beaucoup plus « piquant » qu’avant, sans doute à la faveur des récentes éruptions solaires. Le dérèglement climatique est réel.
L’effondrement dont parlait Pablo Servigne en 2015 dans son ouvrage « Comment tout peut s’effondrer » n’est pas venu du climat…Cet effondrement, dont les guides nous avaient prévenu(e)s, vient d’un virus créé par l’homme, pas par la nature. Aujourd’hui, nous savons bien que ce qui a mis notre quotidien sans dessus-dessous, ce sont les effets de la crise économique directement héritée de la « crise sanitaire » du Coronavirus, et non du dérèglement climatique.
Reconnaissons, ici et maintenant, le mécanisme de communication et de manipulation qui se répète à l’infini. Un dérèglement climatique est bien en marche et – oui – il y aura des conséquences pour nous tous à un niveau ou un autre. Mais la consommation, toujours aussi débridée, de produits estampillés « verts, durables ou responsables », n’y changera rien.
Remplacer le cuir d’animal par le cuir végétal requiert l’élevage de plantes à la place des animaux…Cela ne change pas grand chose si la matière en question doit parcourir la moitié du globe avant de devenir un produit « responsable »! Dans le fond, tout ce qui n’est pas fait en conscience de son impact réel sur le Vivant, produit un déséquilibre.
La météo le nouveau levier de pouvoir de nos dirigeants!
Les dérèglements climatiques ne sont pas nouveaux dans l’histoire de l’humanité comme en témoigne cet article de Zakweli. Evidemment, nos modes de vie actuels n’ont rien arrangé mais ce n’est pas la cause première du dérèglement. Notre système solaire suit un cyclique immuable. Ce parcours a de grandes incidences sur notre climat. Il s’agit du cycle de précession des équinoxes.
Nous arrivons au terme d’un cycle de 26000 ans, période à laquelle notre Terre peut basculer sur son axe. Cela peut expliquer une bonne partie des changements climatiques de ces dernières décennies. Nous n’avons pas plus de contrôle sur notre système solaire que sur notre propre Terre. Les traces laissées par nos ancêtres parfois lointains sur certains lieux, dont la grande Pyramide de Gizeh, seraient peut-être une façon de comprendre ce qui pourrait advenir.
En marge de ce cycle perpétuel et incontrôlable, nos gouvernements « jouent » avec la météo depuis bien longtemps. Le projet HAARP mené par les Etats-Unis est la partie visible de cet iceberg. Ainsi, nous pourrions nous demander quelle partie du dérèglement climatique pourrait être due à la folie de quelques hommes en mal de pouvoir.
Un homme/une femme conscient(e) en vaut trois!
Connaitre la vérité nous permettrait sans doute de prendre un certain recul sur les choses. De mieux discerner ce qu’il faudrait changer ou adapter urgemment dans nos vies et ce qui est à régler aux urnes! Cela nous allègerait sans doute d’un certain poids aussi. Je parle surtout aux êtres conscient(e)s de la nécessité du retour au bon sens dans notre rapport à la nature et à ses ressources.
Parlons justement de ce rapport à notre environnement et aux ressources naturelles. Nous le considérons comme une chose extérieure à nous. Sauf que notre environnement, et à fortiori l’état des ressources planétaires, sont l’exact reflet de nous-mêmes, et de notre ignorance, de notre inconscience aussi. Tant que notre mode de vie est dicté par nos peurs, nous ne sommes pas libres et notre environnement en paie les frais.
Et pour cause, nous croyons peut-être que cette nature nous est due. Il n’en est rien. Nous le voyons bien à la lumière des intempéries récentes. Lorsque Gaia s’ébroue de se qui l’encombre, c’est l’humanité la première et la plus durement impactée.
Pourtant, de nombreux scientifiques ont déjà démontré à quel point le Vivant (plantes, insectes, minéraux, bactéries etc…) sont bien plus intelligents que nous tous réunis! La différence avec nous c’est qu’ils savent où est leur place dans l’écosystème de la vie et ne cherchent pas à prendre le pouvoir à tout prix. Bref, un Vivant en bonne santé est un écosystème ou chacun est, et reste, à sa place!
Chacun sa place, et « les vaches seront bien gardées »!
L’humain est-il toujours à sa place quand il élève de manière industrielle des milliards d’animaux destinés à la boucherie? Quand il produit des tonnes de céréales dopées aux OGM ou aux traitement chimiques? Lorsqu’il s’immisce dans le processus de création de la vie elle-même? Dans la modification du genre?
De là où je me trouve, je vois un humain qui essaie de jouer à Dieu. Un humain qui n’est plus à sa juste place depuis longtemps.
