Reprendre notre liberté…

La crise du Coronavirus semble se terminer. Enfin, le peuple a décidé de reprendre son pouvoir. Le narratif de nos dirigeants s’épuise…Il est temps pour eux de trouver de nouveaux prétextes pour nous maintenir sous contrôle. La crise des derniers mois a montré à quel point ce qui est officiel n’est pas forcément juste…ni véritable.

Il est temps de réactiver notre libre-arbitre pour de bon. Il est plus que jamais judicieux d’anticiper afin d’éviter de potentielles et nouvelles dérives dictatoriales.

Tu trouveras peut-être cet article engagé, voire un brin politisé. La leçon que je retire de la « crise sanitaire » passée c’est que tout cela a été possible grâce à notre indifférence à la « vie de la cité ». Nous avons, des années durant, fait cadeau de notre libre-arbitre à des êtres plus ou moins bien intentionnés qui ont largement démontré que le bien-être du peuple est le cadet de leur souci!

C’est pourquoi j’ai personnellement décidé de m’impliquer d’avantage en décodant l’actualité avec l’aide de nos guides. Ainsi, je me sentirais peut-être moins impuissante face à toute cette manipulation qu’en 2020. Nous sommes le peuple de la Terre et, à ce titre, nous devons nous impliquer un minimum dans la vie de nos communautés.

Alors aujourd’hui, je « décode », à ma façon, le sujet du dérèglement climatique, dont nous voyons de multiples signes actuellement. Voyons ce qui est factuel et tangible par rapport à « l’enrobage médiatique » qui en fait. Inspirons-nous de notre passé pour prendre un peu de hauteur. Faisons nos propres recherches pour forger notre propre opinion et y voir plus clair dans les multiples grilles de lectures proposées!

Un esprit averti en vaut deux!

Telle est la leçon que nous pourrions retirer des 18 derniers mois. Reconnaitre les signes du changement dans le narratif médiatique peut nous éviter de nouvelles déconvenues. En effet, le narratif du « vilain virus » est ENFIN en train de s’essouffler. Mais déjà les bases de la prochaine manipulation sont en place. En vérité, cela a déjà été amorcé avant la crise sanitaire. Il s’agit du réchauffement climatique.

Nous recevons de plus en plus d’injonctions à considérer le problème du climat. Déjà des flots de culpabilité sont déversés sur nous à propos du climat. Nous sommes continuellement sollicité(e)s pour consommer « responsable »…

A grand renfort d’inondations de ces dernières semaines par exemple, nos médias sont lentement mais surement en train de basculer dans la nouvelle peur du dérèglement climatique. En parallèle, l’industrie, qui a senti le vent tourner, nous pousse déjà dans le nouveau tunnel de la consommation « responsable ». Nul doute que les solutions toutes faites sont en place. Elles n’attendent que notre consentement (en cours de fabrication) pour se déployer.

Je suis personnellement tombée dans ce panneau il y a plus de 3 ans. Je pensais que si nous ne nous réveillions pas immédiatement, nous étions tout bonnement foutus! A l’époque, j’ai écrit plusieurs articles qui détaillaient les multiples façons dont nos gouvernements, aveuglés par l’appât du gain, ignoraient les signes pourtant évidents du dérèglement climatique.

A l’époque j’avais déjà souligné le paradoxe entre l’idée d’un développement durable et la préservation de notre Terre. Ce paradoxe est plus que jamais d’actualité.

Dérèglement climatique et consommation « responsable »

La météo devient folle. Il a gelé au mois de Mai, il a plu presque non stop depuis. Les terres sont inondées dans des endroits improbables, tant ils sont loin des berges. Tout ceci est bien réel. Difficile de l’ignorer. Cela fait un moment que notre météo « déconne ». Nos hivers sont de plus en plus chauds et nos étés mettent de plus en plus de temps à s’installer. Ce serait un peu comme si nous passions tranquillement de quatre à deux saisons par an. Notre soleil aussi est beaucoup plus « piquant » qu’avant, sans doute à la faveur des récentes éruptions solaires. Le dérèglement climatique est réel.

L’effondrement dont parlait Pablo Servigne en 2015 dans son ouvrage « Comment tout peut s’effondrer » n’est pas venu du climat…Cet effondrement, dont les guides nous avaient prévenu(e)s, vient d’un virus créé par l’homme, pas par la nature. Aujourd’hui, nous savons bien que ce qui a mis notre quotidien sans dessus-dessous, ce sont les effets de la crise économique directement héritée de la « crise sanitaire » du Coronavirus, et non du dérèglement climatique.

Reconnaissons, ici et maintenant, le mécanisme de communication et de manipulation qui se répète à l’infini. Un dérèglement climatique est bien en marche et – oui – il y aura des conséquences pour nous tous à un niveau ou un autre. Mais la consommation, toujours aussi débridée, de produits estampillés « verts, durables ou responsables », n’y changera rien.

