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Le jeu de la Vie!
C’est sans doute la meilleure parade à toute la morosité ambiante. Vivre sa joie, son amour, bref, tout ce qui brille en nous. Cette vie-là ne nécessite pas de gros moyens mais de le décider avant tout.
Après avoir « secoué le cocotier des idées toutes faites », j’ai décidé de revenir à des choses plus « douces », si je peux dire… Les réactions à mon dernier articles m’ont permis de comprendre que l’approche par les symboles est un vecteur de communication puissant. Cela m’a également permis de comprendre que, pour la plupart, nous sommes mu(e)s par nos croyances au détriment du savoir, des faits, etc…bref de notre propre discernement.
Peut-être est-ce là le résultat de l’infantilisation à laquelle nous sommes soumis(e)s depuis notre plus tendre enfance…? Dommage que nous oublions parfois qu’un symbole peut être regardé de plusieurs manières, sans qu’aucune ne soit plus juste ou fausse que l’autre, puisqu’il y a autant de versions de la vérité que d’êtres humains.
L’univers étant infini, quelle que soit la porte par laquelle nous rentrons, nous accédons assez rapidement à l’immensité de ce qu’elle dissimule. Encore faut-il ouvrir nos sens en grand, pour apprendre, pour nous initier. En d’autres termes, l’énergie n’a pas qu’un seul « bon chemin » pour circuler. Elle n’en a pas deux non plus, car la dualité n’est pas meilleure conseillère, nous le savons bien…Il y en a probablement des millions, des milliards!
Jeu vidéo ou réalité augmentée?
Revenons à la notion de Vie et surtout d’Expérimentation. Ce sujet a déjà été évoqué ici à plusieurs reprises et de plusieurs manières. Mais j’ai le sentiment qu’il est temps d’y revenir, à la lumière de ce que nous expérimentons dernièrement. J’ai récemment croisé un être dont le discours m’a permis de regarder les choses avec une perspective nouvelle. Note bien que je n’ai pas dit « meilleure » ou « plus mauvaise » mais nouvelle! C’est suffisamment rare par les temps qui courent pour être souligné.
Cet être pense que nous sommes dans un immense « Jeu Vidéo » et que nous n’avons aucun libre-arbitre, si ce n’est le choix de certains éléments superficiels et accès à certains outils « débloqués » au cours de nos pérégrinations. Alors jouons! Regardons nos vies au travers de ce prisme et voyons si et comment cette « grille de lecture » peut nous permettre de contacter de nouvelles ressources, de nouvelles joies, de nouvelles pistes d’évolution ou de soulagement…
Le décor est planté et les grandes lignes du scénario déjà écrites!
Dans un jeu vidéo, le décor est généralement conçu à l’avance, qu’il y ait un ou plusieurs tableaux. Suivant cette logique, la matière serait multi-tableaux, donc multi-dimensionnelle et plus nous avançons dans le jeu plus les défis sont subtils et gourmands en créativité et discernement. Les règles évoluent également à chaque marche franchie. Les jeux vidéos capitalisent sur les acquis. Les prises de conscience effectuées permettent alors d’aller expérimenter autre chose dans une autre dimension matérielle avec d’autres règles.
Est-ce que du point de vue du joueur le monde à changé? Oui : le décor est différent et les règles ont évoluées mais à la lumière de ses expérimentations passées, il peut très vite retrouver ses marques s’il souhaite avancer. Si au contraire, il/elle bute sur une notion alors il/elle l’expérimente jusqu’à ce qu’il dépasse ses limites. Certain(e)s passent très rapidement les niveaux, fort(e)s d’une résilience et d’un besoin d’avancer à toute épreuve. D’autres prennent le temps de savourer chaque épreuve et initiation plusieurs fois.
D’ailleurs, les jeux vidéos initiatiques sont pratiquement exempts de la notion de temps. Seul le franchissement des étapes, ainsi que les pouvoirs, récompenses et autres rencontres utiles comptent! Par contre, il y a souvent des « barre de vie ». Les blessures nous atteignent dans notre vitalité, mais nous n’en mourront pas forcément. Si nous perdons toutes nos vies, nous pouvons recommencer autant de fois que nécessaire pour comprendre la leçon et avancer de nouveau : cela ressemble fort aux principes de résilience et de karma qui régissent la Vie. Va savoir si les jeux ont emprunté cette idée à l’Univers ou s’ils sont juste de pâles copies de celui dans lequel nous vivons tous!
Des ressources, des outils, des « pouvoirs » durement acquis!
C’est à cela qu’on mesure le succès dans les jeux vidéos de ce type. Chaque joueur a sa manière d’aborder les épreuves: l’un va foncer tête baissée, l’autre trouvera moult astuces pour éviter les épreuves jusqu’à un certain point (« reculer pour mieux sauter », dit-on), d’autres encore vont se faire un plaisir de se crasher dans un mur juste pour le « fun » (ou entendre le personnage crier), sachant qu’ils auront la possibilité de se relever et de recommencer autrement dès qu’ils le souhaitent.
Nos jeux vidéos « initiatiques », et de plus en plus réalistes grâce aux technologies 3D & 4D, occuperont parfois une grande part de notre temps libre. C’est d’ailleurs drôle de considérer nos jeux de divertissement comme des fractales de la Vie au sens large. Les Sims en sont une belle illustration. Peut-être est-ce dû au fait que dans ces univers-là, nous avons l’impression d’être en contrôle quelle que soit la stratégie choisie!
Dans notre quête du Graal, que l’on pourrait appeler aussi quête de sens, il serait peut-etre intéressant de considérer que nous sommes rassuré(e)s de jouer à un jeu dont nous connaissons les règles et dont nous pouvons choisir le but final. A défaut de connaitre celui de la vraie Vie, n’est-ce pas? Il est vrai qu’un jeu où tout ce qui serait proposé serait de vivre sa vie sans savoir quoi chercher, quel état de grâce atteindre ou quel pouvoir développer…Bref, sans connaitre à l’avance la fin de l’histoire, ou plutot si! La mort. Ce jeu-là ne ferait sans doute pas l’unanimité!
Mieux vaut trouver un jeu, des jeux où toutes nos questions existentielles sont adressées de manière ludique et mystérieuse pour pouvoir choisir et vivre une expérience digne de ce nom, hein?!
Dieu et les Extra-terrestres #nosennemis
Alors dans ces jeux vidéos, il y a toujours des sorciers, des Dieux, des « grands architectes » etc…qui font la pluie et le beau temps. Il y a des guerriers, des héros des temps modernes ou d’ancienne civilisations aussi . Des êtres, des sages qui ont soit déjà tout compris et nous guident, soit ont pris de l’avance en matière de pouvoir. Quant aux Dieux, aux Mages, aux Sorcières, ce sont les empêcheur(se)s de tourner en rond! Ceux/celles qui nous oppriment…Et force est de constater qu’on en marre d’être opprimés!
Parfois même un Mage terrestre ne suffit pas pour motiver suffisamment les troupes. Il faut inventer des forces surhumaines venues d’ailleurs. Car, dans notre inconscient collectif, la force, surtout sans limite ne peut venir de notre Monde. Il faut avoir fait un long voyage dans l’Univers froid et glacé pour gagner le droit de débarquer sur Terre avec des pouvoirs sans limite. Ou être un Dieu dans tous les sens du termes…Mais à condition qu’on puisse le voir et le toucher, sinon çà ne peut pas exister.
Comme nous avons été éduqués depuis l’enfance a craindre les pouvoirs qu’on ne comprends pas, y compris ceux qui viennent de nous-mêmes, un Dieu ou des extra-terrestres, à fortiori quand ils viennent d’ailleurs, c’est forcément suspect! On s’en méfie…De là à les considérer comme de véritables menaces, il n’y a qu’un pas! #nosennemis
Le choix dans la manière!
Heureusement, dans nos jeux vidéos initiatiques, nous avons beaucoup d’autres choix à faire que déterminer qui sera notre ennemi! Nous devons choisir notre tenue, la couleur de nos cheveux, celle de notre peau, nos accessoires, nos armes etc… Et pour aller plus vite (il est vrai que, dans une quête dénuée de temps, c’est de la première importance), nous avons des personnages tous préparés, avec des psychismes et des personnalités toutes faites. En gros, nous choisissons notre Avatar sur la base de critères simples et très accessibles qui sont « a quoi ressemble-t-il ? » et » que peut-il faire pour nous aider dans notre mission? »
Dans la vie du jeu on peut décider de passer a droite ou à gauche, en haut ou en bas en premier. On peut s’arrêter aussi, ou demander conseil à des être sur notre chemin. Certains sont bienveillants, d’autres moins. C’est le fait de continuer à avancer qui nous permet de le découvrir. Car le discernement est complexe dans un environnement complètement virtuel et pré-programmé. Même si parfois il arrive que nous ayons des intuitions assez justes, il faut quand même suivre l’implacable scénario « pré-mâché » pour en avoir la confirmation.
Du coup, pour résumer, ce que le « grand architecte » du Jeu nous a laissé c’est de la marge de manœuvre sur les détails (catalogue d’options préparées), des non-choix quant aux personnages qui nous représentent (des caricatures dont on ne connais pas vraiment la nature ou la philosophie profonde) et le choix de faire le parcours fléché dans le sens que l’on veut (tout dépend du temps que l’on est prêt à y passer). Au final, nous avons l’impression de faire des choix et d’avoir un libre-arbitre, en plus du fait de croire que nous avons le contrôle sur le déroulé de l’histoire.