Or, le Vivant est en chacun de nous et que nous le voulions ou non. C’est la vie en nous qui résonne à ce que nous expérimentons ou pas. Ce n’est pas parce que Netflix n’en parle pas que ce n’est pas réel. Comment expliquer pourquoi nous nous sentons bien dans certains lieux naturels ou avec certaines personnes et pas d’autres?
Un début de solution pour « sauver la planète » serait peut-être de considérer et respecter TOUT le Vivant comme nous-mêmes. Il serait peut-être temps de valoriser TOUTES nos ressources locales plutôt que l’utopie de produits sans âme importés d’ailleurs. Peut-être pourrions-nous prendre conscience et nous préoccuper d’abord de nous et notre environnement immédiat pour aborder la phase climatique avec plus de douceur et de résilience?
Nous voyons bien que les peuples de chaque pays doivent se soulever pour reprendre leur liberté. Le sauveur extérieur n’existe pas. C’est à nous de reconnaitre notre pouvoir, notre liberté et notre juste place au sein du Vivant et de la revendiquer pacifiquement!
Une façon de mettre fin au déséquilibre est de nourrir l’équilibre…Il y a quelques années, le film Avatar a ouvert une porte. Aujourd’hui, il serait peut-être judicieux de s’en inspirer pour retrouver notre véritable place dans tout cela. Comprenons à quel point, en débordant de notre place, nous avons contribué au déséquilibre terrestre actuel, sans en être véritablement à l’origine. Et si nous regardions le monde et, en particulier, le Vivant à la manière des Na’vis?
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Relax!
Oui, je sais, après les 18 derniers mois, ce mot semble avoir rejoint le groupe des mots désuets! Et pourtant, il n’ a jamais été autant d’actualité. C’est maintenant la Terre qui nous pousse dans nos retranchements! Pourquoi? Parce qu’elle a fait son grand ménage et qu’elle vient une nouvelle fois d’augmenter sa conscience, sa vibration. A notre tour d’en faire de-même! Dans la joie et la bonne humeur, de préférence. Ce serait dommage de passer un nouvel été dans la morosité, non? Comme nous sommes de nouveau à peu près libres de nos mouvements, il est temps de se poser les bonnes questions! Alors explorons comment nous pourrions nous détendre au milieu de tout ce chaos.
Faire du vide
Les nombreuses journées de pluie sont autant d’occasions de vider nos placards au sens propre, comme au figuré! Il n’y a pas si longtemps, nos grand-mères profitaient de cette période de l’année pour vider les armoires et faire le ménage en grand. Une maison allégée de tout ce qui l’encombre est beaucoup légère à porter et à entretenir. Pourquoi ne pas appliquer ces principes à notre propre corps?
Je sais que je me répète beaucoup à ce sujet mais l’énergie de ces dernières semaines nous y pousse, que nous le voulions ou non. Et ces choses dont nous devrions peut-etre nous débarrasser peuvent prendre de l’ampleur dans nos esprits juste pour qu’enfin, nous les considérions. Je parle de ces blocages, ces angoisses, ces peurs qui reviennent sans cesse et que nous ne connaissons que trop bien. Comment pourrions-nous satisfaire nos envies de renouveau si nous n’y faisons pas un minimum de place?
A l’image de la méthode Marie Kondo, nous pourrions au passage remercier ces objets, ces émotions auxquelles nous disons au revoir pour tout ce qu’elles nous ont permis de traverser. Nous ne les avons pas construites ou adoptées pour rien. Elles nous ont été utiles à certains moments. Est-ce encore le cas maintenant? De toutes les idées de collections, nos émotions sont celles qui pourraient se renouveler en permanence si nous n’étions pas si prompts à les stocker au fond de nous.
La vie est mouvement perpétuel. Tout ce qui va à l’encontre de cette dynamique entrave ce magnifique processus et finit par nous figer sur place. Faire le vide, c’est peut-être redonner de l’espace à nos rouages internes pour qu’ils puissent accompagner le mouvement de vie en nous, et non l’entraver.
Se reconnaitre
Nos cellules sont les maitres absolus dans l’art de l’adaptation. Lorsque nos placards sont pleins et que nous tenons à garder coute que coute nos émotions envahissantes, nos cellules nous soutiennent! Comment? En se reprogrammant pour le mouvement de vie inverse, sinon à la longue ce serait la mort. C’est-à-dire qu’elles préfèrent se mettre à soutenir les mouvements contraire à l’expérience du bonheur, plutôt que de stopper ce mouvement perpetuel de la vie.