Remplacer le cuir d’animal par le cuir végétal requiert l’élevage de plantes à la place des animaux…Cela ne change pas grand chose si la matière en question doit parcourir la moitié du globe avant de devenir un produit « responsable »! Dans le fond, tout ce qui n’est pas fait en conscience de son impact réel sur le Vivant, produit un déséquilibre.

La météo le nouveau levier de pouvoir de nos dirigeants!

Les dérèglements climatiques ne sont pas nouveaux dans l’histoire de l’humanité comme en témoigne cet article de Zakweli. Evidemment, nos modes de vie actuels n’ont rien arrangé mais ce n’est pas la cause première du dérèglement. Notre système solaire suit un cyclique immuable. Ce parcours a de grandes incidences sur notre climat. Il s’agit du cycle de précession des équinoxes.

Nous arrivons au terme d’un cycle de 26000 ans, période à laquelle notre Terre peut basculer sur son axe. Cela peut expliquer une bonne partie des changements climatiques de ces dernières décennies. Nous n’avons pas plus de contrôle sur notre système solaire que sur notre propre Terre. Les traces laissées par nos ancêtres parfois lointains sur certains lieux, dont la grande Pyramide de Gizeh, seraient peut-être une façon de comprendre ce qui pourrait advenir.

En marge de ce cycle perpétuel et incontrôlable, nos gouvernements « jouent » avec la météo depuis bien longtemps. Le projet HAARP mené par les Etats-Unis est la partie visible de cet iceberg. Ainsi, nous pourrions nous demander quelle partie du dérèglement climatique pourrait être due à la folie de quelques hommes en mal de pouvoir.

Un homme/une femme conscient(e) en vaut trois!

Connaitre la vérité nous permettrait sans doute de prendre un certain recul sur les choses. De mieux discerner ce qu’il faudrait changer ou adapter urgemment dans nos vies et ce qui est à régler aux urnes! Cela nous allègerait sans doute d’un certain poids aussi. Je parle surtout aux êtres conscient(e)s de la nécessité du retour au bon sens dans notre rapport à la nature et à ses ressources.

Parlons justement de ce rapport à notre environnement et aux ressources naturelles. Nous le considérons comme une chose extérieure à nous. Sauf que notre environnement, et à fortiori l’état des ressources planétaires, sont l’exact reflet de nous-mêmes, et de notre ignorance, de notre inconscience aussi. Tant que notre mode de vie est dicté par nos peurs, nous ne sommes pas libres et notre environnement en paie les frais.

Et pour cause, nous croyons peut-être que cette nature nous est due. Il n’en est rien. Nous le voyons bien à la lumière des intempéries récentes. Lorsque Gaia s’ébroue de se qui l’encombre, c’est l’humanité la première et la plus durement impactée.

Pourtant, de nombreux scientifiques ont déjà démontré à quel point le Vivant (plantes, insectes, minéraux, bactéries etc…) sont bien plus intelligents que nous tous réunis! La différence avec nous c’est qu’ils savent où est leur place dans l’écosystème de la vie et ne cherchent pas à prendre le pouvoir à tout prix. Bref, un Vivant en bonne santé est un écosystème ou chacun est, et reste, à sa place!

Chacun sa place, et « les vaches seront bien gardées »!

L’humain est-il toujours à sa place quand il élève de manière industrielle des milliards d’animaux destinés à la boucherie? Quand il produit des tonnes de céréales dopées aux OGM ou aux traitement chimiques? Lorsqu’il s’immisce dans le processus de création de la vie elle-même? Dans la modification du genre?

De là où je me trouve, je vois un humain qui essaie de jouer à Dieu. Un humain qui n’est plus à sa juste place depuis longtemps.

Or, le Vivant est en chacun de nous et que nous le voulions ou non. C’est la vie en nous qui résonne à ce que nous expérimentons ou pas. Ce n’est pas parce que Netflix n’en parle pas que ce n’est pas réel. Comment expliquer pourquoi nous nous sentons bien dans certains lieux naturels ou avec certaines personnes et pas d’autres?

Un début de solution pour « sauver la planète » serait peut-être de considérer et respecter TOUT le Vivant comme nous-mêmes. Il serait peut-être temps de valoriser TOUTES nos ressources locales plutôt que l’utopie de produits sans âme importés d’ailleurs. Peut-être pourrions-nous prendre conscience et nous préoccuper d’abord de nous et notre environnement immédiat pour aborder la phase climatique avec plus de douceur et de résilience?

Nous voyons bien que les peuples de chaque pays doivent se soulever pour reprendre leur liberté. Le sauveur extérieur n’existe pas. C’est à nous de reconnaitre notre pouvoir, notre liberté et notre juste place au sein du Vivant et de la revendiquer pacifiquement!

Une façon de mettre fin au déséquilibre est de nourrir l’équilibre…Il y a quelques années, le film Avatar a ouvert une porte. Aujourd’hui, il serait peut-être judicieux de s’en inspirer pour retrouver notre véritable place dans tout cela. Comprenons à quel point, en débordant de notre place, nous avons contribué au déséquilibre terrestre actuel, sans en être véritablement à l’origine. Et si nous regardions le monde et, en particulier, le Vivant à la manière des Na’vis?

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