Comment terminer un jeu sans fin?
Il y a plusieurs façons de terminer ce jeu : mourir, trouver la porte de sortie, c’est-à-dire épuiser tous les scénarios possibles, ou changer de jeu lorsque la nouvelle version est disponible sur le marché par exemple…
Il serait tentant de se dire que la dernière option est inenvisageable puisque je rappelle que nous jouons ensemble au « Jeu de la Vie »…Et pourtant! Rappelons-nous que notre système solaire traverse des cycles d’environ 26000 ans depuis la nuit des temps. A chaque changement de cycle se produisent des cataclysmes, des chaos suffisant pour supprimer une partie de la population suite aux changements climatiques, et redistribuer les cartes d’une manière non négociable. Certains parlent même de l’avènement de la 6ème race d’êtres humains. Cela voudrait-il dire que même l’humanité est soumise à la dure loi de l’obsolescence programmée?
Mourir pourrait être la solution ultime. La seule question est de savoir quand cela est supposé intervenir dans le grand scénario. Ce n’est pas quelque chose que l’on peut anticiper à moins de le provoquer. C’est aussi potentiellement douloureux pour soi comme pour ses proches. Cela va surtout à l’encontre de la première règle fondamentale du Jeu : il est interdit de supprimer la (sa) Vie.
Trouver la porte de sortie de cette Matrice c’est probablement la solution la plus tentante. Cela implique d’expérimenter le jeu jusqu’au bout en conscience et dans l’acceptation de ce qui est. Pourquoi? Parce qu’une part importante de nous a donné son accord pour intégrer cet Univers. Parce que cette partie de nous a passé « un deal » avec le « grand architecte » pour expérimenter des choses bien précises et trouver un moyen de se mettre au service de la communauté en fonction de ses aspirations et de ses compétences…
La morale de cette histoire…
Au bout du compte, que nous raconte cette parabole? Il me semble qu’il y a une leçon évidente qui est l’importance de l’Expérimentation. La particularité de celle-ci c’est que son résultat est inconnu. Vu l’engouement pour nos jeux vidéos, il semble que cet inconnu n’est pas un problème. La deuxième chose importante est la manière dont nous choisissons de traverser cette aventure. Allons-nous le faire en tant que héros ou victime? La troisième chose est le collectif c’est-à-dire la capacité de chacun à faire sa part pour traverser l’aventure. De la force du collectif résulte une expérience plus riche et qualitative, qui peut mettre en lumière des failles dans le jeu.
Failles qui peuvent interpeller le « grand architecte » afin qu’il fasse évoluer les règles, change le décor, donne des bonus etc…à ceux qui ont « joué le jeu ». Tu l’auras compris cette comparaison est sans fin! A toi de voir quel joueur(se) tu veux être, quel rôle tu acceptes d’endosser et de quelle manière tu choisis de vivre cette aventure. En d’autres termes, c’est notre capacité à « jouer le jeu », tout en suivant les règles, mais également en respectant qui nous sommes, qui contribue à améliorer l’expérience globale et pourquoi pas de « challenger » le « grand architecte » et ainsi lui permettre de découvrir un peu plus qui il est dans son propre rôle!
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Voyager léger!
En période de vacances, le sac à dos est plus que jamais d’actualité. Alors, il est temps de choisir avec précaution ce que nous mettons dedans, afin de prendre un peu de recul…
Nous voilà de nouveau dans l’obligation de porter des masques. Que l’on soit coopérant avec cette directive ou pas, je suis à peu près certaine qu’un malaise existe en chacun(e) de nous à ce propos. Peut-être celui que nous essayions tous et toutes, tant bien que mal, d’oublier après nos 2 mois de confinement. Cela réactive des peurs que l’on soit pour ou contre. Si tu es en train de penser que tu n’as pas peur, cela s’appelle du « déni », ce qui n’est pas forcément mieux. Et tu sais quoi? L’ironie du sort c’est que ta peur et celle de ton voisin c’est la même au final…
AVERTISSEMENT: Cet article évoque une phase trouble de notre histoire d’humanité. Tu pourrais éventuellement t’en trouver bousculé(e). Et si c’est le cas, je te présente mes excuses par avance. Mon objectif est de trouver des points de comparaison qui parlent à tous et toutes pour faire comprendre mon propos. Les faits qui se sont déroulé lors de la Seconde Guerre Mondiale, tels que relatés dans nos livres d’histoire, rentrent dans ces critères. Il y a également dans cet article des choses présentées de manière caricaturale pour simplifier l’accès aux arguments que je souhaite souligner. Mon intention est purement rhétorique et ne remet absolument pas en cause la gravité de ce qui a eu lieu lors de ce conflit mondial. Tu l’auras compris, je pense : Âme sensible, s’abstenir!
Nouveau chapitre dans la saga Covid 19…
Après avoir porté le chaos à l’intérieur de nous avec ce virus, puis à l’extérieur avec les émeutes de ces dernières semaines. Après avoir exacerbé le clivage blancs contre noirs, à grand renfort d’accusations de racisme, nous voilà montés les uns contre les autres à propos de ce qui restera probablement comme un symbole majeur de cette période trouble dans nos futurs livres d’histoire : le port du masque.
La deuxième guerre mondiale a eu le symbole des étoiles jaunes…2020 aura ses masques. Je suis encore très inquiète quant aux découvertes que nous ferons une fois la crise terminée et le temps des « bilans objectifs » arrivé. Espérons que nous ne découvrirons pas à posteriori de « génocide », comme ce fut le cas lors de la dernière grande guerre. Nos dirigeants ont choisi des termes très forts dès le début de cette crise sanitaire mondiale.
Donc, nous sommes en « guerre ». Le chaos des derniers mois en est la preuve. C’est comme si on nous avait annoncé la fin de l’histoire avant même qu’elle commence. Étrange, non? Personnellement, je ne peux m’empêcher de penser que parmi les virus, qui prospèrent sur notre jolie Terre depuis la nuit des temps, ce Covid 19 est probablement le plus docile et coopératif qu’il nous ait été donné de rencontrer. Il semble s’activer et se désactiver au doigt et à l’œil de nos gouvernants. C’est extra-ordinaire!
Alors, aujourd’hui je voudrais revenir sur 2 choses pour nous aider à « voyager léger » : comment libérer nos peurs? Et comment éviter de prendre les contradictions personnellement ? Car d’après ce que j’ai pu voir, malheureusement, nous sommes tou(te)s concerné(e)s!
La peur de mourir
C’est bien ce qui nous rassemble tous en ce moment. Nous nous traitons de noms d’oiseaux. Nous allons même parfois jusqu’à remettre en cause des amitiés de longue date pour une peur qui n’est ni nouvelle, ni l’apanage de privilégiés, à savoir la peur de mourir! Les uns ont peur de mourir d’un virus. Les autres des conséquences de leur privation de liberté(s).
Reprenons l’exemple de la deuxième guerre mondiale. A l’époque, selon nos livres d’histoire, les êtres qui ont coopéré de leur plein gré sont devenus des « esclaves » via le STO (Service du Travail Obligatoire). Les rebelles, quant à eux, y ont au minimum laissé des plumes, voire même leurs vies. Agir et préserver chaque morceau de liberté, nécessite du courage et de la ténacité face au jugement d’autrui et au risque de délation. Nous pouvons faire les gros yeux, il n’empêche que nous avons assisté à de belles réminiscences de cela lors du confinement!
Changeons les mots maintenant! Suivons le narratif imposé par nos dirigeants. Je choisis en plus la caricature, qui a le mérite de faciliter la compréhension.
Et si nous appelions les réseaux mondialistes, des « Nazis » (en référence à l’horreur des expériences de masse menées par ces gens) , la population mondiale, des esclaves (avérés ou en puissance), les victimes du virus et/ou des violences de ces dernières semaines, des déportés et les lanceurs d’alerte (quand ils sont guidés par leur cœur et non leur égo) des têtes pensantes de la résistance? Et si, enfin, nous appelions tous ceux qui refusent de voir leur liberté ruinée par des directives dénuées de sens, ou par le regard, le jugement de l’autre, des résistants de la première heure?
Tu trouves le comparatif un peu fort? Certes…Il a surtout le mérite d’évoquer un épisode de notre histoire dont tu connais la fin. Dans un conflit, quel qu’il soit, il n’y a pas tant de protagonistes que cela au final…Ne l’oublions pas.
L’enjeu réside dans notre discernement
Crois-tu réellement que la situation actuelle présente quelque chose de nouveau? Que nenni! Diviser pour mieux régner. Faire en sorte que tout le monde regarde ailleurs pendant que la vraie motivation du conflit est menée à bien. C’est çà le plan. Il n’ a pas changé. Il a simplement été peaufiné à la lumière de toutes les tentatives de chaos planétaire lancées ces dernières décennies (ex: chocs pétroliers, crises financières de 2008, grippe H1N1 de 2009 etc…)
Je rappelle qu’entre 1939 et 1945 les gens qui suivaient scrupuleusement les directives des dirigeants, par peur des représailles ou de la dénonciation, pensaient sincèrement être dans le vrai et faire leur devoir… En temps normal, c’est bien évidemment la bonne attitude à adopter. Mais nous ne sommes plus en temps normal depuis le 17 mars 2020. Nos dirigeants nous l’ont bien expliqué. Maintenant, nous sommes en guerre!
Alors, comme nos ancêtres, nous sommes à un carrefour. Il est urgent pour chacun de se positionner en son Âme et conscience. C’est l’acte le plus militant que tout un chacun pourrait poser. Car au beau milieu de ces campagnes actives et de plus en plus agressives de propagandes, il n’a jamais été aussi dur de se faire sereinement sa propre opinion.