En langage de thérapeute, nous appelons cela « une inversion ». Le corps se programme pour soutenir le fait d’être malheureux plutôt que celui d’être heureux. Notre corps, nos cellules n’ont pas d’opinion sur ce qui se vit, leur seul objectif est de remplir leur rôle car c’est en faisant cela qu’elles soutiennent le mieux ce bien précieux qu’est la vie. Par conséquent, si nous décidons plus ou moins consciemment de garder nos vieilles peurs, nos émotions encombrantes et ainsi nous maintenir dans un état de morosité ambiante, notre corps nous soutient, quoiqu’il arrive.
Nos cellules savent où se trouvent leur place. Elles savent quel est leur rôle et s’y tiennent quelle que soit la stratégie de bonheur ou de malheur choisie. Dans l’Univers, chaque chose, chaque être doit être à sa place pour que la vie se perpétue dans les meilleures conditions. C’est lorsque nous dérogeons à cette règle fondamentale que nous créons des contradictions en nous et autour de nous.
S’accepter
Le problème, me diras-tu, c’est de savoir où est sa place, quel est son chemin etc…C’est la beauté de la chose! Chacun décide de ce qu’il veut expérimenter. A l’instar des cellules, l’Univers n’a aucune attente quant à notre performance, si ce n’est que nous soyons heureux(ses) de la vivre. En d’autres termes, si je suis heureuse d’être malheureuse, ou frustrée, ou en colère, ou fatiguée etc…pour l’Univers c’est ok. Notre libre-arbitre est roi. C’est une autre règle fondamentale : aucune ingérence dans le libre-arbitre de qui que ce soit.
Autrement dit, notre chemin actuel est le chemin à suivre jusqu’à ce que nous décidions d’en changer. Quel soulagement, n’est pas? Voilà enfin un registre de nos vies où nous ne sommes pas tenu(e)s d’être performant(e)s. C’est une chose que les gourous du développement personnel disent peu. Ils seraient au chômage assez rapidement sinon. Et pourtant, c’est l’unique chose à comprendre. Il n’y a aucune force qui nous pousse à droite ou à gauche si ce n’est nous-mêmes. Nous sommes les créateurs de nos vies. A ce titre, si nous devions chercher un responsable à nos bonheurs ou nos malheurs, il faudrait trouver un miroir et se regarder dedans.
Oui nous créons les situations qui nous encombrent, comme celles qui nous ravissent. Ce n’est pas le voisin qui passe sa tondeuse à 8h30 le matin qui est responsable de notre malheur, mais nous-mêmes pour avoir créé, dans nos rêves notamment, ce décor. Pourquoi? Parce qu’il y a quelques chose à comprendre dans le fait d’expérimenter cette situation. Peut-etre est-ce une nouvelle façon de concevoir notre vie, ou une façon de nous faire travailler notre patience, notre compassion etc…Ou peut-être est-ce tout simplement pour nous faire prendre conscience que le voisin nous saoule avec sa tondeuse, mais nous en faisons de même avec nos soirées karaoké jusqu’à pas d’heure!
En résumé, lorsque nous acceptons que nous sommes le grand architecte responsable de ces cadeaux ou de ces désastres que sont nos vie, nous accédons tout naturellement à la porte de la solution…
Se pardonner
Et pour pouvoir ouvrir cette porte il nous faut à priori 2 clés: la première ouvre notre coeur et l’autre la porte. Les deux sont indispensables car ouvrir la porte sans avoir mis au préalable notre coeur en cohérence avec ce geste, peut créer de nouvelles contriétés et potentiellement des retours en arrière. Seul le pardon de soi peut remettre les pendules à l’heure, dans toutes nos dimensions.
Et le pardon, ca se décide, tout simplement et avec le coeur. Le pardon est une décision irrévocable. Comme toute les décisions prises avec le coeur, elle est sans appel. Cette décision permet de fermer définitivement la porte de l’ancien pour permettre d’ouvrir celle du renouveau…
Le renouveau c’est aussi accepter qu’à ne rien changer, rien ne change. Par conséquent, ouvrir cette nouvelle porte implique de faire certaines choses différemment, sous peine de retourner là d’où nous venons. Généralement, l’ouverture du coeur et de la nouvelle porte génère une grande joie doublée d’un grand espoir en nous. C’est à cela qu’on reconnait un passage réussi.
Et pourquoi pas maintenant?
C’est peut-être la question que tu te poses. Quand est-ce qu’on est prêt à sauter dans cet inconnu? J’ai envie de dire, quand on veut! Trois fois par jour si nécessaire!! Il n’y a pas de règle dans ce registre. C’est nous qui décidons et ressentons quand la dynamique de vie s’essoufle en nous et quand lui redonner un peu de peps.
