Rester zen!

Les derniers jours ont comme un goût de « déjà vu ». Avec ce nouveau confinement généralisé, et son flot ininterrompu d’incohérences, les mauvais souvenirs peuvent ressurgir. Après une année déjà très éprouvante tant sur le plan matériel qu’émotionnel, ce nouveau couperet n’est vraiment pas le bienvenu! Après un an de ces « pratiques » et de chiffres toujours au taquet, on peut réellement se demander si de telles politiques relèvent encore tout simplement du bon sens… »variant » ou pas!

Cet article dit même que les « vaccinés » sont autant restreints dans leurs libertés que les autres. Cela en dit long sur la manipulation en cours. Bref…rien de nouveau sous le soleil. Le moins qu’on puisse dire c’est que le sujet des désaccords entre personnes a encore de beaux jours devant lui. Seuls les mots changent, mais le fond reste le même. Serions-nous manipulé(e)s dans le but d’être progressivement privé(e)s de nos libertés?

Voilà le débat sur lequel de nombreuses familles, de nombreux écosystèmes humains se cassent les dents depuis bien trop longtemps maintenant. Voici quelques arguments pour faire face, une fois encore…pour retrouver calme et équilibre, des denrées rares pour nous tous! Avec l’aide nos amis les guides voici un petit rappel des façons d’être en paix face aux différentes adversités du quotidien…et en particulier les tensions avec nos proches.

La liberté de chacun s’arrête là où commence celle d’autrui…

Article 6. La liberté est le pouvoir qui appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui : elle a pour principe la nature ; pour règle la justice ; pour sauvegarde la loi ; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu’il te soit fait.

Deuxième déclaration des Droits de l’Homme (1793)

Ce proverbe, nous en faisons l’expérience depuis plus d’un an maintenant. En fait, le point de vue de nos détracteurs a autant le droit de s’exprimer que le nôtre. Tomber d’accord n’est pas obligatoire mais se respecter dans ses besoins, oui. De toute façon, peu importent les preuves, quelqu’un qui a décidé de ne pas voir, ne vois pas. A nous de trouver le moyen de nous ajuster à cette situation.

A d’autres moments de nos vies, nous savons très bien faire la part des choses parmi les informations qui s’offrent à nous. Nous avons des ressources qui nous permettraient de nous positionner calmement et de manière plus mesurée. Notre libre-arbitre est là. Nous savons l’utiliser quand cela est nécessaire. Nous devrions y arriver aussi dans le cas de cette « pseudo-pandémie »? (à noter que la définition de « pandémie » ne s’applique pas à ce que nous vivons depuis une année).

Faire un choix

Ceci dit, soyons réalistes! Dans bien des cas, même nos plus gros efforts ne suffisent pas à calmer notre envie d’argumenter, particulièrement sur ce sujet. Mais se positionner ne veut pas dire entrer en guerre! Cela implique simplement de dire notre position, pour ce qu’elle est : affirmer qui nous sommes et où se trouve notre cohérence.

En d’autres termes, la première chose est peut-être de faire un choix. Est-ce que je me saisis de cette opinion qui me dérange ou pas? Nous sommes habitué(e)s à avoir des opinions sur tout et tout le monde. L’humain et en particulier le/la français(e) juge! L’être humain juge. Peut-être est-il temps de trouver d’autres parades à nos contradictions? Comme le silence, ou donner son temps et son énergie à autre chose de plus constructif. Quelque chose qui nous nourrit.

En faisant cela, nous soulageons beaucoup de choses en nous et autour de nous. Nous choisissons l’équilibre, la cohérence et la joie au détriment du jugement, de la colère et de la frustration. Il s’agit de vivre ce qu’on aime plutôt que les peurs de l’autre. Nous laissons à l’autre ce qui lui appartient, à fortiori si nous le considérons comme une « pollution ». Pas besoin d’en charger notre sac à dos.

Reconnaitre nos peurs et nous protéger

A ce stade, nous sommes supposé(e)s avoir accepté l’opinion de l’autre, et/ou choisi de ne pas nous polluer avec, ce qui demande déjà une grande force intérieure. Maintenant, nous pouvons passer à la deuxième étape: reconnaitre nos peurs. J’ai déjà écrit sur ce sujet. Dans ce contexte chaotique et incertain, empreint d’une dissonance jamais égalée, il est légitime d’avoir peur. Certain(e)s ont peur de mourir, d’autres de la privation définitive de liberté. Nous avons tous peur de quelques chose dans la situation où nous sommes aujourd’hui. Nier cela, c’est s’éloigner de la solution.

Nos guides nous ont prévenu(e)s il y a un moment déjà que l’information est manipulée de tous les cotés. Celles de nos « lanceurs d’alertes » n’y font pas exception. En effet, les médias de masse ne mordent pas la main qui les nourrit et nous distribuent la peur de mourir à volonté. Les lanceurs d’alerte eux distribuent la peur de la privation de liberté dans les mêmes proportions. Au final, que l’on soit d’un coté ou de l’autre, ou si nous naviguons entre les deux, nous sommes abreuvés de peurs, de colères, de frustrations, etc…

Dans ce climat, arrêter de s’informer est probablement la chose la plus radicale, mais aussi la plus saine à faire pour se reconnecter à nous. A nos cœurs et à nos Ames aussi. Ils sont nos boussoles les plus fiables par les temps qui courent, y compris pour décider si nous devons nous vacciner ou pas…A nous de trouver le moyen de les solliciter pour trouver notre chemin. Ils répondent toujours d’une manière ou d’une autre à nos sollicitations. Alors peut-être que le temps d’une petite « détox » de printemps serait venu?

Aimer nos proches inconditionnellement

La différence entre Amour et Attachement est la condition que nous mettons pour le donner ou le vivre. Accueillir l’opinion de nos proches pour ce qu’elle est, leur dire que nous avons entendu leur point de vue et leur peur, même si cela n’évoque rien pour nous, c’est de l’Amour inconditionnel. La « parade ultime » au chaos et à la peur. Un choix difficile à faire, mais certainement le plus libérateur. Ecouter et accepter la peur de nos êtres chers est la meilleure façon de sortir de l’ornière dans la relation, pour transcender le plomb en or, à l’instar des alchimistes!

Certain(e)s diront plus facile à dire qu’à faire! Certes. Dans ce cas, le conseil de nos guides est de transformer le « tu » (qui tue) en « je » (jeux). Lorsque nous faisons face à des reproches de notre entourage, échanger le « tu » par un « je » permet de comprendre que rien de ce qui est dit ne nous concerne réellement. Il s’agit simplement d’un moyen maladroit de l’autre pour se dire. Moyen que nous employons tou(te)s à un moment ou un autre dans nos modes de communications actuels.

En résumé, dans l’adversité se trouve souvent un débat de peurs. A l’heure actuelle, deux courants s’affrontent : la peur de mourir et celle d’être privé de liberté. Dans les deux cas, le besoin sous-jacent est celui de se sentir en sécurité. Bientôt, à la faveur des effets dévastateurs de cette crise, viendra s’ajouter le besoin de satisfaire certains besoins physiologiques de base, comme manger à sa faim…Bref, tant que nous sommes divisés, nous régressons dans la pyramide de Maslow! Les grands gagnants sont les gens malveillants qui nous dirigent et qui ont bien compris qu’il est très utile de « diviser pour mieux régner ». Alors, quand trouverons-nous le courage de revenir aux être sociaux que nous sommes pour retrouver le chemin du bonheur?

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