Pour ce faire, il faut au préalable une analyse personnelle de la situation, mais à la lumière de notre conscience, pas de notre peur!
Comment se libérer de sa peur?
La peur est comme un enfant qui aurait une chose importante à dire à ses parents et les harcèle jusqu’à ce qu’ils écoutent. Tous les parents parmi nous se retrouveront peut-être dans une légère impression de déjà vu…
Disons que notre peur est ce petit enfant. C’est une part de nous qui a besoin d’être vue, considérée et entendue. Et comme avec les enfants, une fois la chose déposée, il devient possible de reprendre normalement le cours de nos vies. Evidemment, il se peut que l’histoire ou le discours interne à poser soit pénible à entendre. Mais c’est la seule façon de traverser cet état d’être pour retrouver tout son potentiel et être de nouveau en mesure de prendre des décisions en homme/femme libre.
Une décision est à prendre aujourd’hui pour nous tous! Que nous soyons pour ou contre le port du masque. Accepter de regarder, considérer et accueillir notre peur est la clé. L’autre est de comprendre qu’autrui réagit, différemment certes, parce qu’il/elle est dans le même état de confusion et de solitude. En effet, celui/celle qui fait cela est tout simplement en lutte contre lui/elle même face à ce stress immense qu’est la peur de la mort. Pire, il/elle peut être en déni de cette peur et croire que l’agression vient bel et bien de l’extérieur, quand, au final, le conflit est interne avant tout.
Quoiqu’il arrive ne prenez rien personnellement !
Essayons de faire cet exercice et de dépasser nos peurs pour enfin pouvoir déplacer le conflit là où il est vraiment. Et de le faire ensemble! Car divisés nous sommes faibles, mais ensemble nous sommes invincibles!
Don Miguel Ruiz est un sage. Son livre les « Quatre Accords Toltèques » mérite son statut de best seller. Voyager léger, y compris en temps de crise, implique de ne pas se charger de ce qui ne nous concerne pas. C’est le challenge d’après.
Une fois notre sac à dos allégé de sa peur, l’objectif est de ne pas à nouveau le surcharger. Je parle ici de nos propres jugements à l’égard de ce que nous vivons. En clair, si nous sommes dans la colère, dans la peur ou n’importe quelle autre émotion que NOUS JUGEONS négative alors nous nous emparons de cette peur, de cette colère etc… Et nous en faisons immédiatement un gros caillou, que nous ajoutons à notre sac à dos. Ainsi (re)chargé, il nous empêche d’avancer, d’être nous-mêmes, d’être libres! La boucle est bouclée.
Retrouver la foi en l’humanité, en la vie!
Personne ne peut nous mettre en cage aussi sûrement et durablement que nous-mêmes! Alors ma suggestion pour cette semaine, serait de passer ce temps de pause, ces vacances, à jouir de la vie! Et pourquoi pas à nous instrospecter pour identifier cette/ces peurs qui nous accablent. Cela donnera un second souffle à toutes les parts de nous qui sont dans la lumière et qui « galèrent » à maintenir la barque à flot en ces temps troublés.
Les réponses sont en nous! Chacune de nos âmes est venue ici pour une raison bien précise et le temps arrive où chacun(e) va enfin trouver sa vérité profonde et, avec elle, sa véritable place. Il ne peut en être autrement. Chaque centimètre carré de nous-mêmes que nous pouvons libérer de l’ombre et emplir de lumière est autant de grâce à laquelle l’Univers abonde, parfois au centuple.
Nous ne sommes pas seuls dans cette bataille fondamentale de notre histoire d’Humanité. Mais chacun(e) doit faire sa part pour avancer vers le monde de ses rêves…C’est à cette intersection que nous sommes en ce moment. Alors, quel est ton rêve pour demain? Et qu’es-tu prêt(e) à faire pour lui donner vie?
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5D>Et si on jeûnait? Episode Final
Je reprends mon alimentation aujourd’hui après 22 jours de jeûne et de très belles aventures vécues et partagées. C’est l’heure du bilan et de penser à l’après…
Le jeûne est indéniablement une aventure initiatique! Cela ne peut pas être une lubie dans l’optique de perdre durablement du poids , ou autre truc pour « faire joli ». Une semaine à la rigueur, mais pas trois. Le jeûne long est un deuil, une mue, une transformation. Il doit être souhaité ardemment et assumé. Il n’y a pas de retour en arrière en matière d’initiation. Au pire, nous restons là où nous étions, dans la chaleur et le confort du connu et reconnu.
Mais si nous décidons d’avancer alors le processus se fait. Si nous ne mettons pas de veto sur nos envies profondes, aussi confrontantes soient-elles, notre Corps et notre Etre font le job. Ils nous accompagnent du mieux qu’ils le peuvent. Preuve que notre force ne réside pas uniquement dans la quantité de nourriture ingérée trois fois par jour. Notre puissance réside bien au-delà de notre « physicalité ». C’est lorsque nous coupons les vivres de la matière que nous accédons à notre véritable réservoir d’énergie. Et celle-ci elle est quasi-illimitée.
J’ai donc passé plus de 3 semaines à ingérer uniquement eau, lait de coco (au début seulement, pour terminer l’épuration des intestins), kéfir et jus de fruits légers pour vivre cette expérience en douceur. Après 8kgs perdus, un pacte de vie antérieure libéré et l’acceptation – en cours – de ma féminité ressuscitée, je peux dire que je suis une nouvelle femme aujourd’hui. Il m’est dorénavant impossible de reprendre exactement là où j’en étais. Par quel miracle? Je n’en sais carrément rien! Mais j’ai fait ma part et l’Univers qui se trouve en moi a fait le reste…tout en douceur.
Décider l’après…
Je suis maintenant dans la phase où je vais aménager ma nouvelle vie, à la lumière de mes nouveaux ressentis et des voiles qui se sont levés sur mes opportunités. C’est fou à quel point tout se révèle à nous quand nous arrêtons de mâcher toujours le même chewing-gum insipide!
Comme pour ma dernière expérience, j’ai décide de reprendre un rythme alimentaire en jeûne intermittent. Pour moi, la réduction de la quantité de nourriture a été très bénéfique car j’ai un métabolisme très lent et plus de nourriture créé très rapidement une surcharge qui me fait du mal. J’ai donc choisi de faire un petit-déjeuner léger (c’est mon repas préféré de la journée depuis longtemps) et un déjeuner copieux vers 14h/15h. Je précise que mon rythme de vie me le permet. Evidemment, c’est à chacun(e) d’adapter intelligemment selon ses propres goûts et contraintes.
Comme le jeûne, le jeûne intermittent doit également être choisi et assumé pour être vécu en douceur. Tu trouveras ci-dessous une vidéo explicative de ses principes.
Trouver un nouvel équilibre alimentaire
Le « post jeûne » est aussi un très bon moment pour se demander si nous gardons tous les aliments habituels, ou si nous adaptons nos usages au plus près de nos envies. Par exemple, ai-je toujours envie de manger de la viande, des œufs ou du fromage tous les jours? Là aussi ce sont des choix à faire en conscience et non par culpabilité. Je sais bien que certain(e)s nous mettent la pression pour arrêter ceci ou cela.
Evidemment, nous sommes arrivés à de tels niveaux de dérives alimentaires qu’il est tentant de prendre des mesures drastiques. Mais cela ne sert à rien si c’est fait à contre-cœur. Il me semble que le meilleur choix est celui de l’équilibre. Les suédois ont un mot pour cela : « Lagom » soit ni trop, ni trop peu. J’aime ce mot car il n’est pas duel, il recherche l’équilibre et l’harmonie selon la définition et les moyens de chacun. Je le trouve extrêmement démocratique en fait!
Donc le « flexitarisme » est peut-être une approche à essayer pour celles/ceux qui souhaitent être plus à l’écoute de leurs véritables besoins sans pour autant renier leur vie sociale. Car il faut bien l’admettre, il est encore très compliqué de trouver des plats végan dans les restaurants…même si cela s’améliore avec le temps.
Et au niveau mental, émotionnel et spirituel ?
Ce jeûne m’a permis de comprendre, et d’ancrer profondément dans mes cellules, ce que mon corps avait décidé de lâcher avant que je me lance dans cette aventure. Cela tourne principalement autour de 3 piliers :
- « J’ai envie/j’ai pas envie » : C’est l’outil de tri par excellence! Et contrairement à ce que notre « chère société » veut nous faire croire, nous avons toujours le choix. Il y en a certes des plus faciles que d’autres. Mais il y a toujours moyens d’atténuer sa peine ou d’éviter les obstacles quand nous suivons nos véritables envies.
- « Je voyage léger »: Cela consiste à ne pas prendre ce qui ne m’appartient pas, comme la mauvaise humeur ou les problèmes des autres, par exemple. Dans mon cas, cela consiste à choisir en conscience quand j’aide et quand ne pas le faire. C’est aussi une façon de respecter le « libre-arbitre de tout le monde.
- « Je vis de la joie » : En tant que femme, sœur, future thérapeute, amie, amante etc…si je ne prends pas soin de ma propre joie, personne ne peut le faire à me place! Je ne suis pas en train de parler des plaisir de la matière (même si certains peuvent procurer une joie passagère), mais de toutes ces choses – petites ou grandes – qui nous nourrissent entièrement et durablement (pour moi c’est tout ce qui a trait au ressentis de partage, d’équilibre et d’harmonie, par exemple)
Voilà c’est fini
Alors voilà. Cette aventure se termine. La porte est grande ouverte pour de nouvelles à venir. Et je suis vraiment fière et en joie d’avoir passé cette initiation avec succès. Soit dit en passant, j’ai illustré cet article avec mon premier repas « post-jeûne » et je t’assure qu’un des autres bénéfices du jeûne est de retrouver le vrai goût des aliments!