Les énergies solaires actuelles sont extrêmement fortes et peuvent nous fatiguer. De grands changements ont lieu en ce moment dans la Terre, sur la Terre et partout autour, dans son atmosphère. Etant ses habitants, nous ne sommes pas épargné(e)s. Ces grands bouleversements peuvent nous mettre face à nous-mêmes dans le sens où il est probablement moins confortable de traverser un grand changement en trainant une grosse valise ou une maison bien pleine qu’un léger sac.
Ce qui se déroule actuellement dans l’énergie de la Terre nous pousse à nous alléger de toutes les manières possibles. Voyager léger permet de bouger plus facilement, et d’être flexible face aux nécessité de la vie, tout en étant toujours à sa place. Peut-être qu’il est temps de faire ce tri afin de partir en vacances le cœur léger et prêt(e) à découvrir cette nouvelle page qui se tourne?
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5D: Plus de conscience et moins de temps!
Nous venons de changer de ligne de temps. Cela s’est produit dans la semaine, en marge de la journée du solstice d’été. A cette occasion, il est possible que nous ressentions de la fatigue extrême, des douleurs ou encore des émotions. Alors prenons quelques minutes pour comprendre ce qui arrive…
Il est possible que nous ayons déjà constaté une sorte d’accélération du temps cette dernière année. Comme si les jours étaient beaucoup plus courts qu’avant, alors que nos appareils à mesurer le temps, eux, continuent à « égrainer » heures, minutes et secondes comme si de rien n’était. Ce temps qui s’écoule plus vite est la première conséquence d’un changement de ligne de temps ou de dimension de conscience.
Nous pourrions parler du passage de la Terre de la 3D à la 4D puis à la 5D. Ce fameux passage à la 5D dont nous entendons parler depuis quelques mois, nous y sommes!
Nous sommes upgradés en classe supérieure!
Etant tous habitants de cette planète, lorsqu’elle change de dimension et/ou de plan de conscience, et/ou de ligne de temps…nous sommes bien contraints d’en faire de même! C’est la raison pour laquelle, sans raison apparente, nous pouvons soudainement ressentir des bouleversements à l’intérieur de nos corps. Cela peut aller du mal de tête, au bouffées de chaleur, en passant par les nausées ou les pressions sur le cœur. Il peut y avoir un retour d’émotions enfouies de longue date également. Rassurons-nous, le vilain virus dont on nous rebat les oreilles n’y est probablement pour rien!
Alors, concrètement qu’est-ce que cela change dans nos quotidien, hormis ces désagréables (mais passagers) désagréments? C’est un appel à nettoyer tout ce qui ne nous appartient plus, notamment dans le registre des émotions, des croyances, de l’égo etc…Ces habitudes ancrées qui nous maintiennent dans des comportements restrictifs et parfois même destructifs doivent à présent cesser. Nos blessures anciennes, qu’elles soient le résultat de notre égo ou de la volonté de nos âmes doivent à présent s’alléger, sans quoi ce passage pourrait s’avérer bien plus douloureux que nécessaire. En bref, un changement de ligne de temps est une invitation à lâcher prise!
Les cadeaux!
Voir les choses telles qu’elles sont, c’est la condition sine qua non. Et quoi de mieux qu’une conscience plus fine de ce qui se passe pour y arriver? Voilà le cadeau! Ce serait comme un produit nettoyant magique et nouveau qui permettrait d’enlever les tâches les plus rebelles dont nos détachants actuels ne peuvent venir à bout. Excuse la métaphore douteuse mais elle le mérite d’être simple et concrète. Le grand ménage de printemps dont je parlais précédemment peut se faire plus vite et mieux grâce à cette nouvelle ligne de temps et de conscience.
Evidemment, plus nous cherchons à comprendre à tout prix, et mettre notre ego et notre mental là où il s’agit avant tout de le lâcher, et plus nous créons des contradictions qui nous fatiguent! Alors essayons d’accueillir ces changements le cœur ouvert. Dans la joie de sentir notre Terre, notre maison à tous/tes s’ébrouer de tous ces faux semblants et ces illusions qui nous gouvernent depuis bien trop longtemps!
Quant aux effets secondaires gênants, comme dans toute modification énergétique, il faudra peut-être quelques jours pour les dépasser: 3 jours, 3 semaines ou 3 mois…mais pour quel gain en qualité de vie ensuite?! En plus, tout ceci intervient au moment où nous sommes ENFIN déconfinés, sans couvre-feu et en pleine chaleur d’été. Autrement dit, nous avons devant nous de belles journées pour intégrer à notre rythme tous ces changements bénéfiques. Apprenons à regarder le verre à moitié plein, une fois n’est pas coutume.
Passe un bel été avec toi-même et prends soin du vivant en toi!
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Ménage de printemps
Nos grand-mères passaient une partie du printemps à vider les armoires de tout ce qui devait être nettoyé, blanchi, recyclé, donné bref…tout ce qui n’avait plus sa place dans la maison. Le printemps, symbole du renouveau est véritablement la période propice pour cela. Alors comment pourrions-nous identifier tout ce qui n’a plus sa raison d’être chez nous et en nous? Et surtout comment s’en débarrasser gentiment de sorte que tout ceci ne revienne pas nous hanter ensuite?
Au bout de 3 confinements, il temps d’ouvrir grand les fenêtres et de faire entrer de l’air frais! Nous avons maintenant le droit de retourner en terrasse pour notre plus grand bonheur. Faisons en sorte de ne pas oublier de « sortir nos poubelles » en partant! Nos poubelles émotionnelles bien sûr. L’année qui vient de passer a « secoué notre cocotier ». Elle a peut-être fait tomber tous ces miasmes qui ne tenaient plus que par l’opération de notre volonté. Nous voilà rendu(e)s avec nos « déchets » émotionnels sans vraiment savoir quoi en faire.
Les ancêtres sont également présents en ce moment. Ceux qui nous ne pouvons plus faire de bisous ou de câlins mais qui restent reliés à nous. Certains d’entre eux nous sont peut-être revenu en mémoire récemment, sans raison apparente. Comme il n’y a jamais de hasard dans la vie, il est probable que le fait de les recontacter nous pousse à aller voir des aspects de nous-mêmes que nous ne voyions pas avant. Nos blessures les plus anciennes et les plus profondes par exemple!
Pour que la vie reprenne tranquillement son mouvement, il nous faut redonner toute cette « matière émotionnelle » à l’Univers. Pacifier nos mémoires et nos blessures est ce qui est le plus pertinent à faire, en particulier maintenant. Le Monde est à l’aube de sa renaissance (même si le chaos actuel en cache les signes) et quoi de mieux pour renaitre joyeusement à soi-même que vider ses placards, sortir ses poubelles, histoire de faire place à la nouveauté?
Reconnaitre nos « déchets émotionnels »
Le sujet des blessures de l’Ame et de toutes leurs déclinaisons dans nos êtres est à l’honneur du premier webinaire organisé par notre Association. Cet événement, ouvert à tous et toutes, permettra à chacun(e) d’aller reconnaitre ces dynamiques profondément enfouies en nous. Ces mécanismes, ces filtres, au travers desquels nos Ames ont décidé d’expérimenter cette existence.
Grâce au partage de nos expériences respectives, nous pourrons apprendre à déjouer les pièges de nos auto-saboteurs. Nous pourrons aussi prendre du recul face aux comportements de notre entourage qui nous agacent parfois. Bref, nous pourrons accueillir une nouvelle grille de lecture de la Vie pour nous-mêmes et les autres!
Ce webinaire d’articulera autour de la découverte des notions d’axe d’incarnation, de blessures d’Ames et de saboteurs. Tout au long de cette soirée nous aurons aussi l’aide de nos guides pour explorer nos expériences de vie. Une façon résiliente et conviviale de se mettre au service de notre propre ménage de printemps!
Un partage qui peut faire la différence dans nos vies et nous épargner beaucoup de tracas dans nos relations au quotidien!
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Les sons du Vivant
Une incursion dans l’Univers des sons pour un nouvel éclairage sur les mécanismes du vivant et la découverte d’une nouvelle approche de notre vie.
Dans mon activité de thérapeute, je croise souvent des personnes qui se sentent décalées ou se demandent ce qu’elles font là…Une question bien légitime à laquelle il est bien difficile d’obtenir une réponse simple de nos jours.
Il y a 13 ans, j’ai fait un voyage ou j’ai eu l’occasion de passer du temps dans le désert Tunisien, au sud du pays. Cette étape particulière du périple est restée gravée dans ma mémoire. La principale raison à cela est que j’ai été presque instantanément reconnectée à moi-même dans ce lieu, pourtant dénué de toute vie…du moins en apparence.
Ce qui m’a saisie, c’est le silence. Evidemment, il y avait du vent, et cela produit un certain son, mais c’est comme si l’absence de pollution visuelle, doublée de ces courants d’air avaient immédiatement nettoyé toute ma pollution mentale. C’était il y a bien longtemps. A l’époque j’étais encore profondément ancrée dans « la Matrice ». J’étais bien loin de me douter qu’un jour je découvrirai à quel point les sons sous toutes leurs formes peuvent nous aider à guérir nos blessures.
Les fréquences, mesures incontournables du Vivant!