Bien entendu je n’ai pas écrit ces articles pour te convaincre de quoique ce soit mais pour témoigner de ma propre expérience. Si tu as suivi cette série et que tu t’interroges sur cette démarche, je suis toute prête à répondre à tes questions. Sinon, j’espère que tu auras tout de même profité des références externes que j’ai ajoutées à mes articles car elles constituent déjà en elles-mêmes des sources d’inspirations formidables.
Antonio Machado
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5D>Et si on jeûnait? Episode #4
A l’image d’un ballon dirigeable, plus le corps s’allège et plus la conscience s’éveille. Cette – dernière – semaine de jeûne est celle où j’accède enfin à ma plus grande conscience.
Comme c’est la première fois que je fais un jeûne aussi long, je découvre de nouvelles dimensions à cette initiation chaque jour. Aujourd’hui, j’ai acquis la conviction que jeûner est une façon simple et peu coûteuse de se relier à ses plus hauts plans subtils.
Je prends conscience en écrivant ces lignes de l’incroyable similitude avec la pratique des « quêtes de visions » chez les Amérindiens. Le principe de cette initiation est de partir dans la nature pendant quelques jours (le nombre reste à la discrétion de celui/celle qui la pratique) pour trouver la prochaine étape de son chemin. L’idée est d’identifier de quelle façon cet Etre souhaite vivre sa vérité profonde tout en étant utile à la communauté.
Je pense qu’en cherchant bien, il doit probablement exister des initiations similaires chez tous les peuples de la Terre. Je te laisse voir ce que la vie mettra sur ton chemin, si cette quête te parle. Bref, j’ai choisi de faire cette initiation chez moi, en restant connectée à mon quotidien, bien que dans un rythme très ralenti. Ça fonctionne pareil. Chaque moment de vraie introspection dévoile une prise de conscience importante.
Contacter son histoire d’incarnation
Pour moi, la prise de conscience majeure de la semaine qui vient de s’écouler, a été la libération d’un pacte (fait avec moi-même il y a fort longtemps) qui m’handicapait dans ma vie privée notamment, mais pas que…Cela s’est fait en douceur et très rapidement.
Je voudrais m’attarder un peu sur le thème de la « libération ». Il me semble que nous avons tendance à considérer ce moment très fort comme une issue favorable à un processus long et laborieux. Il y a aussi une connotation de combat dans ce mot, en référence à la libération connue après la deuxième guerre mondiale, par exemple.
Cessation d’une contrainte matérielle ou psychologique, qui fait éprouver un sentiment de liberté
Définition du LaroussePeut-être également, que certain(e)s d’entre nous pensent que cela doit être douloureux pour que cela soit efficace. De mon point de vue, il n’en est rien! Une libération n’est rien de plus qu’une prise de conscience. C’est-à-dire une information enfouie dans la mémoire cellulaire qui est soudain autorisée à accéder à notre partie consciente. Et comme par hasard ces libérations (ces autorisations donc) ne sont données par notre Etre et notre Corps qu’au moment où nous pouvons les recevoir, les accueillir….en douceur.
Une preuve encore que la démarche dans laquelle se mettre en jeûne, ainsi que les intentions profondes qui nous motivent à la faire, ne sont pas prises à la légère par notre Etre et notre Corps. Une preuve encore que tout notre Corps, même affamé, sait nous soutenir dans nos projets à chaque instant!
Plus le Corps se vide, plus la conscience se place dans les plans subtils
Cette libération fut pour moi l’occasion de recevoir un enseignement : les informations concernant nos vies antérieures se trouvent dans notre corps astral. En d’autres termes, ce jeûne m’a permis de contacter très directement un certain nombre d’informations, d’intuitions de mes exsitences passées, de manière à ce que j’en prenne conscience.
Et une fois la conscience activée, la problématique se libère. Cela prend quelque secondes. C’est comme une entrave qui se relâche dans le corps et dans l’énergie. Jeûner donne accès à cela pour qui sait l’accueillir. L’enseignement c’est que dans le corps astral se trouvent toutes les émotions , passées, présentes et futures. Evidemment, dans ce plan le temps n’existe pas. Ce plan contient également les intuitions de tout ce qui va se produire selon les probabilités du moment.
De plus en plus d’entre nous ont accès sporadiquement à ce « plan », cette couche de notre Etre. C’est pourquoi un nombre croissant d’entre nous voit ses intuitions se développer. Si c’est ton cas, peut-être que mon témoignage pourra t’aider à t’introspecter (la lune qui vient de passer était apparemment propice à cela) et à trouver tes propres moyens de contacter ta vérité intérieure…ainsi que tes blessures, pour les guérir.
Préparer l’après-jeûne
Une fois le jeûne proprement-dit terminé, il faut entamer une remontée alimentaire. Elle doit être aussi lente que la descente pour ne pas brusquer le corps. Sinon ce serait un peu comme dégringoler d’un avion sans parachute! L’atterrissage serait douloureux!
Les derniers jours du jeûne peuvent servir à décider de quelle manière il sera juste de retourner à une alimentation « normale », de définir une nouvelle notion de « normalité » variant d’une personne à l’autre. Je sais bien que notre « dressage » et/ou notre « gourmandise » nous mène à faire nos sacro-saints « 3 repas/ 5 fruits et légumes par jour ». Mais à quoi sert de se priver pour affronter ses démons si c’est pour ensuite se remettre dans la « droite ligne du parti » si elle ne nous convient pas?
Evidemment, si 3 repas par jour te rend heureux(se) et que c’est juste pour toi, alors c’est là qu’il vaut mieux aller.
Sinon, mes questions sont les suivantes : sens-tu cette force, cette nouvelle capacité que tu as de vivre ton quotidien sans (ou moins) « manger tes émotions » ? Si oui, comment pourrais-tu imaginer ta façon de te nourrir pour coller au mieux à tes réels besoins/envies? Pourrais-tu, par exemple, supprimer le grignotage? Pourrais-tu adapter le nombre de repas dans ta journée pour garder uniquement ceux qui font sens pour toi, pour ton corps?
Je te laisse méditer là-dessus et te dit à très bientôt pour le dernier épisode de cette série.
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5D>Si on jeûnait? Episode #3
Le cap de la première semaine est passé. Le corps s’allège et se calme. Le temps est à l’introspection.
Plusieurs événements majeurs ont lieu cette semaine dans le Monde. Le premier étant la conjonction Pluton/Jupiter. La résonance de la Terre a atteint des sommets ces dernières semaines et les émotions ont été mises à rude épreuves! La chaleur émanant de notre soleil y a grandement contribué.
Ce fut un plaisir de participer à cette grande méditation, qui pour une fois était planifiée à une heure raisonnable, même pour un jour de semaine. Les premiers retours semblent positifs. Croisons les doigts pour que son effet nous débarrasse des oiseaux de malheurs et autres morosités ambiantes qui nous pourrissent la vie depuis bien trop longtemps.
Si j’en juge par le résultat des élections municipales, même la part d’humanité qui ne pratique pas forcément de méditation avait décidé de s’occuper du sujet. Espérons que nos nouveaux maires écolos porterons dignement leurs convictions. Et que nous aurons bientôt de jolies villes propres et responsables où il fait bon vivre!
Impossible de négocier avec le corps
Je m’étais mise en tête de passer en mode introspection durant mon jeûne. J’avais prévu qu’à un moment je ferai cela. Je ne savais pas quand exactement mais je n’avais aucun doute sur l’arrivée de cette étape majeure. Je souris en écrivant ces lignes parce que fidèle à mon « dressage » depuis l’enfance, j’avais semble-t-il échafaudé un plan de jeûne. Comme j’aurais fait un plan de travaux.
C’était sans compter sur mon corps. Pour lui avant l’heure, c’est pas l’heure et après l’heure c’est plus l’heure! Je me rend compte maintenant que je n’avais pas besoin de planifier les choses. Mon corps sait. Et ce moment d’introspection il a commencé il y a 3 jours. Soit au 8ème jour. Ceci dit, j’imagine que ce moment doit être différent selon les métabolismes.
Une fois le décrassage global du corps réalisé, il se met au repos. Il s’introspecte tout seul. Il y a comme un repli sur soi, en douceur. Presque imperceptible. Ce qui m’a mis la puce à l’oreille c’est l’absence d’envie d’interagir avec les autres. En tout cas, l’incapacité à m’investir dans des conversations que je sais être énergivore.
Mon corps gère mes priorités maintenant. Il ne fournit plus d’énergie à ce qui n’a pas de sens ici et maintenant pour moi. Cela ne veut pas dire que ce qui se présente n’en a aucun, non. Il n’en a juste pas pour le moment. Donc rideau! Nous passons gentiment notre chemin. Nous reviendrons plus tard…ou pas. C’est aussi une opportunité unique de voir tout ce que nous prenons sur notre dos quotidiennement et dont nous n’avons pas besoin.