Hors problématiques de voisinage, nous n’avons pas réellement conscience de l’effet de la pollution sonore a sur nous. Pourtant, notre cerveau capte bien plus de sons qu’il n’y parait. Les effets néfastes du bruit et des vibrations prolongées sur une personne en santé à la base sont parfois sévères. La dépression est une des conséquences possibles, mais il y en a d’autres! En effet, nous ne sommes pas toujours conscients de l’ensemble des fréquences sonores perçues par notre corps.
Mon précédent article présentait le hertz comme la principale unité de mesure du vivant. L’unité Bovis (unité de mesure des vibrations) en est une autre et il existe un vrai lien entre les deux! Les articles ci-dessus (liens) montrent bien à quel point c’est le cas. Nous avons l’habitude de différentier les sons, par définition non palpables et parfois inaudibles, des choses matérielles. Cependant, notre corps est composé de fréquences qui entrent en résonnance avec son champ vibratoire, que celles-ci proviennent d’un objet, d’une note de musique ou d’un autre corps!
Cette expérience dans le désert m’a montré que les pollutions sonores représentent un vrai frein à notre santé. Il me semble raisonnable d’admettre que, comme l’homéopathie, le son peut permettre la rééquilibration d’un certain nombre de choses en nous.
Les sons comme médecine
Dans « Message des hommes vrais au monde mutant », Marlo Morgan décrit son périple au sein d’une tribu aborigène d’Australie. Une de ces histoires où l’on voit très bien l’Univers comploter pour pousser le héros à sa juste place. Elle y décrit le lien unique qui existe entre les membres de la tribu mais aussi le Vivant autour d’elle. L’action se déroule dans un désert. Dans cet environnement que nous qualifierions peut-être d’hostile, les aborigènes vivent en santé et heureux! Ils célèbrent la vie de toutes les manières possibles. Le chant est l’une d’entre elles. Il communiquent aussi par télépathie (par la transmission de pensée) tant leur lien mutuel est fort. Une belle opportunité de découvrir à quel point les sons, les fréquences audibles ou pas, sont inséparables de la vie, à fortiori en communauté.
Une preuve de l’effet des sons sur notre organisme réside dans l’impact de certaines paroles sur nous. Il arrive qu’elles nous blessent profondément et parfois aussi qu’elles nous guérissent. Les fréquences sonores contiennent le sens des mots, des chants etc… mais également toute la portée des intentions qu’ils contiennent. Partant de là, il semble plausible qu’un son dans une fréquence adaptée et une intention adaptée puisse effectivement guérir.
Franck Nabet, a contribué à développer la connaissance et l’usage de la musique 432Hz en France. Il a découvert au contact de certains peuples « premiers » que cette fréquence particulière correspond à celle de notre organe-cœur. Ainsi, lorsque nous écoutons une musique dans cette fréquence, notre cœur « entend » les intentions associées dans son propre langage. Fort de cette découverte, Franck a aussi décliné un ensemble d’outils capables d’agir non seulement sur les maux physiques mais aussi ceux de l’Ame.
Le 7 dans le Vivant…
T’es-tu déjà demandé pourquoi tu sembles répéter sans cesse les mêmes erreurs? Pourquoi malgré tous tes efforts certaines situations se présentent sans arrêt devant tes yeux? Pourquoi même si les décors et protagonistes de ton histoire changent, le thème de fond semble toujours rester le même?
Découvrir quelles sont nos blessures d’Ames activées mais également celles que nous ne sommes pas venu(e)s vivre, est un moyen de faire du tri dans le brouillard émotionnel du quotidien. En termes simples, la musicothérapie-énergétique peut nous aider à y voir plus clairs dans les vrais défis de nos existences. Une fois nos problématiques récurrentes mises en lumière, cette méthode propose un ensemble d’outils simples et efficace pour se remettre en équilibre.
Le 7 est omniprésent dans le Vivant. Nous connaissons les 7 notes de musique, les 7 chakras, les 7 familles de bactéries etc…Et, bien que Lise Bourbeau en présente uniquement 5 dans son ouvrage « les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même », il y a aussi 7 blessures d’Ame. Nous sommes donc ici-bas pour expérimenter 7 blessures potentielles dans la matière de notre corps. De là à penser qu’il existe un lien entre tous « ces 7 trucs », il n’y a qu’un pas! Ce sont ces liens que la « musicothérapie-énergétique » explore pour nous aider à retrouver notre symphonie unique. Notre symphonie dont la Terre a besoin pour avancer dans sa libération (voir live du 08/03/21).
Cette approche permet, via des sons sous diverses formes et fréquences, d’équilibrer tous nos corps, pour retrouver tout notre potentiel. La méthode développée par Franck Nabet permet de remettre les personnes dans leur alignement, tant au niveau physique qu’émotionnel ou karmique. Les soins avec les fréquences sonores travaillent sur tous les plans. Connaissant l’impact de nos émotions sur notre santé physique, il est intéressant d’explorer les challenges de son existence à travers cette grille de lecture simple et efficace.
Ces sons qui libèrent
Au delà de l’aspect curatif, la musicothérapie-énergétique est une occasion unique de connaitre « sa note d’incarnation ». Cela correspond, en quelques sortes, à sa véritable raison d’être ou la thématique principale de sa mission de vie.
La « note d’incarnation » inclut le talent particulier de chacun(e), sa symphonie unique et sa manière de mettre sa vie en mouvement. Certain(e)s créeront leur vie par la pensée, d’autre(s) par le verbe et d’autres enfin par l’action. Trouver ce fameux axe et cette note d’incarnation permet d’allumer un gros projecteur sur sa vie, pour la regarder avec un œil nouveau.
Tu l’auras compris, cette approche innovante dépoussière notre compréhension du vivant. Elle nous permet de mieux nous connaitre. Et surtout pourquoi d’un certain point de vue tout est juste et tout s’explique parfaitement. Non par des concepts fumeux mais par des études scientifiques, preuves à l’appui. La meilleure ambassadrice de cette approche est Jeanne Ayache, ancienne chercheuse au CNRS. Elle a collaboré avec Franck Nabet pour la réalisation des élixirs sonores et la démonstration leur indéniable efficacité sur le vivant.
Pour en savoir plus sur les élixirs sonores de Franck Nabet: https://www.harmonymusic.fr/elixirs-sonores
Pour en savoir plus sur Jeanne Ayache : https://jeanneayache.com/
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Rester zen!
Les derniers jours ont comme un goût de « déjà vu ». Avec ce nouveau confinement généralisé, et son flot ininterrompu d’incohérences, les mauvais souvenirs peuvent ressurgir. Après une année déjà très éprouvante tant sur le plan matériel qu’émotionnel, ce nouveau couperet n’est vraiment pas le bienvenu! Après un an de ces « pratiques » et de chiffres toujours au taquet, on peut réellement se demander si de telles politiques relèvent encore tout simplement du bon sens… »variant » ou pas!
Cet article dit même que les « vaccinés » sont autant restreints dans leurs libertés que les autres. Cela en dit long sur la manipulation en cours. Bref…rien de nouveau sous le soleil. Le moins qu’on puisse dire c’est que le sujet des désaccords entre personnes a encore de beaux jours devant lui. Seuls les mots changent, mais le fond reste le même. Serions-nous manipulé(e)s dans le but d’être progressivement privé(e)s de nos libertés?
Voilà le débat sur lequel de nombreuses familles, de nombreux écosystèmes humains se cassent les dents depuis bien trop longtemps maintenant. Voici quelques arguments pour faire face, une fois encore…pour retrouver calme et équilibre, des denrées rares pour nous tous! Avec l’aide nos amis les guides voici un petit rappel des façons d’être en paix face aux différentes adversités du quotidien…et en particulier les tensions avec nos proches.
La liberté de chacun s’arrête là où commence celle d’autrui…
Article 6. La liberté est le pouvoir qui appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui : elle a pour principe la nature ; pour règle la justice ; pour sauvegarde la loi ; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu’il te soit fait.
Deuxième déclaration des Droits de l’Homme (1793)Ce proverbe, nous en faisons l’expérience depuis plus d’un an maintenant. En fait, le point de vue de nos détracteurs a autant le droit de s’exprimer que le nôtre. Tomber d’accord n’est pas obligatoire mais se respecter dans ses besoins, oui. De toute façon, peu importent les preuves, quelqu’un qui a décidé de ne pas voir, ne vois pas. A nous de trouver le moyen de nous ajuster à cette situation.
A d’autres moments de nos vies, nous savons très bien faire la part des choses parmi les informations qui s’offrent à nous. Nous avons des ressources qui nous permettraient de nous positionner calmement et de manière plus mesurée. Notre libre-arbitre est là. Nous savons l’utiliser quand cela est nécessaire. Nous devrions y arriver aussi dans le cas de cette « pseudo-pandémie »? (à noter que la définition de « pandémie » ne s’applique pas à ce que nous vivons depuis une année).
Faire un choix
Ceci dit, soyons réalistes! Dans bien des cas, même nos plus gros efforts ne suffisent pas à calmer notre envie d’argumenter, particulièrement sur ce sujet. Mais se positionner ne veut pas dire entrer en guerre! Cela implique simplement de dire notre position, pour ce qu’elle est : affirmer qui nous sommes et où se trouve notre cohérence.