Profiter de ce temps pour se débarrasser de sa « vieille peau »
C’était mon objectif initial : me débarrasser de ma vieille peau, de toutes vieilles habitudes qui allaient avec, les automatisme aussi. Les choses qu’on fait par réflexe depuis toujours et qui ne sont pas toujours bienveillantes pour nous-mêmes. Dans mon cas, c’est l’aide aux autres. Cela fait partie de ma mission de vie. Du coup, jusqu’à présent j’ai pensé que je me devais d’aider à chaque fois que le besoin s’en faisait sentir.
Aider les autres c’est bien. A condition de s’être aidée soi-même suffisamment avant, mais aussi d’en avoir la demande. Ces leçons-là je les avais déjà apprises. Celle que j’apprends aujourd’hui c’est à choisir quand j’aide et quand ne pas le faire. Et pas en fonction de la grille de lecture de l’autre mais de la mienne. En d’autre termes, le nouveau paramètre c’est de sentir le flux de l’énergie, la résonance avec la personne ou le contexte, et d’estimer si c’est juste d’aider, de coopérer etc…Mais aussi dans quelle mesure c’est juste, et quand arrêter.
Cette façon d’aborder les choses permet de ne pas s’enfermer en permanence dans des habitudes contre-productives et limitantes! Elle permet de garder une certaine flexibilité face à la vie. La nouvelle peau est encore tendre. Elle ne peut pas se permettre autant de rudesse que l’ancienne. C’est tout l’objet de la transformation!
Du Jeûne au Je ne…
C’est bien de cela qu’il s’agit. S’alléger de tout le superflu, tant au niveau alimentaire, qu’émotionnel et relationnel. C’est une vraie pause. Et même si passé la première semaine, le corps est plus serein et léger, c’est là que le vrai travail commence! La principale question étant qu’est-ce que « Je ne » veux plus?
La suivante c’est « qu’est-ce que Je veux mettre à la place? » De plus doux, de plus juste, de plus léger, libre, lumineux, aimant etc…pour moi-même. Prendre conscience que je tiens debout face à moi-même – ce qui brille et ce qui brille moins – sans béquille est déjà un énorme pas en avant! Vivre cela à un moment ou tout le système solaire appuie toutes les démarches visant à se détacher de ce qui n’a plus de sens, est de très bonne augure!
Nous sommes des Êtres de Lumière. Et le jeûne permet de recontacter cet aspect de nous-mêmes. A l’intérieur via des programmes innés de nettoyage des déchets et autres incohérences. A l »extérieur via l’émonctoire « peau » qui rajeunit littéralement d’une bonne dizaine d’année tant nous sommes pollué(e)s par toutes sortes de substances toxiques.
Qui mange à se rendre malade,
Proverbe espagnol
Aura à jeûner pour se guérir.Et toi? Que souhaiterais-tu laisser définitivement sur le bord du chemin ? De quelle substance(s) pourrais-tu te débarrasser définitivement?
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5D> Si on jeûnait? Episode #2
L’arrêt des aliments solides est une formidable occasion de voir que nous avons déjà tout en nous pour traverser la vie sans nos béquilles habituelles!
A présent j’ingère uniquement des liquides, non excitants et non alcoolisés bien évidemment, comme du kéfir, du lait de coco, de la tisane faite maison etc…Les liquides ne stoppent pas les processus de nettoyage du corps et ils sont primordiaux pour le maintien de l’homéostasie. Mon esprit est vif et mon corps au ralenti, mais étrangement, j’ai moins besoin de sommeil pour être opérationnelle.
Cette semaine j’accueille les émotions sans le support de la nourriture…C’est un des challenges les plus compliqués pendant cette période. Se tenir debout face à sa part d’ombre…tout simplement. Dans ces moments, notre volonté est la plus sollicitée, d’où la nécessité de faire cela par choix et en douceur. Sinon cela n’est pas tenable sur la durée.
C’est aussi l’occasion d’accueillir les énergies de l’été, celles de la Terre et/ou de l’Univers et de les vivre au centuple! Voici un aperçu de ce qui peut nous traverser à ce stade…
Nous sommes nos propres bourreaux
Je m’aperçois des pièges que je me tends à moi-même dans mon relationnel avec les autres. Ces situations où au lieu d’être fidèle à nous-mêmes, nous remettons notre souveraineté à la politesse, ou aux convenances. Ce sont ces situations qui nous mettent bien souvent dans l’émotion. Pourquoi? Parce qu’elles ne sont pas vécues en nous comme justes. Et ensuite, nous avons tendance à la reprocher aux autres. Mais ces pièges, c’est bel et bien nous-mêmes qui nous les sommes tendus.
Prendre conscience de cela aide à prendre la décision de devenir notre meilleur(e) ami(e). D’être doux(ce) avec nous-mêmes pour pouvoir vivre de la douceur dans notre relation aux autres et au Monde. Qu’adviendrait-il si nous nous autorisions cela dès maintenant – jeûne ou pas – dans notre quotidien? Que se passerait-il si nous laissions nos envies et nos opinions profondes seuls juges de notre comportement? Comment vivrions-nous l’actualité – pour le moins intense – du moment, si nous étions connecté(e)s à nos propres vérités profondes?
Pour moi, les réponses ont été simples à trouver en théorie, mais nous savons tous qu’en théorie tout se passe bien! Dans la pratique, j’ai décidé de développer l’attention à mes envies profondes et à mes habitudes sociales. Tous ces moments où je dis, je fais des choses pour qu’on m’aime alors que je n’en ai pas envie, au fond. Toutes ces choses que je reproche ensuite aux autres, alors que c’est moi qui est décidé, ou pas, mais peu importe – qui ne dit mot, consent – de m’y conformer.
Je parle ici de reprendre notre liberté d’être qui est indissociable de notre responsabilité à être qui l’on est. Et cela nous n’y sommes pas habitué(e)s puisque nous vivons dans un Monde aux opinions pré-mâchées où nous sommes continuellement infantilisés!
L’Univers nous invite à booster notre conscience
Hier c’était le solstice d’été. Le jour le plus long. Les énergies étaient à leur paroxysme. L’univers frappe de plus en plus fort à nos portes. Impossible à présent de l’ignorer. Le premier a en prendre conscience est bien notre corps.
Si tu as des vertiges, des nausées, des frissons, mal aux dents etc…en ce moment cela pourrait être des signes que ces nouvelles énergies te touchent. Nous traversons des moments uniques à plus d’un titre en ce moment : le passage de notre Terre en 5D ainsi que, pour certain(e)s d’entre nous, la reliance à notre être solaire.
Le passage en 5D est largement documenté sur les réseaux ou youtube donc je te laisse faire tes propres recherches. En revanche, la « reliance » à l’être solaire est plus inédite. Il s’agit d’une montée en vibration suffisante pour contacter la « version la plus réalisée de nous-mêmes ». En d’autres termes pour recontacter l’incarnation la plus aboutie et lumineuse de notre histoire. C’est comme si nous nous mettions de nouveau au diapason de notre meilleure part de nous-mêmes.
Vivre cela requiert un accompagnement des guides. Et cela se fera pour tout le monde, à son ryhtme. Le ressenti physique associé est très furtif et doux. Pour moi cela a consisté en une petite caresse qui a en quelques sortes « dégouliné » rapidement depuis le haut/arrière de mon crâne jusqu’au bas de ma colonne vertébrale. Vivre ce moment requiert une grande conscience de soi-même et une grande connexion à son corps. Peut-être l’as tu déjà traversé sans t’en rendre compte?
Si c’est le cas et que tu souhaites partager tes ressentis ou poser des questions à ton guide, tu peux, si tu le souhaites, m’envoyer un message.
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5D> Si on jeûnait? Episode #1
Le passage en 5D c’est maintenant. Nous allons tous y passer, chacun(e) à son rythme. Outre les manifestations physiques, ce mouvement nous place devant ce qu’il reste de nos habitudes devenues contre-productives. La boite de Pandore est ouverte en grand, les sujets émergent tel un essaim : des dossiers datant de Mathusalem, de vieilles dissonances familières, etc…Et pourtant, ils ont tous des thématiques communes, des fondations mises en place durant l’enfance, sur lesquelles tout l’édifice semble reposer.
Cette montée de conscience nous met plus que jamais face à nos incohérences. C’était déjà le cas depuis quelques temps. Mais là… »C’est l’pompon les ami(e)s! » Alors j’ai décidé de faire un jeûne. Pour nettoyer mon corps de l’ancien et accueillir le nouveau, mais aussi pour regarder toutes ces incohérences en face et leur donner congé définitivement.
Descendre dans le terrier d’Alice
Aussi contradictoire que cela puisse paraître, au lieu de prendre ma grosse masse pour casser – en vain – ces fardeaux avec violence, j’ai préféré me mettre à nu et laisser les choses me traverser. En guise de produit nettoyants, j’ai choisi Etre, Acceptation et Pardon. Il parait qu’ils ont fait leur preuves! Et aussi que ce sont nos actes, et non nos discours, qui changent le Monde…ou encore, que si je veux changer le Monde, je dois commencer par moi-même.
Du coup, j’ai décidé de partager avec toi les étapes de cette aventure, tant du point de vue de la méthode, que des ressentis et des prises de conscience. Si je me fies à mon expérience de l’année passée, et aux 2 mois de confinement que l’on vient de traverser, c’est fou tout ce qui peut se passer en si peu de temps! Bienvenue dans ma chrysalide! Nous allons vivre ensemble et de l’intérieur ce processus de transformation.
Attention!