En d’autres termes, la première chose est peut-être de faire un choix. Est-ce que je me saisis de cette opinion qui me dérange ou pas? Nous sommes habitué(e)s à avoir des opinions sur tout et tout le monde. L’humain et en particulier le/la français(e) juge! L’être humain juge. Peut-être est-il temps de trouver d’autres parades à nos contradictions? Comme le silence, ou donner son temps et son énergie à autre chose de plus constructif. Quelque chose qui nous nourrit.
En faisant cela, nous soulageons beaucoup de choses en nous et autour de nous. Nous choisissons l’équilibre, la cohérence et la joie au détriment du jugement, de la colère et de la frustration. Il s’agit de vivre ce qu’on aime plutôt que les peurs de l’autre. Nous laissons à l’autre ce qui lui appartient, à fortiori si nous le considérons comme une « pollution ». Pas besoin d’en charger notre sac à dos.
Reconnaitre nos peurs et nous protéger
A ce stade, nous sommes supposé(e)s avoir accepté l’opinion de l’autre, et/ou choisi de ne pas nous polluer avec, ce qui demande déjà une grande force intérieure. Maintenant, nous pouvons passer à la deuxième étape: reconnaitre nos peurs. J’ai déjà écrit sur ce sujet. Dans ce contexte chaotique et incertain, empreint d’une dissonance jamais égalée, il est légitime d’avoir peur. Certain(e)s ont peur de mourir, d’autres de la privation définitive de liberté. Nous avons tous peur de quelques chose dans la situation où nous sommes aujourd’hui. Nier cela, c’est s’éloigner de la solution.
Nos guides nous ont prévenu(e)s il y a un moment déjà que l’information est manipulée de tous les cotés. Celles de nos « lanceurs d’alertes » n’y font pas exception. En effet, les médias de masse ne mordent pas la main qui les nourrit et nous distribuent la peur de mourir à volonté. Les lanceurs d’alerte eux distribuent la peur de la privation de liberté dans les mêmes proportions. Au final, que l’on soit d’un coté ou de l’autre, ou si nous naviguons entre les deux, nous sommes abreuvés de peurs, de colères, de frustrations, etc…
Dans ce climat, arrêter de s’informer est probablement la chose la plus radicale, mais aussi la plus saine à faire pour se reconnecter à nous. A nos cœurs et à nos Ames aussi. Ils sont nos boussoles les plus fiables par les temps qui courent, y compris pour décider si nous devons nous vacciner ou pas…A nous de trouver le moyen de les solliciter pour trouver notre chemin. Ils répondent toujours d’une manière ou d’une autre à nos sollicitations. Alors peut-être que le temps d’une petite « détox » de printemps serait venu?
Aimer nos proches inconditionnellement
La différence entre Amour et Attachement est la condition que nous mettons pour le donner ou le vivre. Accueillir l’opinion de nos proches pour ce qu’elle est, leur dire que nous avons entendu leur point de vue et leur peur, même si cela n’évoque rien pour nous, c’est de l’Amour inconditionnel. La « parade ultime » au chaos et à la peur. Un choix difficile à faire, mais certainement le plus libérateur. Ecouter et accepter la peur de nos êtres chers est la meilleure façon de sortir de l’ornière dans la relation, pour transcender le plomb en or, à l’instar des alchimistes!
Certain(e)s diront plus facile à dire qu’à faire! Certes. Dans ce cas, le conseil de nos guides est de transformer le « tu » (qui tue) en « je » (jeux). Lorsque nous faisons face à des reproches de notre entourage, échanger le « tu » par un « je » permet de comprendre que rien de ce qui est dit ne nous concerne réellement. Il s’agit simplement d’un moyen maladroit de l’autre pour se dire. Moyen que nous employons tou(te)s à un moment ou un autre dans nos modes de communications actuels.
En résumé, dans l’adversité se trouve souvent un débat de peurs. A l’heure actuelle, deux courants s’affrontent : la peur de mourir et celle d’être privé de liberté. Dans les deux cas, le besoin sous-jacent est celui de se sentir en sécurité. Bientôt, à la faveur des effets dévastateurs de cette crise, viendra s’ajouter le besoin de satisfaire certains besoins physiologiques de base, comme manger à sa faim…Bref, tant que nous sommes divisés, nous régressons dans la pyramide de Maslow! Les grands gagnants sont les gens malveillants qui nous dirigent et qui ont bien compris qu’il est très utile de « diviser pour mieux régner ». Alors, quand trouverons-nous le courage de revenir aux être sociaux que nous sommes pour retrouver le chemin du bonheur?