Un jeûne ne s’improvise pas, et encore moins seul(e). Il y a également des contre-indications : les personnes ayant des problèmes cardiaques ou du diabète ne peuvent se lancer dans cette aventure. Et d’une manière générale, il me semble obligatoire d’être accompagné(e) et surveillé(e) par un spécialiste compétent, naturopathe ou médecin (si vous en trouvez un qui est OK avec ce type de démarche). Bref, quelqu’un dont c’est le métier.
En gros, il y a 3 phases dans un jeûne : la descente alimentaire, le jeûne et la remontée alimentaire. Il arrive même que cette expérience donne envie de modifier durablement son alimentation ensuite, ou de passer sur un rythme de jeûne intermittent. Ce n’est donc pas à prendre à la légère! Surtout, s’il y a une famille autour. Il est primordial que la démarche soit acceptée et soutenue par tous. Et il peut y avoir un certain nombre d’objections à gérer avant de se lancer.
Pendant la phase de jeûne, donc du décrassage corporel, il y a également des étapes incontournables. Elles peuvent être vécues de manières très différentes selon les personnalités et les organismes. C’est pour cela qu’il me semble primordial d’associer cette démarche avec un objectif personnel (autre que la perte de poids…car les kilos perdus sont assez vite repris, sauf si changement définitif d’hygiène de vie), voire spirituel. Le besoin de se nettoyer doit venir d’une envie profonde. Sinon, les risques d’échecs sont élévés.
C’est pourquoi, si cette aventure t’inspire et que tu souhaites tenter l’ expérience, je te remercie par avance de le faire dans le respect de tes limites physiques et psychologiques, en contactant un spécialiste compétent avant de te lancer.
Un peu d’histoire…et de science
« Si quelqu’un désire la santé, demandez-lui s’il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. C’est à cette seule condition qu’il peut être accompagné »
HippocrateQuand on pense que nos médecins prêtent « le serment d’Hippocrate »…Et qu’on voit à quoi notre médecine actuelle en est réduite par la volonté des laboratoires pharmaceutiques, çà fait peur ! Personnellement, je suis en bonne santé. Les effets recherchés sont donc plus de l’ordre de la prévention et de l’introspection qu’autre chose.
Voici tout ce que la science officielle actuelle dit à propos du jeûne. Evidemment, on y retrouve tout le débat des études scientifiques randomisées, qui semblent toujours bloquer l’adoption des choses simples, et surtout à l’encontre des intérêts des industriels. Néanmoins, il est reconnu que le jeûne est une pratique ancestrale qui a fait ses preuves, notamment à titre préventif.
Concrètement…
Je suis actuellement dans la dernière semaine de ma descente alimentaire! Je commence à sentir plus de légèreté dans mon corps tandis que mon esprit reste encore sur le « qui-vive ». La chrysalide est en formation…L’entrée dans le tunnel est imminente!
A titre indicatif, la descente alimentaire çà donne à peu près çà. Encore une fois le mieux est de mettre çà au point avec un spécialiste en fonction de son profil.
Symboliquement, le jeûne c’est « JE-NE », ou un moyen de débarrasser mon corps de ce que « JE-NE » veux plus. Ce serait un peu comme une « petite mort » volontaire pour mieux renaître à la vie. C’est exactement là où je me trouve en ce moment! Dans l’envie de dé-zipper cette ancienne peau pour faire place à la nouvelle. A suivre donc…
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Laisser l’énergie circuler !
Les enseignements de l’Arbre de vie indiquent que les troubles, les blocages et les maladies proviennent d’une énergie qui ne circule pas suffisamment. Nous traversons des moments caractéristiques de ce phénomène ces derniers mois.
Après la « pandémie », les émeutes…Et quoi d’autre ensuite? On pourrait se poser la question. Des tas de médium, canal, etc…ont bien évidemment une opinion sur la question…Ou plutôt une vision des probabilités du moment. Et les probabilités, comme la Vie, çà bouge tout le temps!
Au tout début du confinement, j’ai évoqué le fait que le « vilain virus » pourrait être une représentation symbolique des excès de l’humanité…A l’époque (j’ai l’impression qu’1 an s’est écoulé…sauf que non, en fait), j’aimais cette idée car elle m’aidait à prendre du recul sur l’actualité. Depuis, nous sommes passés par une véritable « orgie » d’infos/intox diverses et variées et avons (je l’espère) appris que les « appats-rences » les plus lisses et officielles ne sont pas forcément les plus bienveillantes au final.
Nous avons aussi été plongés malgré nous dans une introspection majeure qui a fait de nous des êtres renouvelés. Que nous le voulions ou non, nous ne sommes ni tout à fait pareils, ni tout à fait différents, à présent. Les lignes ont bougé. La Vie a fait son oeuvre. L’Univers en a profité pour nous montrer ce que pourrait être une vie débarrassée de nos chaines. Nous voilà rendu(e)s dans un « entre deux » qu’il va falloir gérer jusqu’à ce que la prochaine grille de lecture apparaisse. C’est dans ce moment particulier que la connexion à soi est la plus fondamentale…Pour discerner ce qui se cache véritablement derrière les masques.
Et si entrer dans l’âge d’or du Verseau nécessitait simplement de laisser l’énergie s’exprimer comme elle en a besoin?
L’énergie de vie circule quoiqu’il arrive
Tout comme l’eau, l’énergie de Vie ne s’arrête jamais de circuler. Au pire, elle change de forme, mais elle ne meurt jamais. Il est fascinant de voir les chemins que l’Eau peut prendre pour continuer sa course quoiqu’il arrive. Arlette Schneider , dans son livre « Les Miracles de l’Eau » , décrit très bien la « logique » suivie par l’eau pour son trajet. En résumé, elle n’est jamais aussi à l’aise qu’à l’ombre, là où elle est sûre que le Soleil ne viendra pas l’assécher.
Transposons maintenant cette métaphore à l’humain! Assimilons l’Eau avec l’énergie de Vie et le Soleil (élément Feu en médecine chinoise) avec nos émotions. L’énergie de Vie préfère donc agir dans l’ombre, au calme, à l’abri des regards pour éviter l’impact de nos émotions sur sa circulation. Ce seraient donc nos émotions qui mettraient des écluses là où le flot de Vie était libre à la base. En d’autres termes, c’est nous mettons des barrages à la circulation de la Vie en nous par peur, colère, contrariété, jugement, etc…
Nous sommes des « empêcheurs(ses) de circuler » pour notre énergie vitale. Et pourtant, elle s’adapte, elle continue, coûte que coûte, à nous soutenir. Le professeur Kayath décrit très bien à quel point le développement de tumeurs, puis de cancer, est la réponse (à priori étrange) de notre énergie vitale pour alerter sur les malaises et maintenir la Vie quoiqu’il arrive. Une tumeur n’est autre qu’un excès de cellules, donc un excès de manifestation de Vie pour répondre à un déséquilibre.
Quelques forme(s) prises par une énergie de Vie bloquée
Alors revenons à nos moutons! Durant ce confinement, notre énergie vitale n’a pas pu être utilisée pour FAIRE comme d’habitude. En revanche, à l’instar des rivières de montagnes elle s’est ingéniée à trouver des chemins à travers nous pour continuer sa route. Elle nous a aidé à ETRE d’avantage. Et l’Univers, quant à lui, nous a donné du temps pour explorer cela.
Car même si ce confinement est le fait d’Etres plutôt tournés vers l’ombre, à leur manière, ils ont aidé à faire croître plus de lumière en nous. Peut-être n’est-ce pas encore évident pour nous tous aujourd’hui? Mais viendra le temps où nous nous retournerons sur ce premier choc en nous disant qu’il a finalement permis des changements que n’aurions pu mettre en place autrement. Ou très difficilement. Evidemment, je ne cherche pas à féliciter les agissements de ceux qui nous briment…Mais à montrer que de l’ombre peut toujours jaillir la lumière!
L’énergie de Vie bloquée peut créer des chocs, des chaos, etc…pour se faire entendre. Leur intensité va crescendo jusqu’à ce que nous ne puissions plus faire semblant de ne pas les entendre. Alors peut-être pouvons-nous regarder cette « pandémie » et ces nouvelles émeutes comme des appels de la Vie à bouger, à lâcher prise, à défaire les nœuds, etc… que l’humanité à consenti à mettre en place au fil du temps?
Les étapes du deuil à la guérison : la résilience
Du coup, j’en reviens à ma chère résilience! Ce premier choc lui a donné tout son sens. Il va y en avoir d’autres, des chocs, ne serait-ce qu’au niveau climatique. Nous sommes de plus en plus nombreux à en avoir conscience maintenant. A titre d’exemple, des scientifiques font état d’un basculement prochain des pôles magnétiques de la Terre…
Et même si notre peur du changement climatique a également été exploitée par les mêmes êtres qui ont provoqué ce « chaos épidémique », apprendre à vivre plus sainement, en harmonie avec son environnement, et avec la Nature, ne devrait pas être une question ou un luxe, mais du bon sens, tout simplement!
Certes, ce sont les propos des médias de la propagande qui ont contribué à créer la réalité que nous vivons actuellement. Mais ce sont nos peurs, nos colères, nos frustrations et nos jugements qui leur ont donné suffisamment de prise pour s’accrocher. Nous devons prendre cette responsabilité maintenant. Nous devons faire cela puis lâcher prise, et nous dire que nous avons appris de nos expériences passées pour en créer de nouvelles, plus en ligne avec nos véritables désirs.
Apprécier le mouvement plutôt que les blocages de l’énergie de Vie
Il y a toujours plein de manières de regarder la même chose. C’est ce qui fait que l’un aura aimé le film au cinéma, et l’autre pas. Il y a autant de visions de la réalité que d’individus. Mais l’énergie de Vie qui nous anime tous/toutes est la même. Elle vient de la même source. Essayons de nous en souvenir.
Dans le symbole du YIN et du YANG, chaque force est présente en permanence. En d’autre termes, il y a toujours un peu de YANG dans le YIN et inversement. L’ombre et la lumière sont tous les deux nécessaires pour que le Vie se crée. En revanche, il les faut dans la juste quantité, c’est à dire en équilibre pour que l’écoulement fluide soit possible.
Dans la métaphore de l’Arbre de Vie, Annick de Souzenelle, explique que c’est lorsqu’un des récipients est plein et ne peut s’écouler que la douleur et la maladie arrive. Nous pourrions le traduire ainsi : l’énergie de Vie est faite pour circuler, et non être gardée ou stockée jalousement.
Peut-être qu’en ce moment, nous expérimentons des chaos qui vont permettre aux récipients pleins de se vider un peu. Et puis, peut-être qu’ensuite, une fois les équilibres rétablis, nous pourrons enfin expérimenter la Vie, l’Abondance, l’Amour et la Joie tels que l’Univers les souhaitent à nous, ses enfants, depuis l’origine. Enfin, peut-être qu’il est temps de considérer les événements actuels comme des manifestations de la Vie qui tente de continuer sa course, plutôt que des blocages ou des maladies à éradiquer.
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Voir au-delà des « appâts-rences »
Après la descente au fond du terrier du Lapin d’Alice, et l’aller-retour dans les étoiles, il est temps à présent de trouver l’équilibre entre ciel et terre ou le bon dosage de « pourquoi pas » !
Les médias commencent à faire machine arrière concernant la gravité de la « pandémie » que nous venons de traverser. C’est une victoire! L’heure des comptes a sonné. Nous entrons dans une phase aux teintes de jugements. Le temps est au recul et au discernement. Ce n’est pas la plus agréable des périodes, mais elle est peut-être nécessaire pour terminer notre « deuil » et passer à la suite : là où nous trouvons la force de vaincre définitivement nos peurs pour redonner ses droits à la Vie, selon nos propres termes!
Mes précédents articles ont été pour le moins inédits, j’en conviens, et pour autant je n’en renie aucun. Ils résonnent juste en moi et je soutiens à 100% les messages qu’ils contiennent. Publier ces mots a été un challenge. Accueillir les commentaires parfois désabusés et les inquiétudes en a été un autre! Etre sous les feux des projecteurs n’est pas chose aisée pour moi, mais je suis heureuse d’avoir vécu cette expérience et d’avoir répondu aux objections du mieux que j’ai pu.
La temporalité est toujours problématique quand il s’agit de collaborer avec l’Univers, bien sûr…Les jours annoncés n’étaient sans doute pas des jours humains! Mais la très bonne nouvelle, c’est que nous sortons gagnants de cette « guerre » contre la « Non-Lumière ». Car – oui – il s’agit bien d’une guerre…malheureusement. L’enjeu n’est pas ce « vilain virus » évidemment, mais nos libertés d’êtres. C’est dire si l’enjeu est de taille.
Alors, comment nous positionner dans ce contexte? Comment aider nos alliés? Quelles ressources activer en nous pour faire notre part?
Dé-confiner nos esprits!
Ces 2 mois auront été rudes pour nous tous. Ils auront permis à certain(e)s de se mobiliser pour aider (confection de masque, benevolat, partage de savoir en ligne etc…). Tandis que d’autres y ont vu l’opportunité de lever le pied avec une « bonne excuse », ou de regarder leur solitude et leur isolement , bref, leurs « démons », droit dans les yeux. Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Monde ne sera plus jamais le même après cette première crise, ce premier effondrement.
J’ai volontiers parlé de deuil pendant ce confinement, car d’une manière ou d’une autre, nous avons été obligé(e)s de lâcher ce qui n’avait plus lieu d’être. D’évacuer notre mue devenue trop serrée. Notre nouvelle peau est encore toute tendre! Il peut être complexe de retoucher la brutalité du Monde, surtout au beau milieu de cet océan d’informations contradictoires et de théories du complot. Tout comme notre corps, nos cerveaux ont besoin de se « dé-confiner » après ce temps de pause.
Nos cellules on pris de nouvelles habitudes. J’ai déjà évoqué le temps nécessaire à cela (environ 3 semaines) et nous en avons eu bien plus à vivre. C’est dire si notre organisme s’est organisé pour rétrécir ces prétentions! Revenir à la réalité, quelle qu’elle soit, nécessite le même temps de transition…Je nous souhaite de nous donner de vivre ce retour à la liberté de mouvement en douceur.
Nous ne sommes pas seul(e)s dans cet Univers
A la faveur du fameux passage en 5D qui devrait accompagner l’entrée dans l’ère du Verseau, de plus en plus d’entre nous s’ouvrent à l’existence de plans subtils. D’ailleurs, les messages des différents guides de lumière ont résonné comme des bouffées d’oxygène pendant ces temps de violence. A présent, un nombre croissant d’entre nous croient, ou expérimentent, le contact avec des êtres que nous ne pouvons voir, ni toucher, mais dont nous apprécions l’aide surtout dans ces moments de troubles!
Demandons-nous pourquoi, dès qu’il est question d’extra-terrestres, les théories du complot reviennent au grand galop. C’est comme si, sorti(e)s de l’orbite de notre Terre, il n’était pas pensable que d’autres formes de vies existent. Pourtant il existe des milliards d’étoiles et des milliers de planètes dans notre Univers. Au nom de quoi serions-nous les seuls êtres vivants doués d’intelligence? Pourquoi serait-il OK d’interagir avec des êtres tels que des guides spirituels et pas des êtres venus d’ailleurs?
Nous acceptons bien le fait que les planètes influent sur notre environnement au quotidien, comme la Lune par exemple. Nous avons même des sciences qui traitent directement de ces phénomènes, comme l’astrologie. Qui n’a jamais lu un horoscope, ne serait-ce que par curiosité? Par ailleurs, de nombreuses références aux Pléiades ont été retrouvées sur des gravures/peintures de nos sites sacrés les plus proches. Ci-dessous, un exemple avec le disque de Nebra, retrouvé en Allemagne en 1999. Au nom de quoi décréter que les extra-terrestres n’existent pas ?
Pour finir, nos gouvernements dépensent des fortunes chaque année dans des programmes spatiaux pour lancer des satellites, certes, mais également pour chercher des planètes pouvant abriter la vie. Pourquoi nos gouvernements feraient-ils cela s’ils n’étaient pas convaincus qu’il y a quelque chose à trouver? A titre d’information, en France, nous avons le CNES (Centre National d’Etudes Spatiales) qui collabore avec la NASA dans l’étude des OVNIS. En 2020, le budget de cet organisme atteint les 2,8 Milliards €. Moi çà me laisse rêveuse, surtout quand on imagine la détresse matérielle que ce confinement va occasionner sur bon nombre d’entre nous.
Nous avons perdu la mémoire de nos origines en venant au Monde
Outre la problématique du biais dans l’information, nous avons également perdu la mémoire de qui nous sommes réellement à notre naissance. Je ne parle pas de notre lignée héréditaire, mais bien de notre lignée d’incarnation, du cheminement que notre Âme a suivi pour nous mener jusqu’ici. Nous sommes actuellement plus de 7 milliards d’individus dont les Âmes ont souhaité être incarnées à ce moment précis de notre Histoire d’humanité. Pourquoi?
Le passage dans l’ère du Verseau est déjà, en soi, un événement pour notre Univers et notre Système Solaire. Mais pas seulement. Je t’invite à lire le livre de Rosanna Narducci et Jean-Marc Vallée sur les Mémoires d’Orion (autre constellation souvent représentée sur nos sites sacrés anciens). Si les premiers chapitres peuvent se lire comme un roman de science fiction, en revanche les 2 derniers font état du « Plan Terre ». Ces chapitres expliquent pourquoi nous serions tous venus nous incarner maintenant. Ils expliquent aussi en quoi ce qui arrive sur Terre en ce moment aurait des répercutions bien au delà du périmètre de notre jolie planète.
Faire germer la graine du « pourquoi pas ».
Je vois d’ici toutes celles et ceux qui brandissent le drapeau du discernement. Et – oui – j’utilise bien le mien en ce moment même, car la lecture de ce livre a ramené le calme en moi comme aucune autre lecture ou vidéo avant.
Alors je te pose ces questions : Que penses-tu de la capacité de nos médias à nous ouvrir l’esprit? Nos dirigeants ont-ils intérêt à nous donner de l’espoir? Dans une logique mondialiste, l’existence de voix dissidentes ou d’alternatives non-patentées est-elle la bienvenue? En quoi le fait d’accepter l’idée de l’existence d’autres formes de vies extra-terrestre met en danger les dogmes de la société telle que nous la connaissons?
Nous commençons à toucher du doigt, suite à cette crise, à quel point nous sommes manipulé(e)s par les médias. Je rappelle que la manipulation de l’information par les médias porte un nom : la propagande. Personnellement, j’ai choisi de me questionner comme suit: Est-ce que l’information qui m’est donnée encourage l’usage de mon libre arbitre? Puis-je rester calme lorsque je reçois cette information? La mise en oeuvre de cette information est-elle compatible avec ma liberté d’être? Cette information me permet-elle de vivre en paix avec mon prochain?
A tous ceux qui clament la nécessité de prouver scientifiquement les choses pour se rassurer sur la nature saine de notre discernement, je réponds, oui en effet, lorsque cela est possible, il est plus sécurisant de pouvoir expliquer scientifiquement les choses. Ceci dit, sur ce sujet, ainsi que sur les hypothèses à propos du futur de l’humanité, je suis au regret de ne pas pouvoir fournir le nécessaire! C’est donc à chacun(e) de regarder en elle/lui et d’y trouver sa propre vérité. C’est le moment de faire pousser la graine du « pourquoi pas »?
Il est temps de participer à notre libération planétaire
Nous sommes à l’aube de la tombée des masques. Il est temps de se positionner et de tenir le cap. La Terre est déjà à l’oeuvre avec l’aide de nos collègues de l’espace. Elle s’ébroue, elle se secoue pour faire partir tous les parasites qui l’ont accablée ces derniers siècles. La Terre fait son job de libération. A nous de faire le nôtre maintenant. Serons-nous des résistants de la première ou la dernière heure? L’enjeu est de taille, encore une fois.
Au passage, je voudrais également rappeler les propos d’Albert Einstein à propos des certitudes et habitudes…Le système dans lequel nous évoluons et les valeurs qu’il prône nous ont mené(e)s tout droit jusqu’ici…Si les habitudes et les croyances actuelles sont devenues contre productives, alors trouvons-en d’autres, créons-les même!
«La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent»
Albert EinsteinCar ces êtres de l’ombre qui nous gouvernent ne sont pas arrivés là par hasard. Tout comme Hitler en 1933, nous les avons élus. Nous nous sommes laissé(e)s charmer par leur belles paroles, leurs belles apparences et leurs discours bien lisses, apparemment au dessus de tout soupçon. Prenons cette responsabilité là, acceptons-là et passons à autre chose, en notre Âme et Conscience.
Comment y arriver?
C’est LA chose fondamentale que je voulais partager avec toi aujourd’hui. Dans un Monde où il devient de plus en plus compliqué de discerner le vrai du faux, il me semble qu’il est grand temps d’aller chercher la vérité au fond de soi. Il me semble également que l’énergie dont nous disposons devrait être utilisée pour donner vie à ce qui a du sens (ce à quoi nous disons OUI) , plutôt que combattre ce qui n’en a plus (ce à quoi nous disons NON). Ce choix, nous pouvons le faire pour nos problématiques personnelles, comme pour celles de la société.
Notre président l’a dit : « nous sommes en guerre ». Je suis d’accord avec lui sur ce point. Néanmoins, nous ne nous battons pas contre ce « vilain virus ». Nous nous battons pour préserver nos libertés fondamentales. La 3ème guerre mondiale ne se déroulera pas à la pointe des armes, mais à la pointe de l’information et du discernement.
Nous nous battons à présent pour la Vie, pour retrouver notre droit fondamental à user de notre libre arbitre, à décider de notre destinée. Les réponses sont dans nos tripes, pas dans nos têtes! Alors je t’invite à relire la première partie de cet article en étant branché(e) à tes viscères, à chercher tes propres informations, à les vérifier et à les partager ici, si tu estimes qu’elles apportent un éclairage nouveau, ou un démenti. Toutes les remarques constructives seront les bienvenues!
J’ai choisi de défendre la LIBERTE D’ETRE. Et toi?
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Ouvrons nos yeux!
Ce virus nous mène enfin au bout du tunnel. La lumière y est aveuglante, après avoir vécu toutes nos vies à la lueur d’une bougie. Le temps est venu plonger dans ce nouvel océan et d’apprendre à y naviguer par nous-mêmes.
Il y a 5 phases dans le deuil : déni, colère, négociation, libération et acceptation. Quelle que soit l’étape à laquelle nous nous trouvons en ce moment, il nous reste un mois pour franchir toutes les suivantes. De cette manière, nous ne pourrons plus jamais revenir à nos anciennes habitudes. Et nous serons prêt(e)s à démarrer notre nouvelle vie. Si tu lis mon blog, tu es sans doute connecté(e) à ton intuition et peut-être même que c’est elle qui te guide en premier lieu. C’est à cette partie de toi que je m’adresse en particulier aujourd’hui.
Ce que nous vivons actuellement est effectivement un deuil. Nous le vivons dans des conditions pour le moins étranges. Ce confinement, exacerbe tous nos ressentis et nous pousse à nous dépasser en « mode accéléré » pour ne pas « pêter les plombs ». Nous pourrions être tenté(e)s de dire « ok, faisons le deuil de notre ancienne vie. Mais, au final, on sait ce qu’on laisse, par contre, on ne sait absolument pas ce qu’on va trouver ». En effet. Et pour cause! A partir de maintenant, c’est nous qui décidons pour nous-mêmes.
Cette semaine j’ai voulu partager ce que ce confinement nous a apporté et en quoi il nous pousse gentiment à concevoir, construire et enfin basculer dans un futur plus lumineux.
Faire le deuil…
Lorsque nous sommes dans l’étape déni, nous refusons d’entendre qu’il s’agit d’une épidémie. Ce n’est pas une réalité pour nous. Il est également difficile d’entendre que le confinement peut cacher autre chose qu’une simple prévention sanitaire . C’est la peur qui domine dans cette étape. La peur pour notre santé. Nous préférons nous conformer aux directives, pour ne pas être pris en défaut. D’autres vont tellement loin dans la peur qu’ils/elles éprouvent le besoin de contrôler les autres. Et cela donne lieu à la délation…
Dans l’étape colère, nous râlons de ne pas pouvoir être libre de nos mouvements. C’est le temps où notre patron nous impose des congés, ou du chômage partiel. C’est aussi le moment où nous nous retrouvons en télétravail à bosser plus que si nous étions au bureau! C’est la période où nous sommes enfermé(e)s 24/24 avec les enfants et le/la conjoint(e). Là où l’on teste de la nature profonde de nos sentiments. Dans cette étape il est insupportable d’entendre autre chose que le respect des règles puisque nous nous imposons de les respecter nous-mêmes.
A l’étape négociation, nous trouvons des subterfuges pour contourner les interdictions, à grand renfort d’autorisations. Le bénévolat et la réserve civique et nos animaux domestiques deviennent nos meilleurs amis, nos planches de salut pour retrouver l’espace de quelques heures le contact avec des êtres humains, même si cela se fait à distance sociale. Car nous avons tous/toutes besoins d’être à proximité directe les un(e)s des autres pour rester sain(e)s de corps et d’esprit.
Le bout du tunnel en visuel…
Ensuite, vient la libération. Au bout d’un mois au ralenti, sans « metro-boulot-dodo », notre cerveau a repris ses droits et nos cellules ont imprimés de nouveaux paramètres. Sur les réseaux sociaux, des voix commencent à s’élever pour poser des questions pertinentes. De nouvelles idées émergent et sont reçues par un nombre croissant de cerveaux redevenus disponibles. Voici une « co-création du monde de demain », dans le principe, comme dans le contenu.
Vient enfin l’étape d’acceptation. Il n’y a plus besoin d’expliquer ou de justifier ce qui est. Il y a juste a vivre, à être et à rêver, à créer l’après. Celui auquel nous voulons donner toute notre énergie. Sans peur et sans haine. C’est l’étape ou nous choisissons de dire OUI à nos nouvelles idées et priorités. C’est aussi l’étape ou la parole se libère, ou les révélations se font. C’est à ce moment là que la vérité des autres, et en particulier ceux qui nous dirigent, s’efface pour laisser place à la notre. C’est l’étape où le futur de nos rêves sort vainqueur de la pénombre.
Un peu de concret
Dans ce paragraphe, je vais écrire des choses qui pourront paraître désagréables, selon l’étape où nous nous trouvons. Mais il est nécessaire. Aujourd’hui plus que jamais. Je l’ai dit à plusieurs reprises, la spiritualité est tout à fait compatible avec le plus concret de nos vies. Une grande dame, nommée Jeanne Ayache, m’a dit récemment : « il n’y a pas plus spirituel que notre matière ». Alors, redescendons, l’espace d’un instant, dans nos concrets. Il me semble que le moment est venu de mêler Science, Spiritualité mais aussi Vie de la Cité.
Voici mon point de vue sur ce moment historique ainsi que des informations qui me paraissent étayées et documentées à propos de notre situation. Je t’invite au plus grand discernement par rapport à ce qui suit et t’encourage à vérifier cela par toi-même.
Le mois de confinement supplémentaire, que nous venons de prendre en supplément, n’est absolument établi à des fins curatives. Soyons bien clair(e)s. Certes, des zones du pays sont plus touchées que d’autres et, dans ces zones là, il est encore très risqué de mettre le nez dehors. Ne nous méprenons pas. Je suis très attristée de ce que vivent les personnes concernées et toutes mes pensées les accompagnent.
Ouvrons nos yeux!
Mais soyons honnêtes. Non seulement nous ne sommes pas en guerre, mais nous sommes bien loin de la pandémie ou de l’épidémie massive annoncée au départ. D’ailleurs, je t’invite à te renseigner sur le mode de comptabilisation des malades et des morts du Coronavirus. J’ai récemment appris des choses très intéressantes à ce sujet dans la vidéo suivante. Spoiler Alert : les règles de calcul répondent aux directives de l’OMS, dont le principal bailleur de fonds n’est autre que Bill Gates.
Et si les phases de Libération et d’Acceptation étaient aussi celles du Discernement? Et si discerner notre propre vérité n’était pas quelque chose à faire avec la tête mais avec le cœur? Et si notre meilleure façon de passer à autre chose était de créer la meilleure version de nos futurs dès maintenant?